Yelena Belova - новый черная вдова

Yelena Belova

« LA RAISON EST UNE ARME PLUS PÉNÉTRANTE QUE LE FER.  »

On dit énormément de chose sur moi, en réalité peu de gens me connaisse réellement. Moi-même j’ai par moment oublié qui je suis réellement. Une ombre, un fantôme. A force de changer d’identité, usurpé d’autre, m’adapter aux autres. Il y a des moments où je me demande qui je suis, ce que je suis, qui j’étais, qui j’aurais pu être… Je suis Yelena Belova, si ceux-ci est mon vrai nom et je suis la nouvelle veuve noir, formater et entraîné pour tuer. Voilà ma mission.

Mis à part tuer et accepter des contrats, je n’ai pas été qu’un projet, un soldat. Je fus une jeune fille, tout ce qu’il y a de plus normal pour les enfants de mon pays. Ce que je me souviens de mon histoire c’est les rapports de mes supérieurs et les quelques flash-back que je perçois encore. J’ai réussi à voler mon dossier sous le nom de "Черный проект вдова – Yelena Belova" Le lire me rappela des souvenirs, pas toujours heureux, pas toujours triste. Il me rappela ce que pouvait être la vie, simplement. Dans un petit hôtel de Cuba, sous une fausse identité de me met à la lecture de ce vieux dossier souillé de saleté et de poussière.


« Lieutenant-Colonel Vasielievich Pyotr Starkovsky,
je suis dans le regret de vous informer que le projet Black Widow vient de prendre fin avec la disparition officiel de Natasha Romanova. L’espionne demeure introuvable, forte probabilité de trahison envers la mère patrie pour les Etats-Unis. Je vous demande d’envoyé vos meilleurs hommes à sa rechercher, vous connaissez le Protocol envers la trahison. Moscou et moi-même demandons la réouverture des fichiers "Projet Black Widow" pour sélectionner, former une nouvelle veuve noire. Veuillez, à bien choisir nos agents Lieutenant-Colonel Starkovsky, ne reproduisait pas les mêmes erreurs que votre ancien supérieur. Ne nous décevez pas.
Aleksander Lukin »
Lettre du Général Aleksander Lukin, Direction du KGB au Lieutenant-Colonel Pyotr Starkovsky, Direction de la Chambre Rouge, (lettre en russe) -  le 15 avril 1975 à Moscou

« Une enfant type caucasien, blonde, yeux vert, de petite taille, d'âge approximatif jeune, adolescence a été aperçu dans plusieurs villes russes - Saratov, Rostov-sur-le-Don, Volgograd, Penza, Voronej – pratiquant le vol à l’arracher, combat de rue et agressions multiples. Rapport reçu de la police de Voronej, n’arrivant pas à attraper l’enfant. Plusieurs agents sont partis à Voronej dans la nuit pour trouver l’enfant, possibilité de la faire participé au projet Black Widow après arrestation, dans cas contraire, jugement et emprisonnement. »
Rapport écrit (traduit du russe) – le 03 juin 1975 à Moscou

« L’enfant a été appréhendé avec facilité par les agents. Conduite en cellule dans la prison de Voronej. Nous la laissons là pendant vingt-quatre heure afin de voir sa réaction et ce qu’il en sort. Le sujet semble correspondre aux candidates que nous cherchons pour le projet. Elle ne semble pas avoir de famille, elle est seule, vive et sauvage. Un rapport a été envoyé au Lieutenant-Colonel Pyotr Starkovsky. Demain elle passera un petit entrevu avec l’un des agents affectés au projet dans un camp près de Voronej. »
Rapport écrit (traduit du russe) – le 06 juin 1975 à Voronej

« Le sujet #27 a été choisi comme candidate pour suivre le projet Black Widow.  Entretien avant sélection définitive et validation.
- Ton nom ? – J’m’appelle Yelena Belova.
- Date, lieu de naissance ? – 26 Février 1960 à Kjev en URSS, monsieur.
- Est-ce que tu sais où on est ? – Non m'sieur.
- Et pourquoi tu es ici ? – Parce que j'ai volé...?
- Hum. Raconte-moi ton enfance. – Qu’est-ce que vous voulez savoir m'sieur ? –  Raconte, je ne t’ai rien demandé d’autre, obéie ! – Je suis né à Kjev, je n'ai ni frère ni soeur, mes parents travaillaient dans une usine d’acier. On vivait dans une petite maison mitoyenne dans le quartier Est, mes grands-parents vivent avec nous et ma tante Olga. – Continue. -  Je n’sais pas trop quoi dire, je ne suis pas allé à l’école car c'est pas toujours facile à la maison. On n’a pas beaucoup d’argent, alors j'travail pour aider la famille à mangé. J’ai pas grand-chose à dire qu’est-ce que vous voulez ?
– Tu fais des combats de rue si je ne m’abuse ? (réaction surprise du sujet) – Oui … pour gagner de l’argent. – Tu sais te battre ? – Je me débrouille.
- Pour qui tu te débrouille ? – Qui veut bien me payer.
- Bien, et ta famille aujourd’hui ?  - Ma mère est morte de la maladie.
- Et ton père ? -  Mort aussi, règlement de compte dans la rue.
- Orpheline? Parfait. On t’a trouvé dans la rue près de Saratov, Rostov-sur-le-Don, Volgograd, Penza, qu’est-ce que tu y faisais ?  - Je cherchais à manger, il n’y a plus rien en Ukraine, je suis venu chercher une vie meilleure à Родина-Мать. Vous êtes de la police soviétique, je sais que je n’ai pas de papier et que les combats de rues c’est pas légal mais faite un geste s’il vous plait. J’veux pas aller en prison…
- On a prévue quelque chose de bien plus noble pour toi. - Je vais retourner en Ukraine ? – Ça dépendra de toi. Ce soir tu pars pour St-Pétersbourg. »
Rapport enregistré, retranscrit sur papier (traduit du russe) – le 07 juin 1975 à Voronej.

