Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
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Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
- préambule:
- Ce post est la suite de Tir en plein coeur
Faire justice, ça donne une étrange impression qui mélange la satisfaction de savoir qu'on a fait quelque chose de bien et le soulagement de s'en être bien sorti. C'est un sacré boost au moral, et je pense qu'il faudrait le prescrire à tous les dépressifs du monde, ça serait carrément rentable pour la société, y'aurait que des héros partout et de grosses économies dans le budget de la santé publique.
Là, ce soir, Kate et moi, on est un peu les rois dans la place. Tu sais pas pourquoi, mais tu sens que tout le monde s'écarte devant toi, et au fond, c'est juste ton aplomb qui leur montre que tu te considères important et inatteignable et c'est justement pour ça que les autres prennent le pli de rendre eux-même important et inatteignable. Le bar était une sorte de bar d'étudiants un peu friqués et une fois changés, Kate et moi, on se font parfaitement dans ce décor. Enfin, surtout elle, elle a l'air de mieux connaître le monde huppé que moi. J'ai décidé, je lui offre ses verres. Après tout, c'est elle qui est venue m'aider et sans elle, je serais probablement resté un peu bloqué à l'intérieur, surtout qu'ils m'auraient tous tiré dessus et la grosse brute aurait pu me mettre à terre dans un combat déloyal à plusieurs contre un.
La musique me donne envie de danser et je bouge un peu tout seul les épaules en rythme. J'arrive devant le barman et après avoir attendu que deux filles qui gloussaient pour je ne sais quoi soient parties, je commande.
-Tu veux quoi, Kate ? Un mojito ?
Moi, je sais ce que je vais prendre : une bière. C'est un truc pas bien dangereux qui descend tout seul et qui fait bien viril en plus. Oui, c'est une pensée complètement sexiste de répartir bière et mojito au garçon et à la fille, mais je suis un ado qui découvre le monde, et oui, je suis un peu sexiste, ça changera certainement, mais pour l'instant, je vois pas le monde autrement.
Je passe nos deux commandes au barman et je lui laisse un gros pourboire. Pourquoi ? Parce que je suis content. C'est débile au fond, parce que le barman n'y est pour rien, mais c'est quand on est le plus heureux qu'on a envie d'être généreux. Je passe son verre à Kate, je trinque, et je bois une gorgée.
-Ca te dit de danser ?
Je la dirige vers la piste de danse et on peut se mélanger à tous ceux qui ne savent pas trop pourquoi bouger son corps en rythme, ça peut être agréable. J'ai jamais été aussi content de pouvoir entendre chaque subtilité des sons qui nous parviennent. Même si j'entends qu'il y a une imperfection dans une des enceintes, la quatrième au fond de la salle, si je me trompe pas, j'aime laisser le rythme influer sur moi. Un rythme, un sentiment, une idée, c'est un mélange de plein de choses, dans lequel se confondent les émotions de la soirée, de la peur, de l'enthousiasme, de l'excitation, de la joie, de la satisfaction, et l'envie de passer un peu plus de temps avec ma partenaire de ce soir. Je la regarde dans les yeux, et j'essaye d'y lire ce qu'elle pense. Elle est souvent insondable, Kate, mais ce mystère participe aussi à son charme, je présume.
Dernière édition par Walter Jensen le Mar 15 Sep 2015 - 6:10, édité 2 fois
Walter Jensen- Messages : 342
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Re: Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
Cela fait quand même un moment que je ne suis pas retournée dans un bar. Je sais déjà ce qu’on va me dire, le Starbucks ressemble à une débauche d’un bar en tout temps, mais c’est différent de rentrer dans un lieu qui s’appelle vraiment un bar. C’est classique, la population est assez diversifiée pour ce bar étudiant. J’ai décidé de suivre timidement Walter pour cette activité, je sais qu’il veut fêter notre première opération réussie contre des mafieux, mais je n’ai jamais eu l’habitude de prendre un temps pour fêter après avoir arrêter des mafieux. Même si je ne semble pas trop à l’aise pour rentrer dans le bar, Walter semble se retrouver un petit plaisir par la musique en faisant bouger ses épaules à chaque rythme. Malgré mon petit malaise, je suis quand même capable de l’accompagner par des sourires. Ce n’est peut-être pas les sourires les plus convaincants du Monde, mais au moins, si cela peut le rendre heureux dans cette soirée.
Pour la soirée, je reste sobre : Un chandail tout gris avec le logo de Wonder Woman et un jean noir, cela ressemble beaucoup à une allure universitaire pour passer inaperçu dans la foule. Il avait quand même de la population pour me gêner un peu, beaucoup de gens consommaient et j’avais parfois de la difficulté avec cette attitude, surtout avec des personnalités que je ne connaissais pas vraiment. Je sors de mes pensées quand Walter me suggère un Mojito… je vais vraiment paraitre extraterrestre si je lui demande, mais je ne sais pas c’est quoi un Mojito. Je lui fais juste un petit signe de tête pour accepter la boisson malgré mon ignorance.
