Anna Ijigen
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Anna Ijigen
Anna Ijigen "Society exists only as a mental concept ; in the real world there are only individuals." Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Sikanna Matkaci-uk ! Mais on me connait aussi sous le nom de Anna Ijigen ou Kagebôshi J'ignore quand je suis née [/b] mais j'ai grandis dans une dimension démoniaque. J’ai pas vraiment d'âge, plus ou moins. Un petit secret pour la route ; je suis une Ekaci et sévissant à Tokyo . On me dit souvent que je ressemble à Ira Chernova. Je fais partie du groupe Last Sons,
on ne change pas le passé Genèse Parmi tous les peuples dits primitifs, il y’en a un qui n’a jamais été en guerre, dont les origines sont si incertaines, qu’aucun historien n’est capable d’en reconstituer une chronologie exacte. Certains disent qu’ils étaient les habitants d’origines du Japon, certains une peuplade coréenne qui aurait traversé la mer, d’autres encore les prétendent sibériens. Les aïnous, ont été chassé de ces terres, n’appartiennent à aucune et à toutes à la fois. Beaucoup, sont restés sur l’île de Sakhaline, une île au cœur d’un conflit oublié par le monde, mais bien vivace entre la Russie et le Japon. Le brassage ethnique de l’endroit leur permet de se mêler plus facilement, sans perdre leurs traditions. Au Japon il existe des réserves, mais la plupart renient leurs origines, facilitant leur intégration. Pour les aïnous, il y a six cieux, et six enfers, leur cosmogonie est vaste et proche de ce que les chercheurs ont appelé le Ko-Shinto, un shinto primitif, pas encore mêlé du syncrétisme cher aux japonais. La nature y tient donc un rôle prépondérant. L’une des déesses les plus importantes, Hash-Inau-uk Kamuy, est une déesse de la chasse, il est également dit qu’elle transporte toujours avec elle un nourrisson. Pas toujours le même, et pour cause, ce que les livres ne disent pas, et qui se murmurent chez les aïnous, c’est que la déesse récupérerais les enfants abandonnés, ils sont les seuls à pouvoir la voir. Chaque bébé porterait alors un tatouage, une aconite qui est la fleur de la déesse, celle dans laquelle elle trempe ses propres flèches. Si les nourrissons survivent à ce rituel, le tatouage distille en eux le poison de la fleur, la magie de la déesse. S’en suivra alors une existence fait d’entrainement puis de combat. On les appelle les Ekaci, c’est une race hybride. Plus humaine et pas tout à fait divine. Incapable de se reproduire entre eux, la déesse se charge d’alimenter leurs rangs. Cette guerre, est celle que se livre deux sœurs ennemies, Kenash Unrabe est un monstre, se nourrissant du sang, elle vole les enfants morts-nés, et les transforme en créatures tout autant assoiffé qu’elle. Des retans. Si jamais, Hash-Inau-uk Kamuy venait à perdre la guerre, alors la horde des immondices déferlerait sur la terre. Sixième enfer Sur ce plan, le temps ne s’écoulait pas de la même façon, et on murmurait que l’ancienne était la première enfant ramené par la déesse. Elle paraissait sans âge, ses yeux ne voyaient plus et pourtant elle se déplaçait avec assurance, elle portait de nombreuses cicatrices liées à des combats passés, mais personne ne se souvenait l’avoir vu combattre. Accroupis face à face Sikanna Matkaci-uk et l’ancienne pratiquait le rekhukara, formant une cavité de leurs mains, des sons aigus et rythmé formait un chant venu de la nuit des temps. Par ce rituel, l’ancienne transmet son expérience et sa sagesse aux nouveaux guerriers. Lorsqu’elle se releva, on lui remit son Emushi, son épée, la lame était, comme l’était l’acier des pointes des flèches, forgés dans un métal qui conservait les vertus du poison dans lequel il avait été refroidis. Elle était fière, c’est pour cela qu’elle avait été entrainé, elle va enfin participer au glorieux combat. Mais avant elle doit baptiser son épée, dans le sang d’un retan. Sikanna Matkaci-uk n’a pas peur, l’immondice est assoiffée, les veines de son