La vie normale (ft Kate)
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La vie normale (ft Kate)
Jessica C. Jones Mer 25 Nov 2015 - 12:56
Kate et Jessica
Don't forget your friends.
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Dernière édition par Jessica C. Jones le Lun 30 Nov 2015 - 10:36, édité 2 fois
Jessica C. Jones- Messages : 22
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Katherine E. Bishop Mer 25 Nov 2015 - 18:03
Je sais que parfois, on doit se détacher de ce qu’on possède ou de ce qu’on chérie pour se retrouver. Je l’ai fais souvent avec ma famille biologique durant mon adolescence et j’ai fini par complètement me débrancher de ma famille. Je fais peut-être quelques efforts pour revenir vers eux, mais c’est très loin du véritable concept de la réciprocité qu’ils recherchaient chez moi depuis les dernières années. Alors parfois, je pense qu’il est un peu normal que des amis ou des proches rentrent dans la même perspective. Je n’ai pas vraiment compris le pourquoi du recul de Jessica autour de ses proches, mais je n’ai jamais pensé à pousser pour en savoir plus sur pourquoi le froid entre ses proches et elle. Je crois qu’elle a bien sûr des raisons personnelles d’avoir décider de prendre ce recul.
On ne fait pas vraiment ça sur un coup de tête. Peut-être que je n’ai pas été très avisée d’aller la voir pour en savoir plus sur ses problèmes, mais je pensais surtout qu’il fallait que je respecte ce qu’elle a fait pour moi en lui laissant son espace. Il fallait quand même être doctoresse en patience dans la plus prestige des universités pour me supporter durant mon adolescence. En plus, je pense qu’elle a quand même fait des efforts surhumains pour essayer de me reconduire un peu à cette époque. Il était donc normal que quand elle veut prendre le recul que je l’accepte.
Je ne vais pas vous mentir que j’étais un peu dérangé par ce lien brisé. Au début, je croyais vraiment qu’elle avait un peu perdu patience avec moi et qu’elle cherchait à avoir la paix. Cependant Luke m’a confirmé que Jessica voulait vraiment prendre le plus de reculs possibles avec la totalité de ses amis à cause de problème personnel. Je regrette un peu que nos liens se sont coupés, mais je pouvais bien comprendre. Au moins, Luke me donnait quelques nouvelles de temps en temps sur Jessica. Elle ne s’isolait pas complètement de ses proches avec le contact de Luke. Il refusait souvent de me dire ce qu’il se passait, mais de ce que je connaissais de Jessica, elle doit avoir eu des problèmes avec le SHIELD ou une autre organisation mystique que je ne connais pas.
Je n’ai pas vraiment l’habitude de compter les années, mais cela fait quand même assez longtemps que le contact a été coupé entre Jessica et moi. Je suis un peu surprise de recevoir enfin le message de Luke pour me dire que les problèmes personnels de Jessica venaient d’être régler. J’hésite à lui poser la question que c’était quoi les problèmes de Jessica, mais je ne lui pose pas. Si elle veut m’en parler, cela va être son choix et je vais aussi respecter aussi le choix de ne pas m’en parler si elle ne veut pas.
Malgré tous les questionnements que je peux avoir autour des problèmes de Jessica ou encore de son caractère, je pense que c’est vraiment le temps d’improviser une petite visite dans son lieu de travail et de son appartement dans le même coup. Je me souviens que les gens de son appartement semblaient assez étranges, mais cela avait quand même son charme avec les gros cafards et les trous dans les murs.
Profitant d’un congé au Starbucks, je décide de rendre visite à Jessica. Novembre est arrivé et il fait un peu plus frais que d’habitudes, alors normal de porter mon classique manteau du Power Rangers rouge pour sortir. Hormis le manteau un peu enfantin, mes vêtements sont pour rester dans la discrétion. Un chandail classique noir avec un logo que je ne connais même pas et des magnifiques pantalons noirs, sortis du troisième tiroir. Cela me prends quand même un temps pour me rendre à Hell’s Kitchen. Le trajet en bus reste plus rapide qu’en marchant, mais j’espère que je ne vais pas arriver pour la déranger, mais je ne crois plus avoir son numéro. En tout cas, je me sens un peu soulagée de voir enfin l’immeuble, cela me fait déjà du bien de voir ce vieux bâtiment. Au moins, je connais un peu le chemin pour me rendre à son appartement. Le petit ascenseur reste toujours avec le même bruit de rouilles.
Moi qui voulait lui réserver une surprise en cognant discrètement à sa porte, je suis totalement piégée de la retrouver directement dans son couloir. J’avais peur de sa réaction en me voyant de retour dans sa vie, mais elle ne semblait pas vraiment mal le prendre. Elle m’offre même des salutations sincères, ce que je lui réponds avec un sourire avant de me faire inviter dans son appartement.
« Oui bien sûr, si je ne te dérange pas… »
Je ne sais pas vraiment si elle va mal prendre mon intrusion. Je ne viens quand même pas lui faire des reproches après des années de vide entre nous deux. Je ne suis pas vraiment la meilleure pour juger des relations vides de contacts. J’ajoute quand même quelques mots avant de la laisser ouvrir sa porte pour rentrer dans son bureau.
« Luke m’a dit que tu allais mieux, alors je passais pour reprendre des nouvelles. »
J’espère que je n’en fais pas trop. Peut-être que Jessica voulait que Luke ne parle pas trop de ses soucis. Je reste timide sur un éventuel contact physique, je sais très bien qu’elle n’est pas vraiment dans le type de câlin Young Force. Je suis aussi gênée de ne pas en savoir plus sur ses problèmes personnels. J’ai vraiment l’impression d’être égoïste en revenant dans son monde sans connaitre ce qu’elle a pu vivre avant.
On ne fait pas vraiment ça sur un coup de tête. Peut-être que je n’ai pas été très avisée d’aller la voir pour en savoir plus sur ses problèmes, mais je pensais surtout qu’il fallait que je respecte ce qu’elle a fait pour moi en lui laissant son espace. Il fallait quand même être doctoresse en patience dans la plus prestige des universités pour me supporter durant mon adolescence. En plus, je pense qu’elle a quand même fait des efforts surhumains pour essayer de me reconduire un peu à cette époque. Il était donc normal que quand elle veut prendre le recul que je l’accepte.
Je ne vais pas vous mentir que j’étais un peu dérangé par ce lien brisé. Au début, je croyais vraiment qu’elle avait un peu perdu patience avec moi et qu’elle cherchait à avoir la paix. Cependant Luke m’a confirmé que Jessica voulait vraiment prendre le plus de reculs possibles avec la totalité de ses amis à cause de problème personnel. Je regrette un peu que nos liens se sont coupés, mais je pouvais bien comprendre. Au moins, Luke me donnait quelques nouvelles de temps en temps sur Jessica. Elle ne s’isolait pas complètement de ses proches avec le contact de Luke. Il refusait souvent de me dire ce qu’il se passait, mais de ce que je connaissais de Jessica, elle doit avoir eu des problèmes avec le SHIELD ou une autre organisation mystique que je ne connais pas.