Après avoir payé la boisson, on se fait un truc assez traditionnel de bar avec des amis : Trinquer! Je suis doucement le mouvement sans vraiment le comprendre. J’ai bien un petit malaise pour toute ce genre de petit rituel, mais peut-être que cela va m’aider à m’habituer plus vite de retrouver un esprit plus collectif avec la Young Force.
Peut-être qu’il peut ressentir mon malaise dans mes premiers pas, mais au moins, il me propose quelque chose qui me mets toujours plus à l’aise habituellement. Je pense que ce l’un de mes seuls intérêts qui est vraiment rester depuis le temps. J’ai toujours aimé danser quand j’étais jeune et c’est vraiment resté. Il semble avoir beaucoup de passion dès les premiers mouvements, de mon coté, j’ai du mal. Je fais quelques mouvements incongrus qui ne veulent rien dire, et dès qu’il essaie de me regarder dans les yeux, je baisse souvent les yeux par timidité.
J’essaie quand même de prendre un plaisir pour lui, je ne veux pas qu’il sente vraiment de nouveaux malaises, alors j’essaie un petit rapprochement. Je prends ses deux mains dans les miennes pour juste faire quelques mouvements de rapprochement et d’éloignement avec une petite répétition. C’est un mouvement de danse assez classique qui peut avoir une petite approche physique, je le regarde parfois dans ses yeux avec un sourire un peu plus sincère que les dernières minutes, mais toujours aussi timide.
« Excuse-moi, cela fait un moment que je ne suis pas allée dans un bar… »
Je lui dis quand on se rapproche un moment par le mouvement de la danse. Je ne veux pas vraiment qu’il se sente gêné par mon attitude. Je sais bien que je ne peux pas paraitre la plus à l’aise sur la situation, mais je pense qu’il est assez intelligent pour comprendre.
Pour la soirée, je reste sobre : Un chandail tout gris avec le logo de Wonder Woman et un jean noir, cela ressemble beaucoup à une allure universitaire pour passer inaperçu dans la foule. Il avait quand même de la population pour me gêner un peu, beaucoup de gens consommaient et j’avais parfois de la difficulté avec cette attitude, surtout avec des personnalités que je ne connaissais pas vraiment. Je sors de mes pensées quand Walter me suggère un Mojito… je vais vraiment paraitre extraterrestre si je lui demande, mais je ne sais pas c’est quoi un Mojito. Je lui fais juste un petit signe de tête pour accepter la boisson malgré mon ignorance.
Après avoir payé la boisson, on se fait un truc assez traditionnel de bar avec des amis : Trinquer! Je suis doucement le mouvement sans vraiment le comprendre. J’ai bien un petit malaise pour toute ce genre de petit rituel, mais peut-être que cela va m’aider à m’habituer plus vite de retrouver un esprit plus collectif avec la Young Force.
Peut-être qu’il peut ressentir mon malaise dans mes premiers pas, mais au moins, il me propose quelque chose qui me mets toujours plus à l’aise habituellement. Je pense que ce l’un de mes seuls intérêts qui est vraiment rester depuis le temps. J’ai toujours aimé danser quand j’étais jeune et c’est vraiment resté. Il semble avoir beaucoup de passion dès les premiers mouvements, de mon coté, j’ai du mal. Je fais quelques mouvements incongrus qui ne veulent rien dire, et dès qu’il essaie de me regarder dans les yeux, je baisse souvent les yeux par timidité.
J’essaie quand même de prendre un plaisir pour lui, je ne veux pas qu’il sente vraiment de nouveaux malaises, alors j’essaie un petit rapprochement. Je prends ses deux mains dans les miennes pour juste faire quelques mouvements de rapprochement et d’éloignement avec une petite répétition. C’est un mouvement de danse assez classique qui peut avoir une petite approche physique, je le regarde parfois dans ses yeux avec un sourire un peu plus sincère que les dernières minutes, mais toujours aussi timide.
« Excuse-moi, cela fait un moment que je ne suis pas allée dans un bar… »
Je lui dis quand on se rapproche un moment par le mouvement de la danse. Je ne veux pas vraiment qu’il se sente gêné par mon attitude. Je sais bien que je ne peux pas paraitre la plus à l’aise sur la situation, mais je pense qu’il est assez intelligent pour comprendre.
