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Longue vie à Faunus? [Poison Ivy]

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Longue vie à Faunus? [Poison Ivy] Empty Longue vie à Faunus? [Poison Ivy]

Message  Amara Aquilla Mer 15 Aoû 2018 - 12:06



« Rencontre avec la nature? »
Avec Poison Ivy
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Partie de la Nouvelle-Rome récemment, je me tourne doucement vers l’avenir de nouveaux projets ambitieux. Comme l’Institut Xavier, j’étais obligée de faire des sacrifices dans mes affiliations afin d’éviter les conflits dans mon horaire. Ainsi, malheureusement, deux maisons qui m’ont offert le meilleur d’eux, risquent d’être négliger avec le temps. Je ne m’inquiète pas pour les X-Men ou pour la Nouvelle-Rome, ces deux maisons peuvent compter sur de nombreux êtres fidèles pour les aider à établir la justice et le respect sur chacun de leurs territoires. Récemment, j’ai décidé de m’inscrire dans une nouvelle formalité, dans une nouvelle façon de pouvoir combattre pour la justice sans être avec les X-Men. J’ai enfin décidé de m’impliquer dans les Luchadores, l’un des groupes les plus vieux existants encore aujourd’hui autour de la Super-Sécurité. Connaissant des hauts et des bas, comme tous êtres, ils veulent se donner un second souffle afin de regagner leurs influences sur le continent sud-américain. Recevant aujourd’hui de l’aide des Amazones de Themyscira, des Guerrières de Fémizonia et des Romains de mon propre peuple, les Luchadores se sont trouvé des alliés puissants afin de percer dans la super-sécurité.

Ce qui manquait dans ce futur déroulement était peut-être les membres, et malgré que je ne sois pas une amazone d’élite ou un membre de la Ligue des Justiciers surpuissant, je pense que mes talents pourraient aider autrement que les tentatives maladroites de certains employés de cette organisation. Me traitant comme Vénus, ils voient ainsi uniquement ce que mon entraînement avait donné au fil du temps, devenant l’une des guerrières les plus coriaces de la Nouvelle-Rome. Mais, ceux-ci oublient souvent la seconde partie. Ils préfèrent ainsi regarder ce que Vénus m’a offert en physique, oubliant les attributs qui pourraient même faire jalouser Mars. Au moins, je ne me sens plus aussi intimidée qu’avant de ces regards perfides.

Comme tous milieux, je dois faire mes preuves devant Alida Leandro. Malgré que je l’apprécie énormément comme amie, une idée occidentale me paraît évidente et bien choisie pour cette époque : Il faut savoir gagner sa place avec justesse et d’une façon équitable. Comme avec les X-Men, j’ai établi doucement ma place dans le groupe. Sans être la meilleure combattante du lot, sans être la meilleure stratège ou sans être une Rachel Summers en puissance, je me suis placée comme une X-Woman respectable. Peut-être que certains vont pouvoir me critiquer dans cette idée, d’être une combattante moyenne dans un groupe aussi élaboré que les X-Men, mais à ce moment, je me considère comme une adversaire redoutable contre des ennemis classiques.

Et c’est pour cette raison que je me retrouve avec mon costume de combat : vert pâle sur les cotés et noir entre les deux, un petit cadeau offert par l’Institut Xavier vu mon départ. Attendant devant un bâtiment officiel des Luchadores, je dois affronter d’un coté un service proposé d’une femme ayant une réputation assez terrible un peu partout sur la planète. Poison Ivy, ancienne terroriste, doit nous apporter des informations assez importantes sur une association de malfaiteurs autour d’un cartel qui peut être très proche du conquérant Bane. Santa Prisca a été renversé par les lois tyranniques de ce monstre et son influence totalitaire nous touche un peu partout sur le continent. Je ne peux pas éviter d’être toujours méfiante envers Pamela, malgré que je fasse confiance totalement à Alida, ancienne coéquipière dans les X-Men, j’ai l’impression qu’ils existent un fort risque de donner cette chance à cette femme avec une trahison au nom des valeurs écologiques. Mais malgré cette opinion ou même mes préjugés, je dois faire mes preuves dans cette organisation et en regardant la sincérité de cette femme voulant une rédemption, cela pourrait peut-être une autre image que les Luchadores deviendraient.
FICHE ©️ SINENOMINEVULGUS
Amara Aquilla
Amara Aquilla

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Longue vie à Faunus? [Poison Ivy] Empty Re: Longue vie à Faunus? [Poison Ivy]