Je n’ai pas vraiment l’habitude de compter les années, mais cela fait quand même assez longtemps que le contact a été coupé entre Jessica et moi. Je suis un peu surprise de recevoir enfin le message de Luke pour me dire que les problèmes personnels de Jessica venaient d’être régler. J’hésite à lui poser la question que c’était quoi les problèmes de Jessica, mais je ne lui pose pas. Si elle veut m’en parler, cela va être son choix et je vais aussi respecter aussi le choix de ne pas m’en parler si elle ne veut pas.
Malgré tous les questionnements que je peux avoir autour des problèmes de Jessica ou encore de son caractère, je pense que c’est vraiment le temps d’improviser une petite visite dans son lieu de travail et de son appartement dans le même coup. Je me souviens que les gens de son appartement semblaient assez étranges, mais cela avait quand même son charme avec les gros cafards et les trous dans les murs.
Profitant d’un congé au Starbucks, je décide de rendre visite à Jessica. Novembre est arrivé et il fait un peu plus frais que d’habitudes, alors normal de porter mon classique manteau du Power Rangers rouge pour sortir. Hormis le manteau un peu enfantin, mes vêtements sont pour rester dans la discrétion. Un chandail classique noir avec un logo que je ne connais même pas et des magnifiques pantalons noirs, sortis du troisième tiroir. Cela me prends quand même un temps pour me rendre à Hell’s Kitchen. Le trajet en bus reste plus rapide qu’en marchant, mais j’espère que je ne vais pas arriver pour la déranger, mais je ne crois plus avoir son numéro. En tout cas, je me sens un peu soulagée de voir enfin l’immeuble, cela me fait déjà du bien de voir ce vieux bâtiment. Au moins, je connais un peu le chemin pour me rendre à son appartement. Le petit ascenseur reste toujours avec le même bruit de rouilles.
Moi qui voulait lui réserver une surprise en cognant discrètement à sa porte, je suis totalement piégée de la retrouver directement dans son couloir. J’avais peur de sa réaction en me voyant de retour dans sa vie, mais elle ne semblait pas vraiment mal le prendre. Elle m’offre même des salutations sincères, ce que je lui réponds avec un sourire avant de me faire inviter dans son appartement.
« Oui bien sûr, si je ne te dérange pas… »
Je ne sais pas vraiment si elle va mal prendre mon intrusion. Je ne viens quand même pas lui faire des reproches après des années de vide entre nous deux. Je ne suis pas vraiment la meilleure pour juger des relations vides de contacts. J’ajoute quand même quelques mots avant de la laisser ouvrir sa porte pour rentrer dans son bureau.
« Luke m’a dit que tu allais mieux, alors je passais pour reprendre des nouvelles. »
J’espère que je n’en fais pas trop. Peut-être que Jessica voulait que Luke ne parle pas trop de ses soucis. Je reste timide sur un éventuel contact physique, je sais très bien qu’elle n’est pas vraiment dans le type de câlin Young Force. Je suis aussi gênée de ne pas en savoir plus sur ses problèmes personnels. J’ai vraiment l’impression d’être égoïste en revenant dans son monde sans connaitre ce qu’elle a pu vivre avant.
Katherine E. Bishop- Messages : 795
Date d'inscription : 14/01/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Jessica C. Jones Jeu 26 Nov 2015 - 8:36
Kate et Jessica
Don't forget your friends.
Kate marchait sur des œufs, Jessica ne culpabilisait pas vraiment d’avoir instauré cette distance, elle avait fait ce qu’elle jugeait être le plus sécuritaire, mais quelque chose c’était rompu. C’était palpable, la confiance qui régnait autrefois entre elles, était entachée par le non-dit.
La porte ouverte, elle retira le blouson qu’elle venait à peine d’enfiler et l’abandonna sur un vétuste canapé. Kate sourit, mais elle semble mal assurée. Bien sûr, elle ne la dérange pas. Ce qu’elle signale en faisant non de la tête. Elle extirpa de la poche arrière de son pantalon un paquet de cigarette, elle coinça la cigarette entre ses lèvres, puis se dirigea vers son bureau à la recherche d’un briquet, encore fonctionnel de préférence. Jessica s’interrompit en pleins geste lorsque la jeune femme fit mention de Luke. Bien sûr, il avait aidé à ce que Kate ne s’implique pas, il avait servis de relais sans qu’elle lui demande, parce que c’est ce qu’il faisait. Elle n’avait pas envie de réagir sur ce point, elle acheva d’allumer sa cigarette et en tira une bouffée salvatrice. « Tu veux un truc à boire ? J’ai que de l’eau désolée. »
Dans la cuisine elle trouva miraculeusement un verre propre et intact qu’elle remplit d’eau du robinet qu’elle donna à Kate. « J’allais faire les courses, j’ai plus rien. » justifia t-elle sans raison, elle savait que Kate n’était pas venue dans son trou pour ses qualités d’hôtesses. Elle s’adossa contre son bureau, observant entre ses volutes de fumées, celle qui fut sa protégée.
Elle ne pouvait pas simplement éluder la conversation, elle n’avait pas non plus envie de revenir sur les événements. « Je vais mieux. » finit-elle par lâcher comme à contrecœur. « Un vieux démon a ressurgit et…. » elle s’interrompit, regrettant de n’avoir pas d’alcool, comme à chaque fois qu’elle pensait à ce type, elle ressentait le besoin d’ingurgiter une grande quantité d’alcool, elle tira une nouvelle taf « …j’ai préféré tenir le maximum de gens à l’écart. » Eviter d’avantage de dommages collatéraux, éviter de porter le poids d’une nouvelle mort. Kate n’avait pas besoin d’affronter ce type de monstre et Jessica espérait sincèrement qu’elle n’aurait jamais à le faire. Personne ne le devrait.
C’était étrange de la voir, c’était l’annonce d’un retour à la normalité, aussi normale que puisse être sa vie en tout cas. C’était d’une certaine façon réconfortant. Un sourire naquit à la commissure de ses lèvres tandis qu’elle tapait sa cigarette dans le cendrier déjà plein. « Et toi ça se passe comment ? » Kate était devenue une héroïne, Jess n’avait pas tenu longtemps dans son costume de super, il avait été remisé au placard avec tous les souvenirs de cette période, mais Kate elle, était une vraie héroïne, elle avait un nom de code et une équipe, et un improbable QG, même si elle ne le disait pas, elle était fière d’elle, elle avait fait du chemin, elle n’était plus l’instable adolescente qu’elle avait connu. « Je t’ai vu dans le journal » ajouta t-elle pour la forme, elle l’avait reconnu était-il plus juste de dire.
S’attaquer à la mafia japonaise, c’était un pari risqué, le crime organisé gangrenait la ville et n’était pas la priorité des hautes instances ; pas assez vendeur, pas en dehors des périodes d’élections en tout cas. C’est le SHIELD qui devait l’avoir mauvaise, la popularité de la young force montait et des voix contestaires s’élevaient de plus en plus contre l’impérialisme des vengeurs. Pas que Jessica en ait quelque chose à carrer de leur concours de popularité, mais elle appréciait que le vent tourne.