Katherine E. Bishop- Messages : 795
Date d'inscription : 14/01/2015
Re: Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
Qui, ici, peut se vanter d'avoir déjà sondé entièrement Kate Bishop ? Qui ? Personne. Donc, je ne vais pas culpabiliser en remarquant qu'elle est un peu distante. Non, je ne vais pas considérer qu'elle est mal à l'aise parce que ma compagnie ne lui convient pas. Non, je ne vais pas penser que c'est moi qui gère mal la situation. De ce que j'ai compris, Kate reste distante pour des raisons qui lui sont propres et que je respecte. On a chacun notre passé, il semble juste que le mien est plus simple que celui des autres, ou que ma capacité d'abstraction et d'intellectualisation de ma propre expérience frôle celle d'un enfant de 5 ans. Kate a ses moments d'introspections, et je ne vais pas fantasmer pour en trouver des raisons fallacieuses juste parce que je n'accepterais pas d'être dans une situation floue ou angoissante, non, ça serait de la malhonnêteté intellectuelle. Je vais donc plutôt considérer qu'elle est distante parce que je l'intimide, ça m'arrange.
Donc, Kate, totalement intimidée par ma présence vient me prendre les mains... Bon d'accord, y'a un décalage étrange. C'est pour ça que j'évite de réfléchir, à chaque fois, je finis par ne rien comprendre. Est-ce que Kate est mal à l'aise et se force à me prendre les mains pour casser ce malaise et me faire croire que tout va bien pour elle ou est-ce qu'elle en fait très à l'aise et feint une petite distance pour m'indiquer que je ne dois pas croire qu'elle est entièrement à ma disposition, ou alors, elle est très mal à l'aise, et feint la fille à l'aise qui fait semblant d'être mal à l'aise pour que j'aie la sensation qu'elle me cache quelque chose et que je pense qu'elle est à l'aise alors qu'au fond, elle est très mal à l'aise, mais doit laisser un indice, me saisir les mains, pour me faire croire qu'il y a une faille qui me permet de voir qu'elle serait à l'aise avec moi. Voila pourquoi je ne réfléchis pas, elle m'a pris les mains et c'est la seule chose que je considérerai.
On se rapproche et elle me glisse quelques mots à l'oreille. Si elle n'est pas allée depuis longtemps dans un bar, je vais éviter de lui rappeler que je bosse dans une boîte en tant que DJ. On s'éloigne puis au prochain rapprochement, je me décide à lui répondre à l'oreille :
-Tu t'en sors très bien...
La musique coupe à nouveau la discussion, je la regarde, en souriant un peu, parce qu'elle est belle dans sa distance comme dans sa proximité. Un pas en avant, et on est à nouveau à portée de voix.
-On est jeunes, notre passé n'est jamais très loin derrière nous.
Ouah, je suis trop un grand philosophe, je sais pas d'où ça me vient mais parfois, j'ai l'impression que je sors des trucs qui sont même pas de moi. Si ça se trouve, je suis juste un génie qui s'ignore. On s'éloigne, on se rapproche. Ca ressemble pas mal à notre relation de manière générale, Kate s'ouvre et se ferme régulièrement dans des cycles qui n'obéissent à aucune règle particulière, si ce n'est le rythme qui s'impose naturellement. Un peu comme notre pas de danse. Un dernier rapprochement avant la fin de la chanson.
-Tout se passe bien ?
Donc, Kate, totalement intimidée par ma présence vient me prendre les mains... Bon d'accord, y'a un décalage étrange. C'est pour ça que j'évite de réfléchir, à chaque fois, je finis par ne rien comprendre. Est-ce que Kate est mal à l'aise et se force à me prendre les mains pour casser ce malaise et me faire croire que tout va bien pour elle ou est-ce qu'elle en fait très à l'aise et feint une petite distance pour m'indiquer que je ne dois pas croire qu'elle est entièrement à ma disposition, ou alors, elle est très mal à l'aise, et feint la fille à l'aise qui fait semblant d'être mal à l'aise pour que j'aie la sensation qu'elle me cache quelque chose et que je pense qu'elle est à l'aise alors qu'au fond, elle est très mal à l'aise, mais doit laisser un indice, me saisir les mains, pour me faire croire qu'il y a une faille qui me permet de voir qu'elle serait à l'aise avec moi. Voila pourquoi je ne réfléchis pas, elle m'a pris les mains et c'est la seule chose que je considérerai.
On se rapproche et elle me glisse quelques mots à l'oreille. Si elle n'est pas allée depuis longtemps dans un bar, je vais éviter de lui rappeler que je bosse dans une boîte en tant que DJ. On s'éloigne puis au prochain rapprochement, je me décide à lui répondre à l'oreille :
-Tu t'en sors très bien...
La musique coupe à nouveau la discussion, je la regarde, en souriant un peu, parce qu'elle est belle dans sa distance comme dans sa proximité. Un pas en avant, et on est à nouveau à portée de voix.