cou sont gonflés, sort de sa bouche ce dard rosâtre, semblant doté d’une vie propre, à la recherche de sang pour se nourrir. Sa peau est d’une blancheur de craie, celle de la guerrière est plus foncé, un peu délavé, il n’y a pas de soleil dans ce monde, tout y parait terne. Les retans sont grands, décharnés, les Ekaci sont plus petits, ils ressemblent d’avantages aux Hommes. Le monstre est relâché, dans cette arène creusée à même le sol. Le combat ne dure pas, Sikanna Matkaci-uk est féroce, elle tranche d’abord l’appendice horrible, puis c’est sa tête qui tombe en un bruit mat. Il n’y a pas d’exclamations de joies, de félicitations. C’est un monde sombre, il n’y a que la guerre. Apasam Les retans étaient des créatures de pulsions, ils n’éprouvaient ni remords, ni sympathie, même pour leur semblable. C’était leur nombre, et leur capacité à transformer les Ekaci en retans qui en faisaient des ennemis redoutables. Un long appendice jaillissait de leur gueule décharnée, pourvu de minuscules crocs, s’il touchait un guerrier, celui-ci se transformait sous quelques jours. Leur désorganisation les rendait imprévisible, et leur nombre ne cessait de croître Sikanna Matkaci-uk, poursuivait l’un d’eux, plus malin que les autres, parce que plus vieux, il était parvenu à passer par de là leurs lignes. Elle le connaissait pour l’avoir affronté une fois, beaucoup étaient morts, elle avait eu de la chance. Il se dirigeait vers le grand ravin, si vaste qu’on murmurait à son sujet qu’il était en réalité un portail. Il bondit et disparut dans un éclat de lumière, elle n’hésita pas, bondit à son tour, mais fut retenue par une poigne glacée sur sa nuque, et jetée au sol comme si elle n’avait été qu’une poupée de chiffon. « Veux-tu mourir petite Ekaci ? » Cette voix, une voix rauque, une voix double, comme si deux personnes parlaient exactement en même temps. Le dieu Apasam se tenait devant elle, enveloppé dans sa cape, son visage peint de façon a faire ressortir l’ossature de son visage, ses yeux d’un blanc presque lumineux posés sur elle. « Est-il passé de l’autre côté ? » « Il y est. » « Alors pourquoi m’en empêcher ! » « Que sais-tu de cet autre côté ? » Apasam est un dieu double, il observe les mondes, personne ne peut traverser sans qu’il ne le sache, il peut se déplacer sur les différents plans. Il est aussi un protecteur, celui des femmes, il est dit qu’il les soigne et les aides dans leur labeur. « L’autre côté est plus vaste que ton petit monde, ekaci, le retan le sait. Kenash Unrabe a violé les accords, elle m’a dérobé une amulette pour que son favoris passe. Si tu sautes sans pouvoir, tu vas simplement t’écraser au sol. » « Alors donnez-moi de quoi traverser. » « Insolente. » Il y avait de l’amusement dans son ton, mais elle baissa prudemment les yeux, on ne s’adressait pas à un Dieu, surtout pas un aussi fourbe qu’Apasam. « Tu vas traverser.» « Quel est ton prix, Apasam ? » Sikanna Matkaci-uk, n’était pas dupe, les dieux n’offraient pas de cadeau. Dans sa main décharnée apparut une bague, le métal était taillé grossièrement et une gemme orangée, plus large que son propre doigt, y était incrustée. « C’est un artefact… très utile. le monde dans lequel tu vas à des règles différentes, tu ne peux décemment pas t’y balader avec une épée, mais je sais combien les Ekaci sont attachés à leurs armes. C’est une petite poche dimensionnelle, n’essaie pas d’y faire entrer quelque chose de vivant, les conséquences seraient regrettables. » Sitôt à son index le métal se mit à chauffer, son cri de douleur se répercuta dans le précipice, sa peau était en train de fusionner avec le métal chauffer à blanc. Apasam la poussa alors, mais au lieu d’une longue chute, c’est sur un tapis de feuille morte qu’elle s’écroula sans élégance. 