« Le sujet #27 a réussi tous les tests mené par la chambre rouge, teste psychologique, moral, sensoriel, physique, bilan de santé. Le sujet est apte à commencer l’entrainement. Nous attendons de voir le reste des sujets présents. Le Sujet #27 semble être le bon élément que nous avions besoin pour le projet Black Widow. Elle ne présente aucun attachement moral, ni sentimental. Elle est réactive et sur la défensive, influencé par les combats de rues. Peu d’éducation. Elle semble avoir une très bonne condition physique pour une jeune fille de douze ans ayant vécu famine et manque d’hygiène. Le Lieutenant-Colonel Pyotr Starkovsky  est venu en personne voir Belova. Le sujet continue les derniers tests de validations demain. »
Rapport écrit, (traduit du russe) – le 08 juin 1975 à St Pétersbourg.

« Le sujet #27 est choisi pour le nouveau projet Black Widow. Elle sera transférée par des agents de la chambre rouge et du KGB à Moscou dans les vingt-quatre heure. »
Rapport écrit, (traduit du russe) – le 09 juin 1975 à St Pétersbourg.

« Général Aleksander Lukin,
J’ai le plaisir de vous annoncer qu’un cobaye répondant parfaitement à tous les critères – sans exception - au projet Black Widow a enfin était trouver. Il s’agit d’une enfant de 15 ans, nommé Yelena Belova sous le code de Sujet#27 provenant de Kjev en Ukraine URSS. Elle sera une veuve noir parfaite n’ayez aucune crainte, en prenant les sujets plus jeune notre taux de réussite sera effectivement multiplié par deux ou trois. Le projet a été plus renforcé et entièrement remanier en fonction des résultats de Romanova. Vous êtes le bienvenu dans les locaux de la chambre rouge, pour admirée notre futur meilleur réussite.
Je vous prie de bien vouloir agréer, mon général, mes sincères et respectueuses salutations.
Lieutenant-Colonel Vasielievich  Pyotr Starkovsky. »
Lettre du Lieutenant-Colonel Pyotr Starkovsky, Direction de la Chambre Rouge au Général Aleksander Lukin, Direction du KGB – le 09 juin 1975 à Moscou

Lire ces documents ne me font rien, je m’attendais à ressentir un sentiment, ressentir quelque chose, de la colère, de la haine, au moins un soupçon d’une émotion. Je lisais ce dossier comme s’il s’agissait d’une cible à abattre. Un dossier parmi tant d’autre. Et pourtant, il s’agissait de moi, de ma vie, de ce qu’on avait fait de moi. Moi, une enfant comme il en existe tant d’autre en Europe de l‘est. Choisi pour tuer et massacre, choisi pour devenir une arme, une menace, choisi pour la servitude. Et pourtant je ne ressens rien, je m’en fou, je suis Black Widow, je suis ce que les autres ont échoué. Je suis la plus grande réussite de la chambre rouge ! La seule et unique Black Widow entièrement réussite, entièrement former, entièrement parfaite. Je ne crains ni la peur ni la douleur, éduqué à la souffrance jusqu’à la fin de mon existence, on ne m’emploie que pour faire le ménage, là où les autres ont faillit. A cette époque, cette jeune époque je me sentais encore humaine, je me sentais être, je me sentais Yelena, la petite araignée. Aujourd’hui je ne suis qu’un bout de chair sans personnalité, façonner et refaçonner. En lisant ce vieux dossier je lu ma date de naissance ... je l'avais oublié. Oublié où j'étais née, oublié ma date de naissance, oublié la mort de mes parents... Je me lève à certain moment sans savoir qui je suis réellement, finalement qui je suis ? Est-ce que je me mens à moi-même ? Et puis après tout on ne me demande pas de réfléchir ou de me poser des questions existentielles. J’ai passé ma vie à enchaîner les identités, les couvertures, les déguisements et les multiples chirurgies plastiques. Lire ces vulgaires bouts de papier ne me rend que plus fière de ce que je suis un être sans rien, sans attache, sans passé sans avenir. Un seul objectif, traquer Natasha Romanova et suivre les ordres. Tout ce qui s’est passé de cette époque je n’en garde aucun souvenir, je ne me souviens ni de mes parents, ni de ma maison. Je n’ai que d’étrange et vague image d’un passé hypothétique, entre réalité ou invention d’un enfant je ne sais guère. Mais ces papiers confirmes bien mon âge, que finalement le nom officiel de ma personne a été pour la chambre rouge Yelena Belova, l’avais-je inventé ? L’on-t-il modifier ? Aucune certitude. Je me souviens ce qu’on me dit de me souvenir, je ne retiens que ce qui est à retenir. Mais un nom et un visage reste gravé à jamais, Pyotr Starkovsky. Mes doigts se posent sur une photo de ce que je ressemblais à 15 ans avec Pyotr… il a été le seul visage humain que j’ai respecté et aimer comme un véritable homme. Sans aucune haine, sans aucune animosité, je l’ai aimé comme un père et venger comme tel. Je ferme les yeux quelques secondes songeant à lui, à ma vie...


On m’a choisi pour être la nouvelle veuve noire que l’espionnage russe attendait. Depuis le début je suis toujours comparé à l’ancienne, celle qui a raté et dont le gouvernement cherche la perte. Je suis le nouvel espoir et sans cesse comparé à être mieux, toujours mieux et sans faille. Je rentre à douze ans à l’académie d’espionnage russe – la chambre rouge – les secrets du KGB. Sous les ordres de Vasielievich Pyotr Starkovsky, depuis mes tests à St Pétersbourg. Et étrangement, même en recevant une éducation bien plus que militarisé à un degré des plus extrême, il y avait quelque chose que Pyotr avait au fond de lui, c’était de la tendresse et une forme d’attachement étrange. Malgré qu’il ne me traite comme un soldat, jusqu’à me hurler dessus comme une moins que rien, je subissais ses menaces, ses violences verbales comme physique il y avait quelque chose en lui qui faisait que je continuais toujours plus et toujours plus loin pour lui. Je cherchais en lui son respect et sa fierté. J’étais pour son regard sa fierté, son bébé a chouchouter et s’il fallait me traîner dans la boue pour que son joyaux soit dans une vitrine il le ferait. Je devais le rendre fière. J’ai été choisi pour ça. Depuis l’âge de 15 ans, je ne dors que trois à quatre heure par nuit, je survie à un entrainement pendant des journées entière et par moment des nuits, pendant deux ou trois jours, avec pour seul pause quelques minutes pour manger un bout de pain et un verre d’eau. Je ne dis pas que c’était le paradis, ou que c’était facile – j’ai vécu l’enfer. Rien de tout ce que j’ai vécu ces dernières années ne faudra l’enfer que j’ai vécu ici. Soumise à la torture, la séquestration afin de réussi à survivre plus facilement à ce genre de condition et d’être entraîner à la vaincre et la pratiquer, savoir où aller pour faire mal. Je crus mourir à plusieurs reprise par la faim, la fatigue ou les douleurs, les os cassés ou encore le moral. On m'apprit à parler un russe exact et correcte (oubliant les dialectes de ma région natal) l'allemand, le français, le mandarin, le japonais, l'arabe mais aussi l'Anglais. Quand on s'attaque à quelqu'un, il est plus correcte de lui dire adieux dans sa langue, histoire de bien se faire comprendre. La chambre rouge a détruit l'humain qu'il y avait en moi, mon humaniste, les concepts de pitiés, de partage, d'amour, de paix... la conscience. Je n'ignore pas ces choses je les ai perdu, oublié comme un enfant oublie sa mère, sa famille, sa vie d'avant. Lavage de cerveau et électrocution. Voilà le quotidien d'une veuve noir.   