La porte ouverte, elle retira le blouson qu’elle venait à peine d’enfiler et l’abandonna sur un vétuste canapé. Kate sourit, mais elle semble mal assurée. Bien sûr, elle ne la dérange pas. Ce qu’elle signale en faisant non de la tête. Elle extirpa de la poche arrière de son pantalon un paquet de cigarette, elle coinça la cigarette entre ses lèvres, puis se dirigea vers son bureau à la recherche d’un briquet, encore fonctionnel de préférence. Jessica s’interrompit en pleins geste lorsque la jeune femme fit mention de Luke. Bien sûr, il avait aidé à ce que Kate ne s’implique pas, il avait servis de relais sans qu’elle lui demande, parce que c’est ce qu’il faisait. Elle n’avait pas envie de réagir sur ce point, elle acheva d’allumer sa cigarette et en tira une bouffée salvatrice. « Tu veux un truc à boire ? J’ai que de l’eau désolée. »
Dans la cuisine elle trouva miraculeusement un verre propre et intact qu’elle remplit d’eau du robinet qu’elle donna à Kate. « J’allais faire les courses, j’ai plus rien. » justifia t-elle sans raison, elle savait que Kate n’était pas venue dans son trou pour ses qualités d’hôtesses. Elle s’adossa contre son bureau, observant entre ses volutes de fumées, celle qui fut sa protégée.
Elle ne pouvait pas simplement éluder la conversation, elle n’avait pas non plus envie de revenir sur les événements. « Je vais mieux. » finit-elle par lâcher comme à contrecœur. « Un vieux démon a ressurgit et…. » elle s’interrompit, regrettant de n’avoir pas d’alcool, comme à chaque fois qu’elle pensait à ce type, elle ressentait le besoin d’ingurgiter une grande quantité d’alcool, elle tira une nouvelle taf « …j’ai préféré tenir le maximum de gens à l’écart. » Eviter d’avantage de dommages collatéraux, éviter de porter le poids d’une nouvelle mort. Kate n’avait pas besoin d’affronter ce type de monstre et Jessica espérait sincèrement qu’elle n’aurait jamais à le faire. Personne ne le devrait.
C’était étrange de la voir, c’était l’annonce d’un retour à la normalité, aussi normale que puisse être sa vie en tout cas. C’était d’une certaine façon réconfortant. Un sourire naquit à la commissure de ses lèvres tandis qu’elle tapait sa cigarette dans le cendrier déjà plein. « Et toi ça se passe comment ? » Kate était devenue une héroïne, Jess n’avait pas tenu longtemps dans son costume de super, il avait été remisé au placard avec tous les souvenirs de cette période, mais Kate elle, était une vraie héroïne, elle avait un nom de code et une équipe, et un improbable QG, même si elle ne le disait pas, elle était fière d’elle, elle avait fait du chemin, elle n’était plus l’instable adolescente qu’elle avait connu. « Je t’ai vu dans le journal » ajouta t-elle pour la forme, elle l’avait reconnu était-il plus juste de dire.
S’attaquer à la mafia japonaise, c’était un pari risqué, le crime organisé gangrenait la ville et n’était pas la priorité des hautes instances ; pas assez vendeur, pas en dehors des périodes d’élections en tout cas. C’est le SHIELD qui devait l’avoir mauvaise, la popularité de la young force montait et des voix contestaires s’élevaient de plus en plus contre l’impérialisme des vengeurs. Pas que Jessica en ait quelque chose à carrer de leur concours de popularité, mais elle appréciait que le vent tourne.
Jessica C. Jones- Messages : 22
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Katherine E. Bishop Ven 27 Nov 2015 - 0:14
La situation reste très tendue et je n’aime pas beaucoup cette impression. Peut-être que je la gênais vraiment de revenir dans sa vie sans vraiment prévenir. J’aurai peut-être dût avertir Luke de mes intentions pour que celui-ci passe le message à mon amie. Ce n’est pas vraiment mon habitude d’agir sur un coup de tête de cette façon. Jessica me réponds avec un signe de la tête pour éviter le malentendu sur le dérangement, mais elle reste dans mon impression : On dirait que le lien n’est pas vraiment similaire de notre dernière conversation. Au moins, elle ne me sort pas une phrase vraiment méchante du type : « Tu devrais revenir vers 2018, je vais avoir du temps pour toi durant cette année. » Elle semble accepter déjà mes premières phases et ne semble pas prendre très mal mes nouvelles de Luke. On rentre doucement dans son appartement et rien n’a vraiment changé. Je crois que c’est vraiment une mauvaise idée d’avoir une porte avec une vitre chez Jessica. La plupart du temps, elle semble complètement défoncée et elle trouve des boites de cartons pour éviter qu’on rentre dans sa vie privée. Le reste de l’appartement n’a pas beaucoup changé, mais j’ai toujours aimé cette allure.
Je trouve que Jessica a beaucoup pour se rendre à ce niveau. Elle a quand même décidé de faire un travail assez difficile dans l’un des pires coins de New York surtout touché par la destruction de l’attaque de Loki et oublié par plusieurs. Je pense sincèrement que Jessica fait beaucoup plus que les héros traditionnels. Elle se soucie des oubliés, des gens qui n’intéressent pas beaucoup les Vengeurs, je la trouve d’une manière plus courageuse que moi par cette perspective. Elle fait face peut-être aux trucs débiles autour des mariages qui battent de l’aile, mais elle travaille aussi sur des disparitions difficiles ou des cas complètement perdus. Je laisse mon manteau Power Rangers sur le siège en face de son bureau, réservé souvent aux clients. Je m’assis à cette même place pendant que Jessica passe un moment dans la cuisine pour me proposer de l’eau.
« L’eau me convient parfaitement, Jessica. »
En plus si elle n’a pas d’argents pour encore s’acheter une nouvelle vitre pour sa porte, je ne vais pas lui demander ses économies pour les épiceries. Elle me revient avec de l’eau, me confirmant aussi qu’elle n’a pas encore fait de nouvelles courses pour remplir son frigidaire. Elle retourne ensuite à sa place pour me glisser quelques mots plus personnels. Elle me confirme qu’elle va mieux, sans laisser vraiment de traces pour une suite. Mais elle décide de continuer sur quelques autres mots ce qui me laisse perplexe. Elle me parle de vieux démon, mais je ne sais pas vraiment d’où vient le problème, ni ce que Jessica avait vraiment enduré. Elle voulait aussi tenir à l’écart le maximum de ses proches. Je laisse un demi-sourire à cette intervention, ne savant pas trop comment m’y aventurer.
C’est bizarre parce que finalement, j’ai toujours vu Jessica comme celle qui pouvait m’aider à affronter tous les démons et finalement, je la vois avec des problèmes aussi importants que les miens. Je ne sais pas vraiment c’est quoi ses démons, cela peut être un groupe ennemi, de l’alcool et des drogues, mais je n’ai pas envie de pousser sur ce sujet. Je ne veux pas qu’elle sente que je veux enfoncer ce sujet comme le principal thème de ma visite. Cela m’intéresse bien sûr, mais ma principale raison était de reprendre des nouvelles de son état.
« Je peux comprendre que tu ne veux pas trop en parler, mais si tu en as besoin, tu peux toujours compter sur moi. Avec le temps que tu as pris pour me sortir de mon marasme, je crois que c’est un juste retour des choses de pouvoir t’écouter si tu en as besoin. »
C’est vraiment sincère et j’espère que cela ne fait pas trop cliché. Je n’ai pas envie de sortir des phrases préconstruites de psychologue pour aider Jessica, mon but était vraiment d’être avec elle malgré les péripéties qu’elle peut traverser. J’aimerais vraiment qu’elle m’en parle, mais je ne suis pas là pour connaître toutes les vérités et les souffrances qu’elle a supportée, surtout si c’est pour les revivre juste en m’en parlant.