1992 – Japon Depuis cinq ans, Sikanna Matkaci-uk vivait dans un petit temple, tout au nord du japon. Dans ce temple, elle avait rencontré un vieil homme. Masanori Ichikawa, il avait compris, elle ne savait pas comment, mais il avait compris. Depuis quelques temps, dans le village au bas de la montagne, les gens disparaissaient, puis revenaient changé. Le retan, avait laissé des progénitures derrière lui. Sikanna Matkaci-uk était restée figée en arrivant. Le soleil, cet astre inconnu lui avait brûlé les yeux. Une question d’habitude s’était-elle entendue marmonner. La bonne nouvelle fut qu’il brûlait les retans, il les rendait inaptes au combat. Le temps s’écoulait différemment, et Masanori lui apprit qu’un homme avait bien surgit, mais cela faisait six années, il avait tué, et depuis ce jour l’endroit n’avait plus jamais été paisible. Il l’appelait l’élue, elle trouvait ça amusant. Les créatures se terraient dans des cavernes, terrorisés par le soleil, et incapable d’initiative, elles ne faisaient que tuer et transformer. La population vivait dans la terreur, et l’endroit avec acquit une réputation dans tout le pays. On était venus y faire des reportages, faire du sensationnel. Jusqu’à ce que Sikanna Matkaci-uk n’y mette un terme. Elle détruisit les créatures, c’était une routine elle était habituée, de plus, ils n’étaient pas très vieux, pas très malin, et complétement abandonnés. Le premier retan avait depuis longtemps quitté les lieux. Elle avait refusé l'attention des médias, mais elle avait attiré celle d'autres personnes. D'autres groupes en quête de soldat. Mais tout cela lui paraissait bien superficiel, seul l'intéressait sa mission. Elle n’était pas faite pour ce monde. « Pourtant tu y es né » lui avait dit Masanori à qui elle avait conté l’histoire de son monde, et qui lui-même avait fait quelques recherches. Elle ne savait ou aller, ni comment retrouver cet ennemi, ni même si ce n’était pas déjà trop tard. Il fallait pourtant qu’elle se mette en route. Mais pour ce monde, elle n’était pas une adulte, elle n’en avait pas l’apparence en tout cas. Pas tout à fait, elle était sans âge. Masanori avait un neveu à Tokyo, c’était là-bas, qu’elle devait aller, là-bas, qu’elle devrait apprendre à comprendre ce monde. Alors, elle alla à Tokyo, chez ce neveu, qui avait une petite fille, et une femme. Pour faire plaisir au vieil homme, elle se plia aux règles de ce monde. L'école était un rite comme un autre. Elle devait apprendre par la suite, que c'était une forme de barbarie civilisée, pas moins anxiogène qu'un combat, pas moins dangereux. Accroché à un cintre pendait son uniforme, la réglementaire chemisette, le charmant nœud aux couleurs de son école, la jupe plissée et les chaussettes hautes. Anna Shigeru ne connaissait rien à cette société, mais elle trouvait déjà à redire sur la façon de traiter différemment femmes et hommes. Il avait tenu à ce qu’elle soit inscrite dans un lycée, ses papiers disaient qu’elle avait seize ans. Elle haït tout de cette nouvelle vie, dès son commencement. Elle apprit, sans comprendre, elle fut renommée parce que dans cette nouvelle société, l’intégration passait par le mimétisme. Anna Shigeru, dont la peau un peu trop matte, dont les yeux pas tout à fait bridé attirait l’attention dans cet établissement scolaire, ou chaque élève semblait sortir du même moule. Le clou qui dépasse appelle le marteau disait une expression populaire de ce pays. Ca se passe de commentaire. 1995 – Japon « Mademoiselle Shigeru, un mot, s’il vous plait. » Ana releva les yeux vers la directrice de l’établissement qui lui barrait le passage. « Logorrhée. Je vous l’offre il est cadeau. » Anna Shigeru était dans sa dernière année de lycée, et si celui-ci devait représenter ce qu’était la société, elle voulait très vite rentrer dans sa dimension démoniaque. Il n’y avait certes pas de soleil, pas d’umeshû et le rock’n’roll n’existait pas, mais au moins elle pouvait librement tuer ses ennemis. Et à cet instant, la directrice était son ennemi. La femme lui agrippa le bras pour la trainer dans son bureau, sans savoir qu’elle n’y parvenait en réalité qu’à la bonne volonté de sa victime. « Quand vous êtes