Il y a d’autres jeunes gens comme moi à la chambre rouge, ils suivent aussi un entrainement d’espion mais pas comme le mien, eux ne font pas parti du projet Black Widow. Je n’ai pas le droit de leur parler, ni de rentrer en contact avec eux pour le moment. Ma vie se cantonne à ma prison et Pyotr et quelque autres personnages travaillant pour le projet. Je me souviens d’un jour, je devais être dans le camp depuis moins d’un an, en allant prendre ma douche je me suis fait bousculé par un homme, toujours plus haut placé que moi et ma donner une énorme gifle pour ne pas avoir regardé en face de moi, prêt à me donner une bonne correction. Pyotr est arrivé par derrière lui a retourné le bras et envoyé volé contre le mur. Je suis restai là, sans rien dire, Pyotr s’est agenouillé devant moi et ma dit « Ne laisse jamais personne te donner des ordres, jamais, ne répond qu’à tes supérieurs, ce que tu connais. Les autres, montre leur qui tu es. N’oublie pas ne te laisse –jamais- marcher sur les pieds. Tu es une petite araignée mais bientôt tu seras Black Widow! » J’avais retenu la leçon, c’était bien la première fois que je voyais le lieutenant Starkovsky aussi gentil avec moi.  En réalité, il mettait tellement d’espoir en moi, de la fierté et toute sa vie et sa passion, j’étais la conception finale de son enfant. Le premier d’une longue ligné. J’étais loin de m’imaginer que le Lieutenant tombait en réalité aussi sous mon charme de jeune fille qui devenait femme. Il tombait amoureux de moi, mais gardant sa place de chef et de père protecteur, ce n’est que plus tard que je découvre le poteau rose. Même si au fil des années je me doute qu’il y a quelque chose de louche dans le comportement du lieutenant Starkovsky. Il refuse de me laisser sortir seule, toujours accompagné de sa personne, il veille sur moi comme si j'étais un objet inestimable. Donne des entraînements plus poussé que prévu, toujours plus dur, toujours plus fort et plus douloureux. Il cherche à ce que je sois parfait, certes, il met la barre bien plus haute que ce qu’il est prévu. Pour mon bien, pour être sûr que je sois en mesure de me protéger de tout et même et surtout de mes proches. Il cherche l’exclusivité en moi et ça je l’ai bien compris. Je fini par apprendre qu’il était devenu obsédé par moi, qu’il m’aimait comme un fou mais il se résigné à tenir ses sentiments pour moi en dehors de sa mission première, formais la futur black widow. J’apprends aussi qu’il emploi Pétra, une prostitué qu’il paye pour me ressembler, portant mes propres vêtements, mes uniformes. Afin de ne pas me toucher dans de mauvais sens il est aller jusqu'à lui teindre ces cheveux en blond et lui donner ma propre coupe de cheveux. Mon odeur, et même changer des partis de son visage pour me ressembler. Il l'appelle par mon prénom. Je m’en contre fou. Je suis resté à la chambre rouge en formation intensif comme tel pendant 10 ans. Dix longue année enfermé, à travailler pratiquement nuit et jour à devenir toujours la meilleure. J’obtiens une grande satisfaction en étant enfin diplômé de la Chambre rouge 5 ans après mon admission, à l’âge de 20 ans je deviens la première étudiante à obtenir de meilleures notes que Romanova. Mais le projet Black Widow n’est pas terminé, il me reste encore cinq ans dans ce camp de la mort. Je veux et je désir surpasser cette Romanova, je suis entraîne et formater pour être sa rivale, être meilleure qu’elle. Et c’est ce que je m’emploie à faire chaque jour qu’il passe. Je désir être la seule et unique Veuve noir. Dans ma dernière année avant de voler de mes propres ailes, je fini par faire part à mon mentor de ce que je savais à propos de son obsession me visant. Nous nous sommes embrassées et le premier homme et dernier homme de ma vie fut lui, Pyotr Starkovsky. Pétra nous avait surpris, sans dire un mot dans le lit de Pyotr. Elle, follement amoureuse en secret du lieutenant, s’imaginant sortir de la rue sans doute, elle n’avait pas réalisé qu’elle vivait un amour dans mon ombre, elle n’était que mon simple reflet pour ne pas faire capoté une formation et un projet à plusieurs million de roubles et de sa propre vie. Elle ne vivait que pour lui mais qu’à travers mon ombre, en attendant de pouvoir peut-être un jour me révéler la vérité, enfin sa vérité. L’obsession de Pyotr avait rendu Petra complètement folle, perdant les sens de la réalité jusqu'à oublié qui elle était vraiment et se croyant être Yelena Belova la vrai espionne et le vraie grand amour du lieutenant Starkovsky. Pour elle j'étais de trop. Sa jalousie fut tel en voyant notre étreinte passionné, qu'elle en perdit complètement la raison et prit la fuite. 