-On est jeunes, notre passé n'est jamais très loin derrière nous.
Ouah, je suis trop un grand philosophe, je sais pas d'où ça me vient mais parfois, j'ai l'impression que je sors des trucs qui sont même pas de moi. Si ça se trouve, je suis juste un génie qui s'ignore. On s'éloigne, on se rapproche. Ca ressemble pas mal à notre relation de manière générale, Kate s'ouvre et se ferme régulièrement dans des cycles qui n'obéissent à aucune règle particulière, si ce n'est le rythme qui s'impose naturellement. Un peu comme notre pas de danse. Un dernier rapprochement avant la fin de la chanson.
-Tout se passe bien ?
Walter Jensen- Messages : 342
Date d'inscription : 19/12/2014
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Re: Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
J’ai du mal et c’est vraiment facile de voir cette difficulté de me promener dans ce bar et d’essayer de vivre comme les étudiants au alentour de nous. C’est assez absurde sur le moment, parce que souvent la base peu secrète de la Young Force offrait un milieu de débauche similaire. Je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai autant de mal de me retrouver dans un bar de ce type. Peut-être que j’avais quelques craintes sur la suite en me souvenant surtout comment plusieurs de mes amis ont essayé de me retrouver et de me conformer dans un modèle qui va mieux avec leurs cercles d’amis. La plupart des cas s’était retrouvée devant un refus indirect de ma part et je me suis toujours sentie plus abandonnée dans ses maigres souvenirs qui restent d’eux. Je peux facilement comprendre le désintérêt de mes anciens amis quand j’étais incapable de me retrouver dans une zone similaire qu’avant.
Peut-être que j’ai uniquement peur d’effrayer les autres comme j’ai pu effrayer plusieurs de mes amis dans l’essai me reconstruire. Peut-être que sur le moment, je réfléchis beaucoup trop sur mon avenir et sur mes idées alors que je devrais plus trouver comment m’amuser sur le moment. Je peux avoir certaines craintes sur cette situation quand je ne devrais pas en avoir vraiment. Si Walter est dans la Young Force, c’est qu’il marque vraiment une autre différence qui peut m’aider et m’appuyer. On suit quand même des démarches similaires dans la Young Force.
La danse reste assez simpliste, sans de grands mouvements étonnants. J’ai l’impression que Walter voit bien mon malaise, mais je ne veux pas trop le déranger dans cette petite soirée. Comme n’importe qui, il mérite de trouver ses petits amusements des victoires qu’il peut avoir. J’ai peut-être plus de difficultés à chercher ses petites victoires, mais déjà si je l’accepte dans cette soirée, peut-être que je pouvais me sentir mieux. À un rapprochement, Walter semble chercher à me calmer et de prendre plus de plaisirs en me réconfortant de ma première phrase.
À une deuxième proximité, Walter essaie une autre approche avec une phrase plus pour faire réfléchir que pour consoler. Je lui fais un petit sourire avant de lui répondre doucement à une nouvelle proximité.
« C’est pour cette raison qu’il faut s’en souvenir pour porter un meilleur futur. »
Ce n’était pas la meilleure phrase, ni la plus intelligente, mais je voulais quand même lui faire sentir moins de pressions qu’avant. En plus, la phrase pouvait ressentie comme une sorte de mégalomanie, comme si la Young Force pouvait vraiment porter un message pour le futur, quand ils avaient déjà de nombreux groupes qui faisaient ce travail. Les Vengeurs forment leurs jeunesses, malgré que j’aie toujours soutenu l’idée qu’il ne peut qu’avoir Valerie qui inspire vraiment cette idée dans les Jeunes Vengeurs. Cependant, j’ai toujours pensé que ceux qui ne se voyaient pas comme le futurs, comme les héros ou les grands sages de cette planète, se montraient plus de cette approche que les gens qui disaient incarner cela.
Peut-être que je suis beaucoup trop négative sur la Young Force, mais c’était vraiment la première fois que je me considérais dans un groupe et surtout la première fois que je voyais des jeunes de mon âge qui inspiraient à autre chose que suivre un chemin similaire que tous mes amis d’enfances. Walter revient vers moi quand la musique se termine doucement pour me demander la question fatale.
« Oui, je pense. Désolée pour le malaise, c’est un peu bizarre de revenir dans un bar avec le temps. Je pense que la dernière fois, c’était quand j’avais environ dix-sept ans. »
La musique ralentit un peu et le son est un peu moins fort. Le DJ doit rechercher une autre musique à mettre. C’est à ce moment que je commence à réfléchir, une réflexion digne des plus grandes intelligences de la planète pour poser la question la plus difficile durant le dilemme de l’animateur de la soirée.