arrivé dans cet établissement, malgré votre manque de discipline, votre … » une moue de dégout se peignit sur son visage lorsqu’elle la désigna « … vos origines, nous vous avons accepté, sous couvert que vous vous teniez à carreaux. » Anna était affalée dans le siège face à elle « Vous devez vraiment adoré vous écouter parler. » Elle n’était pas certaine qu’elle pouvait agacer d’avantage la directrice, mais c’était de toute évidence possible, de rouge, elle devint écarlate et se saisit de la large règle métallique de son bureau. Elle s’était tenue à carreaux jusque-là. Il ne lui restait que deux mois à tirer, et elle ne comprenait toujours pas ce qu’elle faisait ici. Ce monde était fou, ce monde lui paraissait plus dur que celui qu’elle avait quitté. Anna n’avait aucune affinité avec ceux qu’elle devait appeler ses camarades. Ils étaient jeunes, bruyants et stupides. Mais ce n’était pas à coup de règle métallique qu’on réglait ce genre de problème. Anna fut expulsée, coup et blessure sur un membre du corps enseignant. Le neveu de Masanori était furieux. Mais il ne l’avait jamais beaucoup apprécié, il avait une idée très précise de la place que les femmes devaient tenir dans la société, du comportement qu’elle devait avoir. Et depuis son arrivée, elle avait semé le désordre dans sa famille. Sa femme élevait dorénavant la voix contre lui, et sa petite princesse faisait preuve d’une ambition démesurée. A sa grande satisfaction, il n’eut pas à la chasser, c’est elle qui décida de partir. Elle avait appris les règles du jeu et même si elle s’obstinait à les ignorer, elle commençait à s’en imprégner. 1998 Le retan se faisait discret, mais elle était à l'affut, la moindre disparition suspecte, elle écoutait les rumeurs, lisait la presse. A force d'intervenir, le plus souvent dans des affaires qui ne concernaient que les humains, il commençait à se murmurer qu'une justicière sévissait à Tokyo. Cette réputation l'ennuyait, les journaux mentionnaient kagebôshi, la silhouette, toutes sortes de folle rumeurs circulèrent. Anna les ignorait, elle laissait les imposteurs en quête d'une gloire, elle n'était pas intéressée par la reconnaissance. Elle éprouvait pour ce monde un mélange de condescendance, de fascination et de lassitude. Elle avait retrouvé la trace du retan, et par quelque sortilège son apparence était celle d'un homme tout à fait normal. Il occupait un poste important dans une ambassade russe, ne sortait que la nuit et s'avérait toujours suffisamment entouré pour qu'elle ne puisse l'approcher. 2000 Anna était parfaitement acclimatée à la société. Elle avait été contacté par le SHIELD une première fois, la notoriété de son alter ego allant en grandissant, et le SHIELD ayant assez de moyen pour découvrir qui elle était. Anna n'aimait pas beaucoup leur manière, elle n'aimait pas le fait qu'ils aient pointé une arme sur elle, et par dessus tout elle n'avait aucune envie de devoir rendre des comptes à un organisme tel que celui-là. Elle tenait trop à sa liberté, et leurs combats, n'étaient pas le sien. Son combat n'avait rien de politique, elle se moquait bien de la politique, ce monde n'était pas le sien, l'économie et ce genre de barbarie ne l'intéressait pas. Elle voulait le sauver des dangers venus de sa dimension, pas de ceux qu'il se créait. 2004 La Justice League annonce sa fin. Anna observe ça d'un œil intéressé, les plus grands héros de la terre prenne leur retraite. Son tatoueur relève la tête vers l'écran. "D'autres vont arriver." Anna hausse les épaules, d'autres arrivent toujours. De nouveaux héros, briefé pas d'autres hommes en complet. "Ils continueront à sauver le monde... à sauver l'amérique !" L'homme a placé son poing contre son cœur, arrachant un sourire à Anna. Superman rendait ses collants, les héros étaient tous américains, ou élevé sur ce sol en tout cas. Heureusement que Krypton n'avait pas envoyé son rejeton en Corée du Nord. Se faire tatouer ne lui faisait pas mal, c'était un rite