Je la vois sourire durant un moment. Elle fait un effort pour revenir vers moi. Jessica me demande des nouvelles et je réfléchis sur comment l’aborder. Cela ne me gêne pas de dire la vérité à Jessica, mais depuis mon rentré dans la Young Force en Janvier, il s’est quand même passé beaucoup de choses. C’est facile de décrire ma vie avant de rejoindre la Young Force : J’ai passé à vivre environ dix ans chez mes parents tout en continuant mes sorties nocturnes dans Central Park. C’est surtout avec la Young Force que c’est devenu bien plus clair et précis. Je réfléchis sur comment bien introduire le sujet, quand elle commence à me faire une petite remarque sur mes dernières aventures contre la mafia japonaise publicisé par les médias.
« Oui, beaucoup de choses se sont passés surtout cette année. Avant, je ne me sentais pas vraiment à l’aise chez mes parents, mais je continuais la carrière de l’Archer de Central Park. Depuis Janvier, j’ai rejoins un petit groupe appelé la Young Force. Ils m’ont beaucoup aidé à me retrouver et je me suis fais quelques amis à l’intérieur du groupe. Au début, je doutais un peu de la crédibilité du groupe. Pour venir me recruter, ils ont décidé de simuler une agression à Central Park pour que je rentre une flèche dans la jambe du faux agresseur et me parler après. Alors c’était un peu normal mon doute à cette période, mais après ils ont prouvé leurs valeurs, non uniquement liés aux actions contre les divers groupes criminels, mais aussi pour remonter mon moral.
Je suis confiante pour rester longtemps dans ce groupe. Je continue aussi quelques opérations solos comme contre la mafia japonaise et je ne crois pas vraiment que je me fais apprécier par le SHIELD ou les Vengeurs, mais au moins, je peux compter sur des amis pour continuer. Et toi? Tu as recommencé de briser des couples? Ou de trouver des enfants disparus? »
J’ai laissé un rire à ma remarque sur la brisure de couple. Je sais que ce n’est pas très amusant de faire ce travail, mais j’aime mieux en rire qu’en pleurer. Je ne sais pas trop ce que Jessica pense de mon affiliation dans la Young Force, mais j’espère qu’elle ne désapprouve pas. Je ne me suis jamais vraiment vue comme une grande héroïne et je n’accepte pas vraiment ce regard sur moi, mais je pouvais comprendre le désir des gens de m’identifier à ce rôle. Je sais que la plupart cherchait à trouver des repères pour mieux comprendre ce qui était autour d’eux. Luke m’a déjà parlé que Jessica avait du mal avec de se coller à un costume, mais pour moi, Jessica n’avait jamais eu besoin de costume pour être une héroïne, car elle l’avait été longtemps pour moi par l’espoir qu’elle incarnait dans ses actions.
Je trouve que Jessica a beaucoup pour se rendre à ce niveau. Elle a quand même décidé de faire un travail assez difficile dans l’un des pires coins de New York surtout touché par la destruction de l’attaque de Loki et oublié par plusieurs. Je pense sincèrement que Jessica fait beaucoup plus que les héros traditionnels. Elle se soucie des oubliés, des gens qui n’intéressent pas beaucoup les Vengeurs, je la trouve d’une manière plus courageuse que moi par cette perspective. Elle fait face peut-être aux trucs débiles autour des mariages qui battent de l’aile, mais elle travaille aussi sur des disparitions difficiles ou des cas complètement perdus. Je laisse mon manteau Power Rangers sur le siège en face de son bureau, réservé souvent aux clients. Je m’assis à cette même place pendant que Jessica passe un moment dans la cuisine pour me proposer de l’eau.
« L’eau me convient parfaitement, Jessica. »
En plus si elle n’a pas d’argents pour encore s’acheter une nouvelle vitre pour sa porte, je ne vais pas lui demander ses économies pour les épiceries. Elle me revient avec de l’eau, me confirmant aussi qu’elle n’a pas encore fait de nouvelles courses pour remplir son frigidaire. Elle retourne ensuite à sa place pour me glisser quelques mots plus personnels. Elle me confirme qu’elle va mieux, sans laisser vraiment de traces pour une suite. Mais elle décide de continuer sur quelques autres mots ce qui me laisse perplexe. Elle me parle de vieux démon, mais je ne sais pas vraiment d’où vient le problème, ni ce que Jessica avait vraiment enduré. Elle voulait aussi tenir à l’écart le maximum de ses proches. Je laisse un demi-sourire à cette intervention, ne savant pas trop comment m’y aventurer.
C’est bizarre parce que finalement, j’ai toujours vu Jessica comme celle qui pouvait m’aider à affronter tous les démons et finalement, je la vois avec des problèmes aussi importants que les miens. Je ne sais pas vraiment c’est quoi ses démons, cela peut être un groupe ennemi, de l’alcool et des drogues, mais je n’ai pas envie de pousser sur ce sujet. Je ne veux pas qu’elle sente que je veux enfoncer ce sujet comme le principal thème de ma visite. Cela m’intéresse bien sûr, mais ma principale raison était de reprendre des nouvelles de son état.
« Je peux comprendre que tu ne veux pas trop en parler, mais si tu en as besoin, tu peux toujours compter sur moi. Avec le temps que tu as pris pour me sortir de mon marasme, je crois que c’est un juste retour des choses de pouvoir t’écouter si tu en as besoin. »
C’est vraiment sincère et j’espère que cela ne fait pas trop cliché. Je n’ai pas envie de sortir des phrases préconstruites de psychologue pour aider Jessica, mon but était vraiment d’être avec elle malgré les péripéties qu’elle peut traverser. J’aimerais vraiment qu’elle m’en parle, mais je ne suis pas là pour connaître toutes les vérités et les souffrances qu’elle a supportée, surtout si c’est pour les revivre juste en m’en parlant.
Je la vois sourire durant un moment. Elle fait un effort pour revenir vers moi. Jessica me demande des nouvelles et je réfléchis sur comment l’aborder. Cela ne me gêne pas de dire la vérité à Jessica, mais depuis mon rentré dans la Young Force en Janvier, il s’est quand même passé beaucoup de choses. C’est facile de décrire ma vie avant de rejoindre la Young Force : J’ai passé à vivre environ dix ans chez mes parents tout en continuant mes sorties nocturnes dans Central Park. C’est surtout avec la Young Force que c’est devenu bien plus clair et précis. Je réfléchis sur comment bien introduire le sujet, quand elle commence à me faire une petite remarque sur mes dernières aventures contre la mafia japonaise publicisé par les médias.
« Oui, beaucoup de choses se sont passés surtout cette année. Avant, je ne me sentais pas vraiment à l’aise chez mes parents, mais je continuais la carrière de l’Archer de Central Park. Depuis Janvier, j’ai rejoins un petit groupe appelé la Young Force. Ils m’ont beaucoup aidé à me retrouver et je me suis fais quelques amis à l’intérieur du groupe. Au début, je doutais un peu de la crédibilité du groupe. Pour venir me recruter, ils ont décidé de simuler une agression à Central Park pour que je rentre une flèche dans la jambe du faux agresseur et me parler après. Alors c’était un peu normal mon doute à cette période, mais après ils ont prouvé leurs valeurs, non uniquement liés aux actions contre les divers groupes criminels, mais aussi pour remonter mon moral.