Message  Ivy P. Isley Jeu 23 Aoû 2018 - 10:03


Les voyages en Afrique ne se passent jamais comme prévu. Pas que ceux en Asie ou en Amérique ne le fassent mais l’Afrique est tellement plus divisée par ses querelles internes que les autres continents, lesquels l’exploitent donc sans difficulté. Cela ne semble pas près de changer, dommage. Au moins n’y suis-je pas une ennemie comme en Asie, même si les conflits m’empêchent d’être une alliée comme en Amérique. D’une certaine manière, les chose sont plus simples sur ce continent-ci. D’où que je m’y sois rendue en dernier, choisissant la difficulté à faire un tour du monde avant de revenir au plus proche de mon point de départ ; une proximité toute relative. Toujours est-il que, avec la pression internationale et les menaces de cesser d’alimenter le Fond Amazonien s’il ne donne pas des résultats, je peux devenir un atout majeur pour que le Brésil tienne ses engagements. Si j’étais venue ici d’abord, mon image aurait été bien plus positive qu’elle ne l’est aujourd’hui, moyennant que ma mentalité d’alors n’ait pas tout fait échouer ; considérant mon rapide revirement face à Diana, je ne pense pas. On ne le saura jamais, cependant. Et les apprentissages faits au contact du Wakanda et des Last Sons ont sans doute une influence également sur mes chances de réussite auprès des Luchadores. Venir les voir était un premier pas, un contact qui a porté ses fruits même si mon idée première n’a pas été retenue : le peu de membres actifs au sein du groupe ne leur donne pas la possibilité de me surveiller lors d’interventions écologiques, il me faut ainsi prouver que je peux les faire sans surveillance. Gagner leur confiance… en tant que manipulatrice, c’est une action qui me plait beaucoup. Lorsque je ne manipule pas, cependant, c’est une action qui m’est grandement problématique. C’est l’une des choses que j’aime avec les mafias et autres associations de crime organisé : il n’est pas question de confiance mais de comprendre les motivations de l’autre et de les corréler avec les nôtres pour travailler ensemble le plus longtemps possible. J’ai cru que l’altruisme était une motivation suffisante pour les super-héros mais il cède bien vite face à la politique, mes expériences en Asie comme en Afrique me l’ont confirmé. En Amérique du Sud, les Luchadores sont également malmenés par les gouvernements mais leur timidité à se déclarer autre chose que des forces de sécurité me semble leur permettre de faire plus progresser les choses, ironiquement. J’espère les aider, tout comme aider la Forêt Amazonienne.

Lors de ma dernière visite à Gotham, plus que m’ouvrir les portes du Genosha grâce à la bienveillance d’Azazel et entrouvrir celles de l’Initiative grâce à la "diplomatie" d’Exodus, j’ai également récupéré des renseignements sur les circuits illégaux d’Asie et d’Amérique du Sud. Cela m’implique de nouveau dans les mafias de ma ville natale et possiblement dans d’autres mais cela me permet également de fournir à mes nouveaux alliés des renseignements qu’ils n’auraient pu avoir autrement. Je dois avouer avoir beaucoup hésité à simplement leurs offrir les fruits de ces recherches en guise de cadeau mais, outre qu’une intervention paramilitaire solitaire ne m’intéresse pas vraiment, j’ai réévalué ma réflexion afin de savoir si elle de serait pas contreproductif. Et elle l’aurait été : agir seule n’aurait pas démontré ma bonne volonté, juste mon autarcie. Mon cadeau n’aurait pas été perçu comme tel mais comme une preuve de mon absence de fiabilité. Je rapporte donc uniquement les savoirs acquis durant mes recherches ; un cadeau qui devrait être bien perçu puisque je ne prends pas l’initiative. Un cadeau qui devrait aider les rares membres actifs à lutter un peu plus efficacement contre les Cartels de Santa Prisca. Y participerai-je ? Je verrais bien. D’un côté, les Luchadores peuvent être suffisamment en manque de membres pour qu’une aide soit appréciable, d’un autre côté ils peuvent être en position suffisamment délicate pour ne pas vouloir prendre plus de risques avec moi. Ils doivent comprendre mes motivations mais reste à savoir s’ils agiront de manière à ce qu’elles concordent avec les leurs ou s’ils préféreront attendre autre chose de moi sans me le dire. Leur choix.

São Paulo est une ville du sud du Brésil, à environ un millier de kilomètres de la lisière de la Forêt Amazonienne, mais elle reste traversée par de nombreux parcs et végétaux solitaires ; en plus de se trouver plus prêt de mon objectif que ne l’est le Manoir Leandro de Mexico. D’avoir le droit de me rendre au Brésil moyennant que les Luchadores soient au courant et conséquemment le Gouvernement également, je n’ai pas à faire profil bas, à falsifier mon identité ou à user de sinsibilisation pour qu’on me laisse circuler librement et, quand bien même les divers téléporteurs que compte mon réseau me facilitent grandement les déplacements et les franchissements de frontières, cela est un plus. Agréable ? Je ne sais pas. Evitant des ennuis potentiels ? Assurément. J’éviterai une apparition gênante au lieu et à l’heure du rendez-vous cependant, tâchant d’être un peu en avance ou tout du moins pas trop en retard.