important dans la culture aïnou, d'une certaine façon c'était resté dans la culture japonaise. C'était une forme de reconnaissance sociale, et au Japon, c'était assez mal vu d'être trop tatoué, surtout lorsqu'on est une femme. Elle commence à étouffer dans ce pays, à piétinner. Elle ne sait pas ce que le Retan prépare, elle sait qu'il se fait appeler Vassili Lermontov, qu'il est conseillé à l'ambassade de Russie, qu'il jette sans nulle doute de l'huile sur le feu dans les relations entre les deux pays. Hier, elle lui a fait fasse, il sait qui elle est maintenant. Elle sait qui a détruit sa précieuse usine et tous les contaminés qui s'y trouvaient. Il n'a fait que sourire, il n'a même pas cherché à l'affronter. Il est comme une épée de Damoclès. 2010 Ca devient le chaos sur cette planète, des dieux, des aliens, en plus des guerres et des maladies. Comme tout le monde, elle a assisté à la tentative de prise de pouvoir de ce pathétique petit dieu. Elle voit leur avènement d'un mauvais oeil. Stark Industry et Iron Man, symbolise tout ce qui va mal dans ce monde, et le voilà glorifié. Un enfant brandit une figurine devant elle. C'est une course aux armements qu'ils provoquent, le monde, les mondes s'affolent. C'est un chaos propice pour réveiller une ancienne déité revancharde. Elle pourra former un club avec Loki. L'idée d'une alliance ne l'amuse qu'une fraction de seconde, avant de réaliser que tout cela pourrait être possible. 2011 Ou était les héros ? Quand le séisme a eu lieu. Ou était les héros ? Lorsque le retan a contrarier l'esprit de la terre, pollué l'océan et tué des milliers d'innocents. Fukushima. Kenash Unrabe n'est pas rassasiée, le drame n'était pas assez puissant. Anna n'est pas sensible au nucléaire, elle marche à visage découvert parmi les décombres, elle aide, elle essaie en tout cas. Elle a comprit à quoi serve les héros, à détourner les esprits, à redonner confiance. Les médias disent accident, elle, elle sait, mais elle tait son combat, ce peuple n'est pas préparé. Elle ne dit pas d'où elle vient. Elle conserve le nom que les médias lui ont donné. Elle n'est pas la seule sur le territoire japonais, il y a ce mutant aussi Sunfire. Tous sortent peu à peu de leur anonymat, c'est dans le drame qu'on reconnait les héros dit l'adage. Une fois encore le SHIELD la contacte, elle s'enfuit, elle ne veut pas avoir à faire, à eux, c'est à cause d'eux, jamais les barrières n'ont été si fine entre les mondes. 2014 Les Lasts Sons. C'est un joli nom, un peu patriarcale, mais ça sonne bien. Elle ne pensait pas rejoindre une équipe un jour. Mais il faut croire que ce monde l'a changé. Elle ne s'imagine pas retourner dans sa dimension, elle n'en fait plus partie maintenant. Elle comprends, les enjeux, elle comprends que toute seule avec son épée, ses chances sont maigres. Sur un autre plan, Apasam sourit.
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Dernière édition par Anna Ijigen le Ven 7 Nov 2014 - 18:02, édité 7 fois
Melissa Gold- Messages : 40
Date d'inscription : 08/09/2014
Re: Anna Ijigen
Je vais te détruire la grosse
Connor Kent- Messages : 203
Date d'inscription : 03/09/2014
Re: Anna Ijigen
Hoooo, une petite japonaise... L'histoire est très original, bien hâte de découvrir la suite.
Bienvenue (même si tu es inscrite avant moi )
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Andrill Elhonna- Messages : 92
Date d'inscription : 18/09/2014
Age : 34
Localisation : Quelque part entrain de tirer les ficelles
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Re: Anna Ijigen
Mais c'est quoi cela OO, toujours pas fini OO
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Slade Wilson- Messages : 536
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Re: Anna Ijigen
Tout est correct de mon coté. Très bien l'Histoire et les explications autour de la mythologie Anoui.
Tu es validée.
Bon rp et bon jeu.
Tu es validée.
Bon rp et bon jeu.
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