Quelque jour plus tard elle vient à ma rencontre dans la salle d'entrainement. Habillé de mon costume, de ma coupe de cheveux, et m'attaque. M’agrippant par les cheveux elle m'hurle qu'elle est Black Widow, la seule et unique Black Widow. Qu'elle est Yelena Belova, que je dois tout avoué. Lui avoir volé son identité. Sans plus de compassion ou de haine je retourne la situation facilement écrasant mon poing dans son visage et la laissant au sol comme une pauvre serpillière. Je vais rejoindre Pyotr pour lui expliquer la situation. Celui-ci devenant fou de savoir que cette putain m'avait attaqué, moi son amour. Il me promit de la faire jeter du camp d'ici ce soir. Sans crié garde je déambule dans les couloirs en train de courir pour aller à l'entrainement du soir lorsque j’entends un hurlement, celui de Pyotr. Je cours comme une furie, poussant les gens sur mon chemin, arrivé à son bureau je vois au loin Pétra partir en courant, Pyotr allongé sur le sol, dans une flaque de sang, de son sang. Je m’agenouille devant lui, impuissante face à ça. Je ne peux rien faire, je me contente d’être près de lui, lui tenant la main alors qu’il est encore conscient quelques instant. Ces dernières paroles avant de mourir, en me regardant dans les yeux « N’oublie pas … ta mission. Ne te laisse…jamais… marche sur …sur… - Sur les pieds, je sais Pyotr… Pyotr ? PYOTR ?? » Je n’arrivais pas à pleurer, je criais comme si il allait mieux m’entendre. Il est mort, son regard plonger dans le mien, à jamais et pour toujours. Formé à la déshumanisation, je ne sais plus ce qu’est pleuré, pleurer quelqu’un, pleurer un être cher. Etre triste ... c'est quoi déjà? Je reste à genoux, dans une mare de sang, serrant toujours sa main, mes yeux me pique mon cerveau se compresse. Je suis tiraillé entre plein de choses, craquées, ne pas craquer. Perdre et garder le contrôle. Ce que je sais, aujourd’hui, c’est que j’ai perdu officiellement mon humanité et ma moralité ce jour-là. Ce fut le déclic qui fit bascula incontestablement la balance. A partir de la mort de Pyotr plus personne ne contait, je ne me laissais plus aller à l’humanité qui pouvait envahir les hommes normaux, je ne suis pas normal, je suis entraîner à la souffrance, à la torture, au silence et à faire régner la terreur et la destruction. Je reste paralysé face à cette dépouille jusqu’à ce quelques hommes me soulèvent par les bras, me forçant à quitter la pièce, je suis recouverte de sang. J’attrape le premier soldat, lui donnant un coup de tête en plein dans le front le faisant tombé à terre et un coup de pied-tête dans celui de derrière. Je récupère l’arme de Starkovsky et part en courant dans le couloir. D’une fenêtre je vois Pétra dans la cour, fuyant le mal qu’elle avait causé. De la fenêtre je brise la vitre avec mon coude et tire dans son pied pour la mettre au sol. Je saute au travers de la fenêtre, roulant sur le sol pour me retrouver enfin sur les pieds, je marche lentement dans sa direction. « C'est MOI! C'EST MOI Yelena!! Ce n'est pas elle! Faite quelque chose! » Elle est au sol, à ma merci. Elle hurle par la douleur et je vois la peur sur son visage. Elle ne peut pas être Black Widow. Black Widow ne connait pas la peur. Je tire une seconde fois dans sa jambe « Ça c’est pour la chambre rouge » je tire une nouvelle fois dans son ventre « ça c’est pour les traîtres » je la regarde souffrir le martyr sur le sol. « Black Widow, rangeait cette arme sur le champ!! » Je me tourne en regardant du coin de l’œil le capitaine me donnant un ordre du haut de la fenêtre que j'avais brisé. Je donne un énorme coup de pied dans le ventre de Pétra avant de posé le canon de mon revolver sur sa tempe et lui dire, mon visage près du sien « Et ça … c’est pour Pyotr ! » Je tire, éclaboussant de son sang mon visage et les quelques soldats près à m’intercepter. Sa tête éclaté, méconnaissable. Je me remets droite, face à cette assemblé, je regarde en haut le capitaine, jetant l’arme de Pyotr un peu plus loin les soldats n’osant m’approcher, firent un pas en arrière et je réponds « Je ne réponds qu’au ordre de mon supérieur. Vous n’êtes pas, mon supérieur. » Maintenant que Pyotr est mort je décidai d'être pleinement la veuve noir. Le déclic, je n'aimais pas ce nom mais maintenant qu'il n'était plus là ... Ce nom m'allait parfaitement. Malheureusement j'avais eut le même instinct que Natasha après la mort de son mari.

Aleksander Lukin vient en personne après cet incident. D’après lui, je suis la plus belle réussite de la chambre Rouge, une veuve noire comme la Russie en avait rêvé. Et ma vengeance personnelle pour mon mentor n’a fait que garantir les espoirs que Lukin placer en moi. C’est à partir de ce jour que j’acceptai mon rôle officiel de la Veuve noir, le projet Black Widow est un succès. Mon seul désarroi est que le lieutenant Starkovsky ne soit plus là pour pouvoir admirer son chef d’œuvre, sa plus grande réussite… Moi.


Après la mort de Pyotr je fus promu au rang de Capitain servant mon pays dans l’armée de Russie, il faut dire que la tâche ne fut pas facile, je n’avais que 24 ans à cette époque lorsque je me suis retrouver à la tête d’une section de militaire qui me voyait comme une gamine. Mais ils furent assez rapidement mit au courent de qui j’étais et qu’il fallait suivre mes ordres et m’écouter, au risque de sa vie. Je n’éprouve aucune pitié, aucun attachement. Je mène mes hommes d’une main de fer et sans vergogne ! On fit plusieurs missions, il s’agissait pour moi d’un entrainement de mes compétences comme combattantes et de dirigeante. J’achevais sans compassion mes soldats blessé à l’agonie, une balle dans la tête –on en parle plus- et j’étais bien plus féroce avec mes ennemies. Leur point faible ?  Faire confiance à une jolie gamine qui semble innocente et perdu dans une guerre qui n’est pas la sienne. Je suis la nécrose et la maladie dans leur troupe que je tue un après un dans la nuit avec discrétion et efficacité – on entend plus parler de moi- Après une année et demis d’armée, envoyé sur des fronts de la Russie, la Chine, certain pays Arabe comme capitaine d’armée on me confia enfin un rôle d’agent du gouvernement – espionnage – ma mission intercepter une arme biologique appelée la Furie sans Mort.