« Est-ce qu’on peut aller s’asseoir dans un coin tranquille? Si cela ne te dérange pas, bien sûr. »
Je ne veux pas m’exclure du bar, c’est juste par une petite nécessité que j’ai besoin plus de temps pour m’habituer à la débauche des étudiants que les autres. Je ne veux pas vraiment le forcer sur le moment, j’ai quand même un petit malaise à détacher l’une de mes mains de la tienne. Ce n’était pas vraiment pour couper le lien, juste pour lui laisser le choix physique de continuer à danser sur la prochaine musique ou prendre mon choix.
Peut-être que j’ai uniquement peur d’effrayer les autres comme j’ai pu effrayer plusieurs de mes amis dans l’essai me reconstruire. Peut-être que sur le moment, je réfléchis beaucoup trop sur mon avenir et sur mes idées alors que je devrais plus trouver comment m’amuser sur le moment. Je peux avoir certaines craintes sur cette situation quand je ne devrais pas en avoir vraiment. Si Walter est dans la Young Force, c’est qu’il marque vraiment une autre différence qui peut m’aider et m’appuyer. On suit quand même des démarches similaires dans la Young Force.
La danse reste assez simpliste, sans de grands mouvements étonnants. J’ai l’impression que Walter voit bien mon malaise, mais je ne veux pas trop le déranger dans cette petite soirée. Comme n’importe qui, il mérite de trouver ses petits amusements des victoires qu’il peut avoir. J’ai peut-être plus de difficultés à chercher ses petites victoires, mais déjà si je l’accepte dans cette soirée, peut-être que je pouvais me sentir mieux. À un rapprochement, Walter semble chercher à me calmer et de prendre plus de plaisirs en me réconfortant de ma première phrase.
À une deuxième proximité, Walter essaie une autre approche avec une phrase plus pour faire réfléchir que pour consoler. Je lui fais un petit sourire avant de lui répondre doucement à une nouvelle proximité.
« C’est pour cette raison qu’il faut s’en souvenir pour porter un meilleur futur. »
Ce n’était pas la meilleure phrase, ni la plus intelligente, mais je voulais quand même lui faire sentir moins de pressions qu’avant. En plus, la phrase pouvait ressentie comme une sorte de mégalomanie, comme si la Young Force pouvait vraiment porter un message pour le futur, quand ils avaient déjà de nombreux groupes qui faisaient ce travail. Les Vengeurs forment leurs jeunesses, malgré que j’aie toujours soutenu l’idée qu’il ne peut qu’avoir Valerie qui inspire vraiment cette idée dans les Jeunes Vengeurs. Cependant, j’ai toujours pensé que ceux qui ne se voyaient pas comme le futurs, comme les héros ou les grands sages de cette planète, se montraient plus de cette approche que les gens qui disaient incarner cela.
Peut-être que je suis beaucoup trop négative sur la Young Force, mais c’était vraiment la première fois que je me considérais dans un groupe et surtout la première fois que je voyais des jeunes de mon âge qui inspiraient à autre chose que suivre un chemin similaire que tous mes amis d’enfances. Walter revient vers moi quand la musique se termine doucement pour me demander la question fatale.
« Oui, je pense. Désolée pour le malaise, c’est un peu bizarre de revenir dans un bar avec le temps. Je pense que la dernière fois, c’était quand j’avais environ dix-sept ans. »
La musique ralentit un peu et le son est un peu moins fort. Le DJ doit rechercher une autre musique à mettre. C’est à ce moment que je commence à réfléchir, une réflexion digne des plus grandes intelligences de la planète pour poser la question la plus difficile durant le dilemme de l’animateur de la soirée.
« Est-ce qu’on peut aller s’asseoir dans un coin tranquille? Si cela ne te dérange pas, bien sûr. »
Je ne veux pas m’exclure du bar, c’est juste par une petite nécessité que j’ai besoin plus de temps pour m’habituer à la débauche des étudiants que les autres. Je ne veux pas vraiment le forcer sur le moment, j’ai quand même un petit malaise à détacher l’une de mes mains de la tienne. Ce n’était pas vraiment pour couper le lien, juste pour lui laisser le choix physique de continuer à danser sur la prochaine musique ou prendre mon choix.