Je suis confiante pour rester longtemps dans ce groupe. Je continue aussi quelques opérations solos comme contre la mafia japonaise et je ne crois pas vraiment que je me fais apprécier par le SHIELD ou les Vengeurs, mais au moins, je peux compter sur des amis pour continuer. Et toi? Tu as recommencé de briser des couples? Ou de trouver des enfants disparus? »
J’ai laissé un rire à ma remarque sur la brisure de couple. Je sais que ce n’est pas très amusant de faire ce travail, mais j’aime mieux en rire qu’en pleurer. Je ne sais pas trop ce que Jessica pense de mon affiliation dans la Young Force, mais j’espère qu’elle ne désapprouve pas. Je ne me suis jamais vraiment vue comme une grande héroïne et je n’accepte pas vraiment ce regard sur moi, mais je pouvais comprendre le désir des gens de m’identifier à ce rôle. Je sais que la plupart cherchait à trouver des repères pour mieux comprendre ce qui était autour d’eux. Luke m’a déjà parlé que Jessica avait du mal avec de se coller à un costume, mais pour moi, Jessica n’avait jamais eu besoin de costume pour être une héroïne, car elle l’avait été longtemps pour moi par l’espoir qu’elle incarnait dans ses actions.
Katherine E. Bishop- Messages : 795
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Re: La vie normale (ft Kate)
Jessica C. Jones Lun 30 Nov 2015 - 10:32
Kate et Jessica
Don't forget your friends.
Ce n’était pas une question de rééquilibrer le score, mais Jessica ne dit rien, si elle avait aidé Katherine ce n’était pas dans l’espoir qu’elle pourrait un jour l’écouter raconter ses malheurs. Parler n’était pas dans sa nature, s’épancher encore moins. Pas qu’elle n’ait pas confiance en elle, bien sûr Kate avait toute sa confiance, mais pourquoi parler du passé. Un passé mort et enterré qui avait déjà assez de personne à hanter pour ne pas avoir à en rajouter.
Il fallait passer à autre chose et se consacrer à l’avenir. Un mot auquel elle ne songeait pas jusque-là, un mot qui lui faisait l’effet d’une insulte mais qui aujourd’hui lui semblait moins agressif, plus probable. Kate semblait avoir trouvé sa place chez la Young Force. Son allusion aux vengeurs provoqua chez Jessica un ricanement amer 999999]Qui ils apprécient ceux-là, à part eux même bien sûr. » marmonna-t-elle.
Son passé de super héroïne en lycra ne lui avait rien laissé d’autres que des regrets. Au moins la Young Force semblait moins stupide, une petite bande a l’air trop sympathique pour ne pas lui taper sur les nerfs mais tant que Kate s’y sentait bien c’était le plus important. « Ouais, New York ne dort jamais et faut bien payer les factures. » et les réparations songea t-elle sans le dire. L’appartement était dévasté. Après un instant de réflexion elle ajouta « Méfie-toi quand même d’eux, ils sont obsédés par eux-même, mais s’ils décident que vous êtes des ennemis, ça risque de barder, ils sont assez cons pour vous combattre comme si vous étiez Hydra. Et avec tous ses groupes qui naissent partout, ils vont rapidement se sentir acculer. »
A cet instant la porte s’ouvrit sur Malcolm portant avec lui un sac avec ce qui devait être des pâtisseries et un café dans un gobelet en carton. Il prenait à cœur le rôle qu’il était auto attribuait et cela avait le don de taper sur le système de Jesssica. Il s’arrêta en voyant Kate. Jessica roula des yeux et s’avança pour récupérer le sac contenant quelques muffins elle en attrapa un et tendit le sac à Kate «J’te présente Malcolm, ancien junky super être humain. » Son sarcasme détenait une part de vérité, Malcolm était en effet un super être humain. « Malcolm, voici Kate… » que devait-elle dire à son sujet ? Super en formation, Protégée ? Kate n’était plus une gamine « … une amie. » acheva-t-elle et ce mot sonna bizarre dans sa bouche.
C’était étrange de voir que malgré ses sarcasmes et sa mauvaise humeur affectée il semblait que les gens s’acharnaient à vouloir rester auprès d’elle. Et Malcolm semblait s’être fait une mission de la ramener à un mode de vie plus sain. Un mode de vie fait de caféine et de muffin plus que de whisky. Elle le laissait faire, pas sans râler, mais elle savait qu’elle n’arriverait pas à le chasser, il s’imaginait avoir contracté un genre de dette de vie envers elle. Il finirait par se lasser. Probablement.
C’est en mordant dans le muffin qu’elle réalisa qu’elle avait faim. Non. Qu’elle était affamée, il allait vraiment falloir régler ce problème de cuisine, pas qu’elle cuisine mais qu’elle puisse au moins stocker de quoi faire des sandwichs. Elle abandonna sa cigarette à moitié consumée dans le cendrier pour prendre une gorgée de café. Elle se sentait un peu mieux.
Il fallait passer à autre chose et se consacrer à l’avenir. Un mot auquel elle ne songeait pas jusque-là, un mot qui lui faisait l’effet d’une insulte mais qui aujourd’hui lui semblait moins agressif, plus probable. Kate semblait avoir trouvé sa place chez la Young Force. Son allusion aux vengeurs provoqua chez Jessica un ricanement amer 999999]Qui ils apprécient ceux-là, à part eux même bien sûr. » marmonna-t-elle.
Son passé de super héroïne en lycra ne lui avait rien laissé d’autres que des regrets. Au moins la Young Force semblait moins stupide, une petite bande a l’air trop sympathique pour ne pas lui taper sur les nerfs mais tant que Kate s’y sentait bien c’était le plus important. « Ouais, New York ne dort jamais et faut bien payer les factures. » et les réparations songea t-elle sans le dire. L’appartement était dévasté. Après un instant de réflexion elle ajouta « Méfie-toi quand même d’eux, ils sont obsédés par eux-même, mais s’ils décident que vous êtes des ennemis, ça risque de barder, ils sont assez cons pour vous combattre comme si vous étiez Hydra. Et avec tous ses groupes qui naissent partout, ils vont rapidement se sentir acculer. »
A cet instant la porte s’ouvrit sur Malcolm portant avec lui un sac avec ce qui devait être des pâtisseries et un café dans un gobelet en carton. Il prenait à cœur le rôle qu’il était auto attribuait et cela avait le don de taper sur le système de Jesssica. Il s’arrêta en voyant Kate. Jessica roula des yeux et s’avança pour récupérer le sac contenant quelques muffins elle en attrapa un et tendit le sac à Kate «J’te présente Malcolm, ancien junky super être humain. » Son sarcasme détenait une part de vérité, Malcolm était en effet un super être humain. « Malcolm, voici Kate… » que devait-elle dire à son sujet ? Super en formation, Protégée ? Kate n’était plus une gamine « … une amie. » acheva-t-elle et ce mot sonna bizarre dans sa bouche.