On m’envoie au Rhapastan, infiltré la cellule terroriste du Colonel Khan. Ma surprise fut grande quand mon chemin croisa celui de Romanova.  Elle fit capoté littéralement ma mission en tuant Khan et détruisant le sérum létal, je ne sais pour qui elle travail mais ça faisait longtemps que je rêvais de la rencontrer et de la combattre. Romanova a un avantage sur moi, son expérience que je n’ai pas encore mais elle n’a pas ou du moins n’a plus la fureur d’une jeune veuve noir formaté à la destruction, même prête à mourir. Je fini par la mettre à terre et la menace de mon arme sur sa tête. Je suis prête à tirer mais quelque chose me retient ! Si je la tue maintenant il n’y a pas de compétition et il n’y a plus d’amusement. J’aime la rivalité et j’ai été créé pour la confrontation ! Je retire mon arme de son visage et l’assomme « Que la meilleure gagne… » Je pense qu’à partir de ce jour, Romanova comprit que la Russie l’avait remplacé par un être à sa hauteur et qu’elle ne devait pas se reposé sur ses lauriers ! En rentrant de la mission je fais mon rapport à Yuro Stalyenko mon supérieur, omettant de parler de mon libre parti d’avoir épargné l’agent Romanova pour mon plaisir personnelle de chasseuse. Deux jours plus tard il m’envoie livrer une arme capable de d’annuler les défenses des Inhumains à Mr Bixby. Je remplie mes missions, me créant couverture sur couverture, enchaînant les apparences diverses et variés. Je parti pour quelque mission à Cuba sous le nom de Rooskaya une mannequine, je fus à de nombreuse reprise infiltré dans des entreprises américains basé en pays étranges, mon sens accrus des affaires  me permettait de tenir ma couverture parfaitement. Changeant si souvent d’identité et de physique grâce au maquillage, mes cheveux je peux devenir mannequine à de nombreuse reprise à Cuba même et d’autre pays sous diverse nom d’emprunt. Le monde de l’espionnage me craint bien plus que n’importe quelle virus, car personne ne me connait, personne ne connait mon identité, mon réel visage, mes intentions ou encore mon pays d’adoption. Je suis un chat parmi les pigeons créant panique, confusion et mort. Je suis recherché mais jamais trouver, c’est comme vouloir attraper le vent… Par souci d’investigation, j’appris que Romanova devenu Romanoff se mit à travailler pour le Shield sous les ordres de Nick Fury. Une mission d’infiltration fut mis en place, pour que j’accède au Shield.


On m’envoya dans les laboratoires scientifiques expérimentaux de la chambre Rouge où mon visage fut une première fois transformer pour se rapprocher du visage de Natasha Romanoff de son nouveau nom. On me teignit les cheveux en roux, ainsi qu’une nouvelle coupe de cheveux. Je pris la place de Natasha avec une assez bonne facilité, trompant bien nombre d’agent, elle était nouvelle, personne ne la connaissait vraiment, voilà mon point fort. Quant à la vraie Natasha, elle est bien trop occupée à semer les mercenaires que j’ai lancés à sa poursuite. Finalement Romanoff est amené à Stalyenko en Russie, chose que je ne me souciais guère en fait c’est qu’il servait c’est propre intérêt au détriment de la Russie, sa patrie. Il projetait de me faire tuer, me considèrent comme un simple pion, ma mission terminé, je récupère les informations sur les armes nucléaires cachés dans l’Hudson pendant la guerre froide et je m’en vais sans demander mon reste. Je me fais démasqué par un homme, un certain Barton qui lui, doit bien connaitre Romanoff …  même très bien vu sa méfiance à mon égard. Je quitte le pays, le SHIELD au trousse, dépassé la frontière Mexicaine je me rends à Cuba, et direction la Russie. Où je retrouve Romanoff prisonnière, notre ressemblance est vraiment frappante ! On se sent un peu mal à l’aise en réalité d’une telle ressemblance. C’est dans ce genre de moment, vous savez que vous vous posez la question, cette question. Mais qui je suis ? Moi ? Suis-je elle ? Suis-je une autre ? Suis-je différente ? Un réel manque de personnalité qui me fera souffrir que bien plus tard dans ma vie. Qui sommes-nous ? Et pour ma part, je n’ai aucune idée de ce que je suis, de qui je suis… on ma formaté à prendre l’apparence de qui je dois être pour réussir une mission, rien d’autre. Natasha m’explique le plan de Stalyenko – je ne la crois pas – mais un doute plane… Ne jamais être sûr de ces acquis. Par défaut je dus faire alliance avec Natasha pour sauver notre vie à toutes les deux, mais elle ne s’en tirera pas comme ça. Je détache Romanoff qui fait semblant d’être toujours attacher à sa chaise. Stalyenko entre, je lui remets les plans et les informations qu’il désirait, je sens une arme sur l’arrière de ma tête. Il n’eut le temps de dire aucun mot de sa misérable bouche que Natasha l’avait attaqué par surprise, je me penche pour esquivé la balle, à deux sur lui. Natasha récupère les informations qu’elle détruit aussitôt pendant que j’abat froidement mon supérieur. J’en profite par la même occasion d’attaquer Natasha par surprise. « L’espionnage s’est pas un jeu. Tu devrais le savoir ! » Des hélicos du Shield arrivent, je me démène pour sortir du repère, laissant la dépouille du traître derrière moi ainsi que Romanoff. Je disparais comme une ombre, sans trace, sans passage. Un tout terrain me récupère quelques mètres plus loin de la base, je rentre à Moscou avec eux.