Katherine E. Bishop- Messages : 795
Date d'inscription : 14/01/2015
Re: Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
J'aime beaucoup cette faculté qu'a Kate de dire des choses intelligentes. Elle ne parle pas beaucoup, c'est vrai, mais quand elle parle, c'est pour dire des choses profondes. Enfin, à mes yeux ce sont des choses profondes. Ca me fait plaisir qu'elle m'explique son malaise, parce que d'un côté, c'est un peu comme si elle me disait : "Oui, Walter, je suis mal à l'aise, mais pas à cause de toi, toi, tu peux me comprendre, et c'est pour ça que je t'en parle parce qu'on peut se comprendre et d'ailleurs, je ne sors pas trop comme je viens de le dire et ça prouve que je suis une fille sérieuse, et je fais l'effort de sortir parce que c'est et qu'on a une grande complicité, et je ne te considère pas non plus comme mon copain gay qui serait devenu ma confidente, non, ça c'est le rôle d'Ethan Scott, et pour preuve, je garde un peu de mystère entre nous en remplaçant certaines phrases par des petits sourires, et ça, je ne le fais pas avec Ethan Scott, parce qu'à mes yeux, il n'est pas sexualisé, donc, il n'y a aucune séduction qui peut avoir lieu entre nous, du coup, je te prends la main."
Oui, elle vient de me prendre la main. Pour une personne un peu mal à l'aise, c'est original de prendre la main, mais au fond, ça veut certainement dire qu'elle me considère comme la seule chose ici à laquelle elle peut s'accrocher. Je tiens bien sa main, donc, et je nous guide à travers la foule de tous ces gens que je ne vois même plus parce que je pense à la sensation de toucher entre nous. Donc, d'une main, je mène Kate et de l'autre, j'écarte délicatement les gens sur notre passage. Je précise délicatement parce que si je me contente de les écarter comme je pousserais un meuble par exemple, je risque d'en renverser quelques-uns, et après, on va se faire vider comme des clochards, ou un truc du genre, et ça, ça serait pas vraiment romantique.
J'aperçois une table ronde avec des tabourets hauts. Elle est libre et j'accélère donc pour m'assurer que personne ne va nous la prendre. Je m'installe et prends quelques secondes pour observer Kate, dans les yeux. D'expérience, la réaction d'une fille quand on la regarde "pas dans les yeux" peut vraiment varier d'une personne à l'autre, et je ne pense pas que Kate soit du style à vouloir la reluque de trop. Je ne reprends pas la parole tout de suite, j'attends un peu parce que ce moment est agréable.
-Tu as un copain ?... Ou une copine peut-être, je sais pas ?...
Bon, c'est pas super adroit comme formulation, mais j'avoue que je dois savoir à un moment donné. Je veux pas voir débarquer un quaterback qui pense que je suis en train de draguer sa meuf. On s'est assez battus pour la soirée à mon goût. Je réalise alors que je ne lui ai toujours pas lâché la main. Je crois qu'au fond, j'en ai pas envie. C'est le premier réel contact qu'on ait, et ça serait dommage de ne pas lui donner un peu plus de vie.
-Faut pas que tu flippes, c'est juste que vu qu'on est que tous les deux, je voudrais pas que ça te crée des ennuis. Tu voudras boire autre chose ?
Bon, j'avoue, la vérité, c'est surtout que je vais pas interpréter les signaux de la même façon selon qu'elle est célibataire ou non. Les filles qui sont en couple, parfois, elle sont un peu ambiguës parce que dans leur tête, cette ambiguïté n'existe pas justement, alors du coup, elles font moins attention aux signaux qu'elles peuvent envoyer. C'est dingue ce que l'art de la drague peut demander comme ressource intellectuelle. J'en aurais presque une migraine.
Oui, elle vient de me prendre la main. Pour une personne un peu mal à l'aise, c'est original de prendre la main, mais au fond, ça veut certainement dire qu'elle me considère comme la seule chose ici à laquelle elle peut s'accrocher. Je tiens bien sa main, donc, et je nous guide à travers la foule de tous ces gens que je ne vois même plus parce que je pense à la sensation de toucher entre nous. Donc, d'une main, je mène Kate et de l'autre, j'écarte délicatement les gens sur notre passage. Je précise délicatement parce que si je me contente de les écarter comme je pousserais un meuble par exemple, je risque d'en renverser quelques-uns, et après, on va se faire vider comme des clochards, ou un truc du genre, et ça, ça serait pas vraiment romantique.
J'aperçois une table ronde avec des tabourets hauts. Elle est libre et j'accélère donc pour m'assurer que personne ne va nous la prendre. Je m'installe et prends quelques secondes pour observer Kate, dans les yeux. D'expérience, la réaction d'une fille quand on la regarde "pas dans les yeux" peut vraiment varier d'une personne à l'autre, et je ne pense pas que Kate soit du style à vouloir la reluque de trop. Je ne reprends pas la parole tout de suite, j'attends un peu parce que ce moment est agréable.
-Tu as un copain ?... Ou une copine peut-être, je sais pas ?...
Bon, c'est pas super adroit comme formulation, mais j'avoue que je dois savoir à un moment donné. Je veux pas voir débarquer un quaterback qui pense que je suis en train de draguer sa meuf. On s'est assez battus pour la soirée à mon goût. Je réalise alors que je ne lui ai toujours pas lâché la main. Je crois qu'au fond, j'en ai pas envie. C'est le premier réel contact qu'on ait, et ça serait dommage de ne pas lui donner un peu plus de vie.