C’était étrange de voir que malgré ses sarcasmes et sa mauvaise humeur affectée il semblait que les gens s’acharnaient à vouloir rester auprès d’elle. Et Malcolm semblait s’être fait une mission de la ramener à un mode de vie plus sain. Un mode de vie fait de caféine et de muffin plus que de whisky. Elle le laissait faire, pas sans râler, mais elle savait qu’elle n’arriverait pas à le chasser, il s’imaginait avoir contracté un genre de dette de vie envers elle. Il finirait par se lasser. Probablement.
C’est en mordant dans le muffin qu’elle réalisa qu’elle avait faim. Non. Qu’elle était affamée, il allait vraiment falloir régler ce problème de cuisine, pas qu’elle cuisine mais qu’elle puisse au moins stocker de quoi faire des sandwichs. Elle abandonna sa cigarette à moitié consumée dans le cendrier pour prendre une gorgée de café. Elle se sentait un peu mieux.
Dernière édition par Jessica C. Jones le Mar 15 Déc 2015 - 12:17, édité 1 fois
Jessica C. Jones- Messages : 22
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Katherine E. Bishop Lun 30 Nov 2015 - 17:20
Je peux bien m’imaginer plusieurs scenarios autour de Jessica sur ses problèmes ou sur ses pensées, mais je crains que j’ai très peu de chances de le trouver. On parle quand même de trouver le concept d’un homme qui contrôle les gens en parlant et qui était peut-être le pire monstre de toute la ville, même devant les tortionnaires favoris de la Main. Alors mes chances s’avoisinent vers le zéro pour trouver ce qui tracasse vraiment mon amie. Je pourrais peut-être faire une enquête sur le sujet, mais j’ai beaucoup trop de respect envers Jessica pour me mêler de sa vie privée. Elle m’a peut-être aidé plus jeune dans ma vie privée avec Luke, et malgré que je pouvais être hostile d’en parler, ils m’ont quand même mis sur le droit chemin. Ce n’est peut-être pas le cheminement idéal pour tous et désiré par les élites de la société, mais au moins je me suis trouvée.
Je me suis peut-être retrouvée dans un groupe très étrange, mais c’est quand même trouver ma place dans la société. J’écoute la suite des paroles de Jessica avec quelques remarques sur les Vengeurs qui ne sont pas très apprécier par beaucoup de gens. Ils sont capables de convaincre quelques personnes, mais je crois sincèrement que la majorité des sociétés voit bien qu’ils ne sont pas capables de suivre le modèle de la Justice League. Je ne juge pas Luke d’avoir rejoint le groupe, je pense qu’il est aussi déçu que de nombreux autres, mais je trouve cela triste de voir une personne aussi généreuse, malgré son attitude de bad ass bourrin, rentrait dans un groupe qui ne le considère pas du tout.
Jessica réponds ensuite à ma question sur son retour en détective privée. Ce n’est peut-être pas le meilleur travail, mais si elle se plait dans ce domaine, je ne vais quand même pas commencer à lui faire la morale. Je crois vraiment que je suis la mauvaise personne pour juger si un travail ou un comportement est négatif ou positif. Mon amie revient vers moi après sur un petit conseil devant le danger actuel des Vengeurs qui ne retiennent pas vraiment leurs coups devant les menaces d’intégrités de leurs groupes. Je peux comprendre facilement cette remarque, déjà avec nous, Carol veut complètement nous exterminer de la circulation par les médias et aussi physiquement. Elle a quand même agressé une fois Cassie et la folle de service a ensuite décidé de venir attaquer le Starbucks entier le mois dernier.
« Oui… Ils l’ont déjà fait en plus… je ne sais pas si Captain Marvel nous voyait comme l’HYDRA, mais elle était vraiment très agressive. Carol a attaqué l’une de nos amies l’année dernière. Elle a essayé de récidiver en Octobre dernier. Si Carol n’avait pas de pouvoirs cosmiques, je pense que sa seule place peut être dans un asile psychiatrique. »
Oui, je viens de juger le comportement d’une personne, parce que contrairement à la recherche d’un bonheur ou de comptabiliser sa vie, Carol Danvers ne semblait pas avoir beaucoup de buts en particuliers, hormis essayer de satisfaire son énorme égo. Je n’essaie pas vraiment de comprendre toute sa logique, elle doit l’avoir écrit dans de nombreux articles de Woman Magazine, mais cela ne m’intéresse pas vraiment. À ce que j’ai vu, elle penche surtout sa vie sur elle et son image, alors je ne la considère pas autrement qu’une personnalité oscillant entre Kim Kardashian et Donald Trump. De toute façon, je ne crois pas qu’elle mérite autant d’attention aujourd’hui, ce sont surtout mes rancunes qui parlent dût à la dernière attaque.
C’est ensuite le temps de l’intrusion dans l’appartement de Jessica. La porte s’ouvre pour laisser paraitre un visage qui m’est inconnu. Il avait cependant apporté du café et des muffins pour la survivante, mais il semble assez gêné sur le coup. Jessica va se servir sans réel gêne en me donnant du coup un traditionnel muffin. Malcolm, comme la série avec Walter White qui se cache en gentil papa, est son nom, mais Jessica le présente comme un ancien junkie super humain. Cela sonne bizarre, mais au moins elle me présente comme son amie. Pour paraitre plus gentille dans mon état dans ma sociabilité, je présente ma main au livreur de muffin pour un contact plus humain.
« Enchantée Malcolm, Katherine Bishop. C’est un plaisir de te rencontrer. »
Je ne sais pas s’il va accepter la main tendue, beaucoup de gens, ayant eu des problèmes dans le passé, restent dans une certaine méfiance des autres par l’avenir. J’espère ne pas trop le gêner, mais encore une fois, je le sens assez mal par mon retour dans la vie de mon amie. Jessica l’a aidée et vu qu’il est voisin, il doit en savoir beaucoup plus sur elle que moi-même qu’elle considère comme son amie. Je laisse un sourire à Malcolm pour essayer encore de paraitre la plus aimable possible en essayant d’oublier ma petite pensée sur ce cas.
« Malcolm t’aide pour tes enquêtes? Ou il livre juste les muffins et le café? »
Je me suis peut-être retrouvée dans un groupe très étrange, mais c’est quand même trouver ma place dans la société. J’écoute la suite des paroles de Jessica avec quelques remarques sur les Vengeurs qui ne sont pas très apprécier par beaucoup de gens. Ils sont capables de convaincre quelques personnes, mais je crois sincèrement que la majorité des sociétés voit bien qu’ils ne sont pas capables de suivre le modèle de la Justice League. Je ne juge pas Luke d’avoir rejoint le groupe, je pense qu’il est aussi déçu que de nombreux autres, mais je trouve cela triste de voir une personne aussi généreuse, malgré son attitude de bad ass bourrin, rentrait dans un groupe qui ne le considère pas du tout.
Jessica réponds ensuite à ma question sur son retour en détective privée. Ce n’est peut-être pas le meilleur travail, mais si elle se plait dans ce domaine, je ne vais quand même pas commencer à lui faire la morale. Je crois vraiment que je suis la mauvaise personne pour juger si un travail ou un comportement est négatif ou positif. Mon amie revient vers moi après sur un petit conseil devant le danger actuel des Vengeurs qui ne retiennent pas vraiment leurs coups devant les menaces d’intégrités de leurs groupes. Je peux comprendre facilement cette remarque, déjà avec nous, Carol veut complètement nous exterminer de la circulation par les médias et aussi physiquement. Elle a quand même agressé une fois Cassie et la folle de service a ensuite décidé de venir attaquer le Starbucks entier le mois dernier.