Je rends des comptes à Lukin, voulant une explication sur la mort de l’un de ses généraux. Le projet Black Widow est en péril. Je suis devenu bien trop indépendante, bien trop … inhumaine pour que l’on me fasse confiance juste sur une parole ou un geste du genre c’est pour la Russie. J’ai bien compris qu’il n’y avait plus de patriotisme, il n’y avait plus de volonté bénéfique. Il ne s’agit que de pouvoir, d’argent et de politique. Je suis une espionne mercenaire avant tout. J’exécute le travail que l’on me demande et je ne veux plus à devoir me méfier de mon propre supérieur sans que je sois obligé de le tuer pour sauver ma peau. Je reste un agent gouvernemental avant tout. Portant toujours l’apparence de Natasha Romanoff, lors d’une mission dans un pays d’orient, je me fais sauvagement attaqué mes hommes et moi par un autre corpuscule armée. Des hommes d'un commando russe ! Mais l’un de… reste gravé, il porte un masque sur son visage, impossible de le voir, seul signe distinctif un bras en acier bionique. La première fois de ma vie qu’un homme résiste à mes combats, même techniques de combat ou presque, jusqu’à ce qu’il finisse par me parler de celle à qui je ressemble dans un russe parfait. Je me mets à rire, lui faisant comprendre qu’il s’est trompé de cible, je ne suis pas celle qui croit être et lui tire dessus avec une kalachnikov que je récupère un peu plus loin, il par mes balles de son bras, il finit par m’attraper à la gorge de son bras me soulevant du sol. « Qui es-tu… ? – On m’appelle le Soldat de l’Hiver » Il avait un quelconque passé avec la Russie, non pas pour le parler mais pour ces techniques de combats dignes de la chambre rouge! Mais lui, reconnu malgré tout que je n’étais pas Natasha Romanoff  ne portant pas le même uniforme qu’elle. Je fini par me dégage de son bras en repliant mes jambe contre moi et les plaquant violemment contre son torse. Je tombe au sol, roule et récupère une arme quelconque, visant droit sur lui, sans tiré. Il me regarda, le regard aussi vide que moi et s’en alla. En rentrant à la chambre rouge je cherchais, qui était ce type … ce … soldat de l’hiver, je trouvai dans de vieux dossier de la chambre rouge, un projet… très vieux projet, le projet Winter Soldier, qui daté de bien avant ma naissance. Alors c’était lui.

La Russie n’est plus ce qu’elle a été autrefois… problème politique, manque d’argent, de fond, de domination. Je démissionne d’agent gouvernemental, ne voulant me résoudre à de simple mission de babysitting d’homme important, je ne suis pas là pour garder les politiciens, je suis là pour les achever. Restant le projet de la chambre rouge, je deviens mercenaire et agent d’espionnage international marchant au contrat. Mes qualités d’espionnes et de discrétion m’ont attiré les bonnes grâces du SHIELD. Il m’appelle à l’aide –la bonne blague- je me rends au Etats-Unis sous une fausse couverture, un nouveau visage façonner par les médecins de la chambre rouge. Je suis méconnaissable pour n’importe quel agent, qui me voyant comme une belle brune. Même Natasha serait incapable de me reconnaître. Je joue le doublon pour la Russie, mais … ça, le SHIELD doit s’en douté. J'accède a un niveau 5. On me met sur la mission du minage illégal du vibranium, impliquant le SHIELD, des surhumains bon comme mauvais. A ma tête Electro pour déclencher la colère de Sauron afin de détruire la mine illégale avec des agents du Shield à mes ordres. Mission suicide en quelque sorte, que voulez-vous, j’aime l’action. Une fois sur place, tout est en place pour semer le désordre et le chaos ! Je fais libéré quelques prisonniers de la prison pour m’aider à éliminer Sauron et sa bande de Mutés avec l’aide d’Electro. Le SHIELD m’envoie sa Justice League, je n’ai pas besoin de cette bande de pantin ! Ils ne sont pas d’accord avec mes méthodes ? Quand on n’aime pas le travail sale on n’emploie pas des Russe ! Me m’étant en rogne, je montre sans gêne mon agacement en vers la Justice League, cette bande de guignol. L’affrontement se termine assez rapidement lorsque Sauron nous attaque. Je ravale ma fierté de côté et j’attaque les mutés pour ne pas faire capoter la mission. Et c’est là que le cauchemar à commencer. Nos méthodes ne plaisent pas aux JL qui m'attaque entre temps. Sans crier garde, je cours pour faire exploser la mine quand Jessica Drew me bloque le passage, m'attaquant elle me met dans la ligne de mire de Sauron qui me cracha son feu, me projetant à plusieurs mètres plus loin. Je tombe sur le sol comme une pauvre marionnette, je suis incapable de crier ma souffrance et pourtant elle est bien réelle. Pourtant je suis entraîné à souffrir… mon visage ainsi que mon corps est entièrement brûlé, je suis défiguré, incapable de bouger je pers connaissance.


« Baron Von Stucker,
Nous avons retrouvé le corps brûler mais toujours vivant d’une agent du SHIELD non répertorié -d’après les informations confidentiels du SHIELD- la femme est un mercenaire soviétique, ex agent gouvernemental, Capitaine d'armée, il se pourrait que ce soit l’espionne rechercher Yelena Belova. Nous la transférons avec le plus grand soin dans la base HYDRA la plus proche.
HAIL HYDRA. »
Lettre de l’agent x au Baron Von Stucker, Direction de l’HYDRA, le 03 Février 1990 en Antarctique. (Traduit de l’Allemand)

« Docteur George Tarleton,
Nous avons retrouvez en Antarctique le corps d'une espionne soviétique – d'après nos information il s'agirait de l'espionne rechercher internationalement pour de multiple crime contre l'humanité, Yelena Belova, nous essayons de confirmer son identité au près de la chambre rouge- le projet Adaptoïde sera bientôt lancé, lorsque le sujet sera près il vous sera transférer au plus vite.»
Lettre du Baron Von Stucker, Direction de l’HYDRA au Docteur George Tarleton, Génie scientifique de l'AIM le 06 Février 1990 en Allemagne.