-Faut pas que tu flippes, c'est juste que vu qu'on est que tous les deux, je voudrais pas que ça te crée des ennuis. Tu voudras boire autre chose ?
Bon, j'avoue, la vérité, c'est surtout que je vais pas interpréter les signaux de la même façon selon qu'elle est célibataire ou non. Les filles qui sont en couple, parfois, elle sont un peu ambiguës parce que dans leur tête, cette ambiguïté n'existe pas justement, alors du coup, elles font moins attention aux signaux qu'elles peuvent envoyer. C'est dingue ce que l'art de la drague peut demander comme ressource intellectuelle. J'en aurais presque une migraine.
Walter Jensen- Messages : 342
Date d'inscription : 19/12/2014
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Re: Après l'effort, le réconfort [PV Kate Bishop]
J’ai du mal avec la soirée en général, la question est difficile à régler, malgré que je pense à quelques théories avec mon malaise, mais au moins, je ne me fais pas pousser à fond par Walter. Déjà je peux me calmer un peu que mes habitudes de rester isoler dans un coin. Je me sens déjà plus soutenue par son comportement que me faire pousser par mes anciennes amies pour boire plus. Je dois vraiment me calmer pour discuter plus sereinement avec mon nouvel coéquipier. Il accepte quand même rapidement mon invitation pour aller s’asseoir. Peut-être que je vais être capable de danser comme une mongole bien plus tard après avoir passer le petit malaise actuel. Je suis capable de m’amuser, c’est juste que cela prends un temps d’adaptation sur le moment.
Walter nous fait un petit chemin à travers la foule d’étudiants, ce que je trouve assez rigolo. On dirait une scène de Desperado avec Banderas et ses mitraillettes dans ses guitares. C’est un film très masculin, mais cela me faisait toujours de voir Banderas qui essaie de jouer le bad ass. Je n’ai jamais accroché à l’acteur, mais bon, je n’allais pas vraiment le dire à Walter. Je suis sûr qu’il aimerait se faire comparer à Antonio Banderas, mais les explications pourraient lui faire beaucoup plus de mal. En tout cas, je me laisse trainer un peu par la main jusqu’à temps qu’il nous trouve une petite table vacante.
À ce moment, il essaie de me regarder dans les yeux et je réponds juste par un petit sourire. Je ne suis pas vraiment rapide sur la détente et vous savez les grandes caricatures de la femme ou de l’homme sur les signaux qu’on envoie. Je pense vraiment que je me suis beaucoup déconnectée pour ne pas voir les signaux qu’il m’envoie ou même pour comprendre les interprétations que je lui envoie. De toute façon, je ne m’en fais pas trop avec ça, on est quand même dans la Young Force où l’incompréhension humaine amène souvent la plus grande empathie. Je suis peut-être bizarre, mais Walter doit l’être autant.
J’ai un petit soubresaut à sa question sur un éventuel copain ou copine. Je dois peut-être activer mes neurones à ce moment pour faire des liens, mais je ne vois pas vraiment sur le coup. Je pense sur le moment que c’est juste pour démarrer une discussion normalement.
« J’avais un copain quand j’étais plus jeune. On avait eu une petite relation d’adolescents comme plusieurs autres. Cela a duré de douze ans à dix-sept ans environ. Les deux dernières années étaient plus catastrophiques niveau relationnel et c’est surtout à cause de moi. Je ne pense pas qu’il était vraiment prêt pour un changement de comportement aussi majeur. On a un peu coupé les ponts depuis, il doit faire sa vie quelque part et être heureux. C’était ma seule relation sérieuse avec une autre personne.
Et toi? Tu as un copain ou une copine? Ou tu vises quelqu’un en particulier? Peut-être Cassandra? Je pense qu’elle est dans le gout de plusieurs personnes. »
Walter lui a quand même soigné ses blessures les plus importantes après son tabassage avec Carol. Je ne vois pas trop le lien pour le moment, mon cerveau doit être en pause en train de boire le café du soir. Je ne me rends pas compte que j’ai encore sa main dans la mienne. Je suis vraiment trop concentrée à réactiver mon cerveau pour comprendre le message. Je me fais réveiller doucement par Walter qui essaie encore de me réconforter dans mes délires. En plus, il me demande un choix important pour la suite : Est-ce que je veux bien boire quelque chose d’autres?