« Oui… Ils l’ont déjà fait en plus… je ne sais pas si Captain Marvel nous voyait comme l’HYDRA, mais elle était vraiment très agressive. Carol a attaqué l’une de nos amies l’année dernière. Elle a essayé de récidiver en Octobre dernier. Si Carol n’avait pas de pouvoirs cosmiques, je pense que sa seule place peut être dans un asile psychiatrique. »
Oui, je viens de juger le comportement d’une personne, parce que contrairement à la recherche d’un bonheur ou de comptabiliser sa vie, Carol Danvers ne semblait pas avoir beaucoup de buts en particuliers, hormis essayer de satisfaire son énorme égo. Je n’essaie pas vraiment de comprendre toute sa logique, elle doit l’avoir écrit dans de nombreux articles de Woman Magazine, mais cela ne m’intéresse pas vraiment. À ce que j’ai vu, elle penche surtout sa vie sur elle et son image, alors je ne la considère pas autrement qu’une personnalité oscillant entre Kim Kardashian et Donald Trump. De toute façon, je ne crois pas qu’elle mérite autant d’attention aujourd’hui, ce sont surtout mes rancunes qui parlent dût à la dernière attaque.
C’est ensuite le temps de l’intrusion dans l’appartement de Jessica. La porte s’ouvre pour laisser paraitre un visage qui m’est inconnu. Il avait cependant apporté du café et des muffins pour la survivante, mais il semble assez gêné sur le coup. Jessica va se servir sans réel gêne en me donnant du coup un traditionnel muffin. Malcolm, comme la série avec Walter White qui se cache en gentil papa, est son nom, mais Jessica le présente comme un ancien junkie super humain. Cela sonne bizarre, mais au moins elle me présente comme son amie. Pour paraitre plus gentille dans mon état dans ma sociabilité, je présente ma main au livreur de muffin pour un contact plus humain.
« Enchantée Malcolm, Katherine Bishop. C’est un plaisir de te rencontrer. »
Je ne sais pas s’il va accepter la main tendue, beaucoup de gens, ayant eu des problèmes dans le passé, restent dans une certaine méfiance des autres par l’avenir. J’espère ne pas trop le gêner, mais encore une fois, je le sens assez mal par mon retour dans la vie de mon amie. Jessica l’a aidée et vu qu’il est voisin, il doit en savoir beaucoup plus sur elle que moi-même qu’elle considère comme son amie. Je laisse un sourire à Malcolm pour essayer encore de paraitre la plus aimable possible en essayant d’oublier ma petite pensée sur ce cas.
« Malcolm t’aide pour tes enquêtes? Ou il livre juste les muffins et le café? »
Katherine E. Bishop- Messages : 795
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Re: La vie normale (ft Kate)
Jessica C. Jones Mar 15 Déc 2015 - 12:15
Kate et Jessica
Don't forget your friends.
Kate avait parfaitement raison, la place de Carol était en asile. En guise d’acquiescement, c’est un petit rire ironique que souffla Jessica. Carol était si boursouflé d’ego qu’elle se demandait par quel miracle elle pouvait encore rentrer dans son costume. Ce qui n’était pas avec elle, était contre elle et ce qui n’était pas elle était forcément inférieur. Jessica se souvenait de sa première rencontre, engoncée dans le stupide costume que Trish lui avait trouvé. Elle l’avait trouvé impressionnante, puis elle avait ouvert la bouche et Jessica eut immédiatement envie qu’elle la ferme. Elle c’était imposé comme mentor, pourtant Jessica aurait préféré n’importe qui d’autre, puis elle l’avait traité plus bas que terre, elle n’a jamais cru à Killgrave, pas à ses pouvoirs en tout cas. Mais Carol ne croit qu’en elle et aux valeurs passéistes qu’elle représente. Jessica préfére la chasser de son esprit, cela ne fait que remuer des souvenirs qu’elle préfère oublier et elle n’a même pas une gorgée de whisky pour les noyer.
Malcolm meuble pendant ce temps la conversation, son optimisme et sa gentillesse naturelle, en font un interlocuteur chaleureux. Après les salutations d’usages avec Kate dont il sert la main un peu étonné par son formalisme. Il part peu de temps après non sans un sourire satisfait en voyant que la première chose qu’ingurgite Jessica aujourd’hui, n’est pas de l’alcool. Jessica ne sait pas trop quel rôle Malcolm joue, il l’aide oui, mais pas pour ses enquêtes. Il a déjà failli devenir un dommage collatéral, elle préfère éviter que cela se reproduise. « Il m’aide.»
Ce matin-là, quand elle s’était réveillée, elle aurait aimé que le soleil brille au-dessus de Hell’s Kitchen, que son addiction, l’insidieuse culpabilité qui ruinait son estime et ses traumatismes aient disparut. Ca n’est pas le cas. L’unique différence c’est qu’elle reconnait, sans jamais l’évoquer à voix haute : c’est qu’elle a besoin d’aide.
Pourtant elle continue d’exclure de sa vie, une personne qu’elle vient de présenter comme une amie. Mais expliquer les derniers événements lui semblent être bien au-dessus de ses forces. Elle se dit que c’est pour la protéger, pour éviter de répandre ses propres malheurs, comme s’ils étaient un tissu adipeux qui allait se coller contre les gens, les salir à leur tour. Transmettre son histoire, c’était comme transmettre une maladie. « Malcolm a pris des coups pour moi, il a assez morflé pour que n’importe quel humain normal ait envie de prendre ses jambes à son coup, mais il reste et il m’aide. »
Le téléphone sonna extirpant Jessica de son demi aveu, « Alias investigation » annonça t-elle mécaniquement en décrochant. C’était Trish, Jessica roula des yeux, son amie l’appelait tous les jours. A croire qu’elle allait tomber en miette, était-elle en si mauvais état ? Elle finit par accepter une soirée pizza après avoir esquiver les dernières invitations et l’avoir tenu à l’écart pendant six mois, elle pouvait bien faire ça. Elle raccrocha deux minutes plus tard. Nouvelle manifestation d’un entourage qui n’avait aucune intention de se laisser mettre à l’écart et de la laisser renouer avec son isolement. C’était injuste pour Kate. Il y aurait toujours cette barrière et ce non-dit, ce traumatisme qui faisait intégralement parti d’elle, de sa personnalité. « J’ai vraiment pas envie d’en parler, mais je pense que t’as le droit de savoir pourquoi t’as été mise à l’écart pendant autant de temps, de comprendre pourquoi je suis une épave. » Elle se leva et contourna son bureau. « Y’a un tas de truc que tu sais pas sur moi, j’sais pas si c’était pour te protéger, ou me protéger, que j’dis rien et que je me contente des banalités. Quasiment tout ce putain d’immeuble est au courant et pas toi. » Pendant qu’elle parlait elle fouillait dans un tiroir, extirpant des paquets de cigarettes vides et des papiers d’une utilité discutale, au fin fond elle trouve ce qu’elle chercha, une vieille PHOTO froissée. Côte à côte avec Carol Danvers, arborant un sourire crispé et son costume immonde. Elle conservait peu de photo de cette époque, juste assez pour se rappeler que c’était une connerie. Jessica la tendit à Kate. « J’ai été un moment membre de leur team, très court. J’ai rencontré un ennemi puissant, un homme méprisable, il m’a réduit en miette, il a salit chaque parcelle de ce que j’étais…. Je pensais qu’il était mort et il l’était pas. » Elle essayait de paraitre détachée, mais son ton trahissait sa rancœur. « SI t’as des questions, on fait ça maintenant, parce que j’veux enterrer tout ça. » Et ensuite l’oublier dans une rasade du pire whisky qu’aura la superette du bout de la rue.