Si l’HYDRA n’avait pas été là, je serais morte à l’heure qu’il est. Le SHIELD et leur héros m’ont laissé sur place, à première vue je paraissais morte aux yeux de tous – pas pour l’HYDRA- des agents russes ont reconnu mon signalement comme agent infiltré du SHIELD, un mercenaire payer pour faire le sale boulot et pas que du SHIELD, le sale boulot des autres, lorsque les missions sont dangereuses, suicidaire ou encore impossible. Voilà à quoi nous servons. C’est l’HYDRA et l'AIM qui m'ont sauvé mais je ne travaille pas plus pour eux pour autant je n’appartiens plus à personne. Je me suis réveillé dans un état proche de la mort, brûlé à plus de 80% du corps, je suis défiguré, respirant avec l’aide de machine, sans aide médicalisé … je ne peux pas survivre. Un des agent de l’HYDRA me propose un marcher sauver ma vie en échange d’une expérience qui pourrait changer l’histoire et une vengeance qui devait l’arranger aussi. J’accepte. J’ignore où je suis, qui est cet homme, en réalité je ne sais rien, sauf que je vais mourir au vue de ma faible respiration artificiel et de mon corps qui lâche petit à petit au fil des heures. On me demande confirmation de mon identité. Je suis si bonne espionne, manipulatrice et caméléon que même eux, ignore le vrai visage de la veuve noir. Mais l’HYDRA n’était pas seul sur le coup, des agents d’AIM s’étaient allié avec les nazis pour monter ce projet, quoi de plus beau que d’amélioré le projet soviétique Black Widow en projet URSS-HYDRA-AIM une petite amélioration de ce que j’étais déjà. L'HYDRA avait besoin de recrus, de soldat, l'AIM un besoin d’expérimentation pour changer le monde. Le marché était déjà tout fait, L'AIM envoyait ces plus gros chercheurs, médecins et surtout leur plus grand chef et génie MODOK et l'HYDRA payer. Avant j’étais un agent supra entraîné, formater à la destruction. Ce qu’ils ont fait de moi aujourd’hui, c’est de la science même, c’est un être suprême. Je suis ce que le monde du bien à toujours craint, l’incarnation de trois des plus gros corpuscules les plus dangereux du monde en une seule et unique personne. MODOK ministre du conseil de l'AIM et l'un des plus grand génie de siècle avait réussi a reproduire le cube cosmique ça nouvelle expérience, l'adaptoide. Je subis une très lourde opération, modifiant mon corps, mon ADN et ma génétique grâce au cube cosmique en super-adaptoïde, ils reformairent mon visage comme celui que je possédais lorsque j’avais 20 ans, mon vraie visage. Celui que j’avais depuis ma naissance, ça devait faire une décennie que je ne m’étais plus vu avec ce visage… Je restais plusieurs mois enveloppé de bande comme seul distraction un poste de radio écoutant ce qui se passer dans le monde pendant que je reprenais des forces, dans un lit incapable de bouger. Entre la chute du mur de Berlin, l'avenir de l'URSS ma mère patrie qui s'écroule petit à petit... dans l'oublie, la domination américaine et le capitalisme. Pourtant tout ce que j’écoute, je n’en ai rien à faire, j’entre ouvre les yeux encore fragile à la lumière et le regarde le plafond lorsque je ne vois pas un agent ou un médecin venir voir comment je vais. Modok, mon sauveur et mon créateur venait tous les jours me voir. J'étais son bijoux du moment, sa futur réussite. Ce qui le projetterait au devant de la scène.

Six Mois plus tard je peux enfin me redresser dans mon lit, bouger la tête, mes mains et mes doigts. On finit par m’enlever mes bandes sur le visage, Modok me met un miroir en face de moi, je reste sans émotion devant un reflet me ressemblant comme il y a dix ans. C’est moi, c’est ce que j’étais. C’est difficile de parler de soi au passé, pourtant je ne suis pas morte. Mais je n’ai jamais vraiment su qui je suis réellement, ce cruel manque d’identité va commencer à me hanté jusqu’à la fin. Un cruel besoin, une recherche de soi. Est-ce que je suis ce que je vois, cette jeune fille de 20 ans, blonde aux yeux vert… ou ce n’est qu’une illusion ? Encore une couverture ? Un masque ? Un maquillage ? Je ne me souviens même plus si finalement j’ai vraiment ressemblé à cette jeune fille ou si je l’ai rêvé, inventé ? Etait-ce mon vrai visage ? Ou encore une chirurgie d’il y a 4 ou 5 ans que je ne me souviens plus par la chambre Rouge. Je reste là sans parler, ça fait depuis que l’HYDRA ma ramener que je n’adresse plus la parole au monde, ce monde me dégoûte. Même à Modok. Lorsque je peux enfin le voir, même son aspect des plus... inhabituel ne me fit réagir. Plus rien ne me faisait réagir désormais. A l’heure actuel, je me sens expérience, je me sens rat de laboratoire, projet sur projet, façonnage sur façonnage. Je me demande encore si je suis humaine ou un bout de viande que l’on se dispute…

Au bout de deux mois je me remets à parler, je marche, je bouge normalement. Modok et les médecins responsables de mon changement m’expliquent le projet adaptoïde maintenant que j’ai repris toutes mes facultés cérébrales et physiques. En fait je n’ai pas changé, je suis toujours la même fille, je suis toujours Yelena Belova, sauf que ce que je ressens à bien changer. Je me sens changé ! J’ai bien compris que j’étais seul à moi-même, je ne pouvais compter que sur moi.

Alors, comme ça je suis une adaptoïde intéressant. Je migre de la base de l’HYDRA pour rester pendant plus d'un an sur l'île de l'AM -un an enfermé dans un labo- pour comprendre mon nouveau corps, me faire à ce nouveau pouvoir qui m’a été offert. Je visionne des centaines d’heures de combat répertorié de tous les héros connu de tous et filmé par l’HYDRA ou l’AIM. Wonder Woman, Supeman, John Stewart, Flash, Northstar ou encore Captain Marvel. Des heures pour enregistrés d’un regard leurs techniques de combats, leurs pouvoirs, leurs capacités, leurs forces et leurs faiblesses. Le changement est bizarre il faut que je m’habitue à comprendre et m’adapter à ce nouveau corps que je ne sens plus mien finalement. J’ai l’impression de ne plus m’appartenir, j’ai l’impression d’être un cerveau contrôlant un corps pour qu’il me protège, pour qu’il copie les autres sans être à moi. Voilà cette sensation que je vivais jusqu’à la fin de ma vie, je ne le regrette pas –je suis vivante- mais au prix de quoi ? Aux prix d’un esprit torturé bien plus que je ne le suis déjà… une âme vide, sans émotion, sans attache sans rien, un espace vide dans ma poitrine, et une arme dans les mains, du sang recouvrant ma vie, inenlevable de tous ses gens que j’ai tué, assassiné, sacrifier au prix de quoi… pour de l’argent, pour ma vision de la liberté, pour rien en fait, par l’habitude de tuer des gens parce que c’est ce qu’on m’a appris depuis que j’ai 15 ans. Pourquoi maintenant ? Pourquoi je me mets à réfléchir ? Pourquoi j’essaye de comprendre et de donner un sens à ma vie ?? Pourquoi ! – je me lève de mon lit, renversant tout de la table de nuit de mon petit hôtel de cuba, ma respiration est haletante, je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Je pose mes mains sur mon visage serrant du plus fort que je peux comme si il allait finir par s’écraser. Je veux que sa s’arrête. Mais je ne peux pas, j’ai une mission qui commence dans 15 minutes ! –


