Doom - Ouaf Ouaf

A l'origine un chien tout à fait normal, Doom a hérité de certaines capacités après un accident impliquant un type aux multiples transformations et un symbiote. En essayant -avec succès- de copier la mutation de Darryl Maywin, le Professeur Evolve modifia par erreur l'ADN de l'animal et lui transmis certains pouvoirs associés à différentes transformation de son maître.
Super-Intelligence Tirée de la forme Gremlins, l'intelligence surhumaine est certainement la capacité ayant la plus modifié la vie de Doom. Le transposant de bestiole relativement idiote vers être au cerveau avancé. Le canidé est ainsi capable d'apprendre particulièrement rapidement, ce qui lui a notamment permis de comprendre le langage humain -et de parler grâce à un synthétiseur vocal en forme de collier accroché autour de son cou-. Si ses connaissances n'ont pas changées, sa mémoire est désormais parfaite, le Scott-Maywin se souvient maintenant de chaque détail qu'il ne remarquait pas à son époque plus primale.
Gluttonbeam Doom possède une capacité propre à cette transformation de Darryl, il peut dévorer toute matière organique -excepté le frais, le vivant, qui ne ferait que l'intoxiquer- et la changer, à l'intérieur de son corps, en laser de plasma. A projeter par la bouche sur les ennemis, et tout ce qui dérange. Les rayons ont une force maximale d'impact d'environ 40 tonnes. Enfin c'est lorsqu'il utilise cette capacité que des lignes luminescentes rouges traversent son pelage, lui donnant un costume de super-héros naturel des plus classe.
Super-Force A l'image de la forme Golgoliath, le chien est capable, quand il le souhaite, de gagner en taille et en force. Jusqu'à environ 12 mètres et une force pouvant attendre les 80 tonnes. Cependant la tête de l'animale ne grandit pas, et son cerveau non plus. Ainsi plus la force augmente, plus l'intelligence s'amoindrit. Lorsque Doom atteint sa taille maximale, il retourne plus ou moins à l'état intellectuel d'animal. Plus il devient monstrueux en apparence, plus il redevient normal psychiquement.

Doom est tel l'enfant en bas âge commençant à se développer intellectuellement, qui transitionne soudainement de la case « débile profond » vers « être capable de réflexion ». Seulement dans son cas, la transition s'est faite en accélérée. D'un jour à l'autre, l'existence de chien, disons, benêt, pour rester sympathique, s'est terminée pour laisser place à une nouvelle phase inattendue. Celle de l'intelligence supérieure. La personnalité de l'animal en a été étrangement affectée, avec la réalisation soudaine de sa condition sur cette terre.
S'il reste incapable de se contenir lorsqu'une sonnette d'entrée joue sa musique ou qu'on lance une baballe, il peut ensuite avoir une discussion philosophique sur les raisons de cette excitation démesurée. De la même façon Randoom est tiraillé par l'envie instinctive de lécher le visage des gens qu'il rencontre, et la connaissance désagréable que ça ne se fait pas. Heureusement sa situation de chien lui permet généralement d'ignorer les obligations de société pour agir comme bon lui semble. Se faire caresser en public, à en baver partout, sans aucune honte.
Au niveau du caractère même, l'arrivée subite de la super-intelligence n'a fait que modifier celui déjà existant. Le rendre plus détaillé, plus complexe, sans pour autant le transformer totalement. Ainsi notre héros ne réfléchit pas comme un humain, il reste indéniablement un canidé. Ce qui le place généralement en décalage lorsqu'il discute avec des gens normaux -en plus de nécessiter plusieurs dizaines de minutes d'explications que oui il est un chien, que oui il parle, et que non il ne veut pas être filmé pour aider la personne en question à faire le buzz sur youtube- n'ayant tout simplement pas les mêmes préoccupations.

Maintenant que les éléments importants liés à sa situation particulière ont été déterminé, concentrons-nous sur la personnalité de l'animal. Doom est un éternel optimiste, prêt à croire qu'il y a de la beauté partout autour de lui. Au point d'en devenir horripilant pour tout le monde, sans cesse à vouloir se tourner vers le bon côté des choses. Même s'il faut tourner en rond pour le trouver, comme pour attraper sa queue. Cette comparaison n'a aucun sens, mais j'aurais au moins essayé d'en faire une en rapport avec les chiens... haha. Pardon.
A l'optimisme s'ajoute un esprit loufoque consacrant une grande partie de la vie du canidé à s'amuser. L'envie d'aider les autres en jouant au super-héros n'est que récente, venue de la découverte qu'il peut y avoir des gens en dangers en dehors de son champ de vision -un fait qu'il a toujours du mal à retenir, il est régulièrement surpris de découvrir un monde existant plus loin que son regard-. Ainsi malgré cette nouvelle vocation, Randoom consacre une grande partie de son temps à sourire bêtement en s'amusant d'une quelconque façon. Que ce soit avec des techniques d'animaux de compagnie, en se faisant gratter, en bondissant partout, etc. Ou des nouveaux intérêts comme les jeux-vidéos, la weed, le rap des années 90 -ils disaient beaucoup « bitch » à l'époque, ça lui parle- et l'envie de créer un art canidé respecté dans le milieu de l'art contemporain.

DOOM - on m'a dit "hé tu veux jouer un chien ?" et j'ai répondu "ok, ouais, évidemment" - ouaf.