« L’eau devrait suffire, je crois. »
Puis, mon cerveau commence à se réveiller un peu. La déduction de mon énorme cerveau me revient un peu dans la gueule tout d'un coup. Pour la première question, il a peut-être vérifié quelque chose avant d’aller plus loin. Peut-être que mes réactions étaient un peu étrange, mais ce n’est pas que je le repousse, c’est juste une habitude de vie. Je suis capable de rigoler avec n’importe qui et oui, je trouve Walter assez sympathique, mais j’ai de la difficulté à avoir une réelle attirance physique. Je suis très attirée par Ethan, parce qu’il s’est montré réellement empathique envers mon cas. Walter est aussi gentil, mais je ne sais pas pour le reste des perceptions sur moi.
Le problème actuellement avec Walter, c’est que je ne sais pas où il veut se rendre avec moi. Alors, j’attends un petit moment avant de lui poser une question vers lui et voir ce qu’il va me répondre.
« Euh… Walter. Est-ce que tu me trouves bizarre? »
Je ne vais pas lui demander la question de l’attirance, je sais que j’attirais les deux Davis en même temps, alors cette question est bien plus subjective que la question de la bizarrerie et je risque d’être mieux fixer de comment il me perçoit.
Walter nous fait un petit chemin à travers la foule d’étudiants, ce que je trouve assez rigolo. On dirait une scène de Desperado avec Banderas et ses mitraillettes dans ses guitares. C’est un film très masculin, mais cela me faisait toujours de voir Banderas qui essaie de jouer le bad ass. Je n’ai jamais accroché à l’acteur, mais bon, je n’allais pas vraiment le dire à Walter. Je suis sûr qu’il aimerait se faire comparer à Antonio Banderas, mais les explications pourraient lui faire beaucoup plus de mal. En tout cas, je me laisse trainer un peu par la main jusqu’à temps qu’il nous trouve une petite table vacante.
À ce moment, il essaie de me regarder dans les yeux et je réponds juste par un petit sourire. Je ne suis pas vraiment rapide sur la détente et vous savez les grandes caricatures de la femme ou de l’homme sur les signaux qu’on envoie. Je pense vraiment que je me suis beaucoup déconnectée pour ne pas voir les signaux qu’il m’envoie ou même pour comprendre les interprétations que je lui envoie. De toute façon, je ne m’en fais pas trop avec ça, on est quand même dans la Young Force où l’incompréhension humaine amène souvent la plus grande empathie. Je suis peut-être bizarre, mais Walter doit l’être autant.
J’ai un petit soubresaut à sa question sur un éventuel copain ou copine. Je dois peut-être activer mes neurones à ce moment pour faire des liens, mais je ne vois pas vraiment sur le coup. Je pense sur le moment que c’est juste pour démarrer une discussion normalement.
« J’avais un copain quand j’étais plus jeune. On avait eu une petite relation d’adolescents comme plusieurs autres. Cela a duré de douze ans à dix-sept ans environ. Les deux dernières années étaient plus catastrophiques niveau relationnel et c’est surtout à cause de moi. Je ne pense pas qu’il était vraiment prêt pour un changement de comportement aussi majeur. On a un peu coupé les ponts depuis, il doit faire sa vie quelque part et être heureux. C’était ma seule relation sérieuse avec une autre personne.
Et toi? Tu as un copain ou une copine? Ou tu vises quelqu’un en particulier? Peut-être Cassandra? Je pense qu’elle est dans le gout de plusieurs personnes. »
Walter lui a quand même soigné ses blessures les plus importantes après son tabassage avec Carol. Je ne vois pas trop le lien pour le moment, mon cerveau doit être en pause en train de boire le café du soir. Je ne me rends pas compte que j’ai encore sa main dans la mienne. Je suis vraiment trop concentrée à réactiver mon cerveau pour comprendre le message. Je me fais réveiller doucement par Walter qui essaie encore de me réconforter dans mes délires. En plus, il me demande un choix important pour la suite : Est-ce que je veux bien boire quelque chose d’autres?
« L’eau devrait suffire, je crois. »
Puis, mon cerveau commence à se réveiller un peu. La déduction de mon énorme cerveau me revient un peu dans la gueule tout d'un coup. Pour la première question, il a peut-être vérifié quelque chose avant d’aller plus loin. Peut-être que mes réactions étaient un peu étrange, mais ce n’est pas que je le repousse, c’est juste une habitude de vie. Je suis capable de rigoler avec n’importe qui et oui, je trouve Walter assez sympathique, mais j’ai de la difficulté à avoir une réelle attirance physique. Je suis très attirée par Ethan, parce qu’il s’est montré réellement empathique envers mon cas. Walter est aussi gentil, mais je ne sais pas pour le reste des perceptions sur moi.
Le problème actuellement avec Walter, c’est que je ne sais pas où il veut se rendre avec moi. Alors, j’attends un petit moment avant de lui poser une question vers lui et voir ce qu’il va me répondre.
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Katherine E. Bishop- Messages : 795
Date d'inscription : 14/01/2015
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