Voilà ce que je suis devenu, esclave de mes missions que j’accepte par goût du risque, nécessité, formatage … si demain j’arrêtais, qu’est-ce que je ferais ? Je deviendrais comme Natasha ? A joué les nounous aux SHIELD… Je ne sais pas. C’est comme si deux personnes se battaient à l’intérieur de moi, d’un côté Yelena l’ukrainienne de 15 ans et de l’autre Yelena la mercenaire de la chambre rouge de 30 ans. Ma mission commence.

Depuis l’intervention de l’HYDRA et de l’AIM je n’ai rien changé à mes méthodes d’espionnage, j’utilise toujours la menace, la manipulation, le sexe, la violence. Rien n’à changer, à part que j’ai bien plus de force et de pouvoir. Je suis devenu un des 7 du conseil de l'AIM, ministre d'Etat. Première ministre expérience et non scientifique. Je règle les problèmes externes et donne mon avis au sein du conseil dirigeant. Il faut dire que j'impose le respect face à des éventuels acheteurs. Je quitte Cuba après avoir achevé mon homme me rendant en Allemagne. Je dois quelque service à ce Baron Von Stucker, ce qu'il désiré pour l'alliance avec l'AIM c'est d'un personnage de poigne et de confiance, je suis leur agent de liaison. Depuis peu j’ai été de nouveau contacté par Aleksander Lukin, un vieux personnage que je connais bien afin de donner quelque information à la Roxxon sur le SHIELD dont il avait besoin pour contrait Stark Industrie, je me fais une joie de les lui donner en échange de quelque armes soviétique qui me manque par passion de ces armes aux quelles je suis tant attaché. Ma vie a finalement repris son cours normal si on peut appeler ça normal… le Capitaine Yelena Belova est officiellement morte pour énormément de gens, information divulgué par le SHIELD lui-même, pour bon nombre d’agent je suis une Free-lance sous diverse identité, jamais la même, jamais le même visage. J’ai bon nombre d’ennemie, de contact, de gens à qui j’ai fait du mal et je m’en fou. Ça ne me fait rien, je n’imagine pas ma vie autrement, je n’imagine pas ma vie en fait, je suis une arme. Je n’ai plus revu Natasha depuis plus de dix ans maintenant, je pense que si elle me revoyait, comme beaucoup elle ne me reconnaîtrait pas. La rumeur circule, qu'est devenue la veuve noir II? Morte, caché? Personne ne connait son nom, son visage. Tout le monde vous fera un descriptif différents, un coup blonde, une autre brune, châtin, cheveux coloré, décoloré. Je suis un caméléon, et ma formation de la chambre Rouge n'en est pour quelque chose. Je suis un fantôme dans la vie de bon nombre de gens. Peut savent mon identité, où me trouver, comment me trouver. Mais il n'est jamais bon d'avoir sa tête mise à prix par l'HYDRA ou l'AIM, croyez moi, j'en sais quelque chose... Je suis votre bourreau.  

Depuis 2011, j'ai été contacter par un certain Sergei Boldarev. Un ancien politicien que j'avais eu le loisir de connaitre pendant ma formation à la chambre rouge. Je le pensais mort, comme presque tous d'ailleurs... Ce la fait 36 ans maintenant .... Il me contact pour me proposer un deal. Un contrat plutôt intéressant. Il cherche à monté une nouvelle organisation afin de dirigé tout le côté asiatique et est du monde englobant la Russie notre patrie de naissance. Les Last Sons, outre un bon salaire, mais je ne cours pas après l'argent j'ai de quoi vivre pour encore de longue année paisible... L'argent n'a jamais été un motif de contrat. Mais il me propose quelques petites choses qui éveille un intéressement sans nom. 1: Redonner ses blasons à la Russie. Je n'ai que faire d'un patriotisme dépourvue de vrai intention. Ma Russie est morte bien avant la chute de l'URSS il y a 20 ans. Plus rien n'a d'importance dans notre monde. 2: La vengeance, une vengeance qu'il me promet d’assouvir contre le SHIELD. Nous avons un ennemie commun et les armes pour les utiliser contre eux, j'ai une affaire à régler avec eux, une vie pour une vie. Et le prix de la mienne vaudra celle de leur organisation. Natasha, ma mission première reste une de mes priorités 3: La Gloire. Fruit d'expérimentation de la chambre rouge, d'entrainement, de formation, endoctrinement, de lavement de cerveau, d'expérimentation génétique et scientifique je ne suis plus rien que l'ombre de se qui a été il y a encore 39 ans un humain. Fait de chaire, de sang et d'une conscience moral. Je ne suis plus rien. Je suis une arme de guerre, une arme de destruction. Qui ne craint ni la peur, ni la mort. Boldarev m'offre la chance de faire une fois les choses par moi même et pour moi même. Une gloire pour mon nom, pour mes prouesses. Il est peut-être temps que le monde sache aujourd'hui après 39 ans qui est le véritable visage de la Black Widow II - car non elle n'est pas morte et ne mourira jamais. Car elle restera dans l'histoire. C'est ainsi que j'ai rejoins Boldarev en Russie pour être à ses côtés dans le projet Last Sons. L'AIM-HYDRA a aujourd'hui perdu toute gloire, tout prestige. Qu'il y a -t-il a de bien à être un ministre d'Etat de l'AIM aujourd'hui? Outre sauver les fesses de ces pauvres petits scientifiques. Aucun. J'y reste comme voie de secours, je protège toujours mes arrières et je sais qu'ils pourront toujours m'être utilise dans mon aliénation. Mes talents de businesswoman, mon passé à la mère patrie et mon expérience enrichie l'organisation encore neuve et fragile de Boldarev et me place comme conseillère au recrutement et aux politiques utilisées. Que la guerre commence.