J’avance donc vers le seuil de la base pauliste des Luchadores, couverte du bassin jusqu’aux abords du visage des lianes et des feuilles de mon sumac vénéneux en un body buissonnant et épais qui me fait mériter le nom de Poison Ivy. La peau de mes pieds nus a cette même teinte verdâtre que celle du reste de mon corps, plus claire que celle de mon symbiote mais contrastant tout aussi bien avec cette chevelure rousse qui descend en une tresse jusqu’à l’arrière de mes genoux. Jambes et bras sont également parcouru de lianes et de feuilles tout comme ma chevelure à laquelle elles s’entremêlent ; c’est dans une moindre mesure cependant, empêchant de vraiment comparer avec un vêtement humain. Sans cette condition vivante et cet aspect naturel, le vert se retrouve aussi chez la jeune femme qui m’attend, encadrant un noir sobre mais moulant. D’une quinzaine de centimètres de moins que moi au bas mot, mon contact semble troublé et cela me conduit à lui faire un sourire doux et accueillant alors que je viens m’approcher d’elle. Ses yeux bleus ont une intensité vivace inhabituelle et assez belle, s’harmonisant bien avec sa tenue. Elle a l’air d’avoir la moitié de mon âge même si, je dois bien avouer, le peu que je sais d’elle me fait assez peur : son nom de code est Magma et, à l’instar de tout ce qui est lié au feu, ce n’est pas vraiment rassurant pour la plupart des végétaux ou moi-même. Il est vrai que les terres volcaniques sont parmi les plus fertiles au monde et qu’il y a plusieurs espèces de plantes pyrophiles cependant le magma en lui-même est peut-être la pire mort que je puisse concevoir ; ce qui, considérant l’effet de certaines toxines en ma possession, n’est vraiment pas peu dire. Néanmoins, je sais trouver raisonner mon émotion : que Magma soit ma seconde interlocutrice parmi les Luchadores, la première ayant été Alida, signifie qu’ils ne me font pas confiance et qu’ils ont les moyens de me vaincre facilement. Ce qui les tranquillisera ainsi que leurs gouvernements et, conséquemment, facilitera les interactions.

« Bonjour, Mlle Magma, commence-je doucement en anglais après m’être arrêtée à une distance raisonnable d’elle, suffisamment proche pour pouvoir converser et échanger mais suffisamment loin pour éviter tout contact involontaire. J’ai ici une retranscription dactylographiée des informations que je vous ai promises. »

En même temps que je parle, je tends une main vers elle pour, comme les lianes le démontrent en se rétractant, lui tendre une clé USB. Mon épiderme n’est pas toxique, actuellement, mais je préfère garder une distance de sécurité probablement appréciable à mon interlocutrice. Si je puis l’aider à se mettre à l’aise, je le ferais. C’est une aide, après tout.

« Comme vous vous en doutez, la violence des mafias liées à Santa Prisca ne les rend pas appréciées ; elles sont souvent contreproductives en affaires. Certains gothamites aimeraient bien s’en débarrasser sans déclencher les bains de sang qui sont la spécialité des prisciens. Les informations que j’ai pu obtenir sont liées aux circuits qui alimentent Gotham, que cela soit en armes, en drogues ou en prostitution. Selon moi, mes, disons… "informateurs" veulent se servir de votre organisation pour affaiblir leur ennemi à la source et laisser le flot se tarir sur leur territoire. Personnellement, j’espère que ces bases vous permettront de remonter plus loin le réseau, notamment en Amérique centrale et sur la côte caraïbéenne. Afin de ne pas trahir la possession de ces informations, je ne me suis pas permise d’interroger des membres identifiés par le fichier. Je reste à votre disposition pour le faire. »

Beaucoup de gens s’alarment de mes phéromones de contrôle mais peu le font de l’ensemble de mes capacités et connaissances biochimiques. Outre que je puis influencer les émotions d’autrui par contact, je peux créer sans assistance bon nombre de drogues et de poisons. Ethanol, scopolamine, cannabis, diéthylamide de l’acide lysergique, psilocybine et surtout thiopental sodique… une correcte concoction à partir de ses éléments peut interférer avec la capacité de jugement et les fonctions cognitives supérieures d’un être humain aussi bien que le lasso magique de Wonder Woman. Bon, embrasser quelqu’un pour le sensibiliser et lui réclamer la vérité est en général plus rapide mais les phéromones sont un problème donc on optera pour des méthodes plus longues s’il faut obtenir des informations autrement que par un interrogatoire musclé auquel les mafias de Scanta Prisca doivent donner le nom de "rite d’initiation". Après, j’ignore la manière de procéder des Luchadores, l’espérant différente de celle des policiers de Gotham, et reste à leur disposition au besoin.

« Vous pourrez les consultez à loisir et n’hésitez pas à me demander si vous avez besoin d’informations complémentaires ou d’aides supplémentaires. Evitez juste les questions, si vous le pouvez. »

Les questions apportent des problèmes, mon père m’a répété ça durant les douze premières années de ma vie et la quarantaine qui a suivi n’a fait que le confirmer encore et toujours ; même quand on me disait le contraire. Les questions apportent des problèmes mais je ne veux ni en avoir ni en être ici. En apporter à la limite, puisqu’il est évidemment que cela ne va pas être de tout repos pour les mafias visées, mais on verra bien comment les choses se déroulent comme ce que l’on attend, et accepte, de moi.
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