Malcolm meuble pendant ce temps la conversation, son optimisme et sa gentillesse naturelle, en font un interlocuteur chaleureux. Après les salutations d’usages avec Kate dont il sert la main un peu étonné par son formalisme. Il part peu de temps après non sans un sourire satisfait en voyant que la première chose qu’ingurgite Jessica aujourd’hui, n’est pas de l’alcool. Jessica ne sait pas trop quel rôle Malcolm joue, il l’aide oui, mais pas pour ses enquêtes. Il a déjà failli devenir un dommage collatéral, elle préfère éviter que cela se reproduise. « Il m’aide.»
Ce matin-là, quand elle s’était réveillée, elle aurait aimé que le soleil brille au-dessus de Hell’s Kitchen, que son addiction, l’insidieuse culpabilité qui ruinait son estime et ses traumatismes aient disparut. Ca n’est pas le cas. L’unique différence c’est qu’elle reconnait, sans jamais l’évoquer à voix haute : c’est qu’elle a besoin d’aide.
Pourtant elle continue d’exclure de sa vie, une personne qu’elle vient de présenter comme une amie. Mais expliquer les derniers événements lui semblent être bien au-dessus de ses forces. Elle se dit que c’est pour la protéger, pour éviter de répandre ses propres malheurs, comme s’ils étaient un tissu adipeux qui allait se coller contre les gens, les salir à leur tour. Transmettre son histoire, c’était comme transmettre une maladie. « Malcolm a pris des coups pour moi, il a assez morflé pour que n’importe quel humain normal ait envie de prendre ses jambes à son coup, mais il reste et il m’aide. »
Le téléphone sonna extirpant Jessica de son demi aveu, « Alias investigation » annonça t-elle mécaniquement en décrochant. C’était Trish, Jessica roula des yeux, son amie l’appelait tous les jours. A croire qu’elle allait tomber en miette, était-elle en si mauvais état ? Elle finit par accepter une soirée pizza après avoir esquiver les dernières invitations et l’avoir tenu à l’écart pendant six mois, elle pouvait bien faire ça. Elle raccrocha deux minutes plus tard. Nouvelle manifestation d’un entourage qui n’avait aucune intention de se laisser mettre à l’écart et de la laisser renouer avec son isolement. C’était injuste pour Kate. Il y aurait toujours cette barrière et ce non-dit, ce traumatisme qui faisait intégralement parti d’elle, de sa personnalité. « J’ai vraiment pas envie d’en parler, mais je pense que t’as le droit de savoir pourquoi t’as été mise à l’écart pendant autant de temps, de comprendre pourquoi je suis une épave. » Elle se leva et contourna son bureau. « Y’a un tas de truc que tu sais pas sur moi, j’sais pas si c’était pour te protéger, ou me protéger, que j’dis rien et que je me contente des banalités. Quasiment tout ce putain d’immeuble est au courant et pas toi. » Pendant qu’elle parlait elle fouillait dans un tiroir, extirpant des paquets de cigarettes vides et des papiers d’une utilité discutale, au fin fond elle trouve ce qu’elle chercha, une vieille PHOTO froissée. Côte à côte avec Carol Danvers, arborant un sourire crispé et son costume immonde. Elle conservait peu de photo de cette époque, juste assez pour se rappeler que c’était une connerie. Jessica la tendit à Kate. « J’ai été un moment membre de leur team, très court. J’ai rencontré un ennemi puissant, un homme méprisable, il m’a réduit en miette, il a salit chaque parcelle de ce que j’étais…. Je pensais qu’il était mort et il l’était pas. » Elle essayait de paraitre détachée, mais son ton trahissait sa rancœur. « SI t’as des questions, on fait ça maintenant, parce que j’veux enterrer tout ça. » Et ensuite l’oublier dans une rasade du pire whisky qu’aura la superette du bout de la rue.
Jessica C. Jones- Messages : 22
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Katherine E. Bishop Ven 18 Déc 2015 - 1:11
C’est dommage pour Carol et surtout pour ces victimes dans l’avenir. Quand on prend de lire son histoire, elle n’est pas très différente des autres. Elle n’est pas différente de Samantha Parrington, les deux vengeresses ont choisit la carrière militaire et celle du SHIELD peu après. Les deux ont des pouvoirs venant d’accident cosmique et les deux servent maintenant cette équipe. Si on prend le temps de lire le vécu des deux femmes, on retrouve même parfois des discours similaires. Samantha est heureuse de son passé dans l’Armée Américaine, comme Carol peut l’être, mais le plus grand problème de Captain Marvel, c’est l’excès. Elle utilise à outrance tout son passé pour justifier son message et sa moralité. Elle est devenue une grande favoris des milieux politiques républicains, financiers ou encore médiatiques, mais cela ne prouve qu’une seule chose.
Contrairement à Parrington, elle est beaucoup trop ancrée dans ses valeurs pour comprendre l’autre. Cela ne m’étonnerait même pas d’entendre que Jess a eu des grands problèmes quand elle a essayé de porter son costume étrange pour être dans les Vengeurs. Je ne connais pas ce chapitre dans sa vie, mais je peux comprendre la logique pour deux raisons. Avoir Carol comme mentor et être obliger de porter un costume trop bizarre ne devraient pas vraiment aider la cause de Jess dans les Vengeurs vu son tempérament.
Malcolm accepte de me serrer la main, au moins, Jess est accompagnée par quelques amis aujourd’hui. On attend le départ de son voisin pour que Jess m’indique quelques mots autour du ancien junkie. Mon amie me confirme rapidement que Malcolm l’a aidé, sans vraiment préciser sur quel aide. Reprenant son souffle, elle me donne quelques détails sur Malcolm sur les derniers mois. Il avait pris des coups pour elle, des coups que peu de personnes pourraient supporter aujourd’hui et ils avaient décidé tout de même de rester.
Je ressens un peu de difficultés dans ses derniers propos. Peut-être qu’elle le ressent, mais je baisse mes yeux une petite seconde avant de revenir vers. Je sais qu’elle ne me fait pas de reproches, mais je m’en fais d’avoir rester aussi éloigner d’elle. Je peux comprendre le sentiment de mettre les personnes proches de nous en sécurité, mais mon problème est surtout dans mon manque de répondant et peut-être ma timidité de l’approcher. Je ne suis pas déçue par Jess, je suis surtout déçue de mon manque d’initiative pour aller la voir.
« Je suis contente que tu as reçu de l’aide devant ce problème. Parfois, c’est un voisin qui peut nous aider à résoudre nos problèmes personnels. Il faut juste trouver le bon voisin et il va rapidement devenir un ami après. »
Ce ne sont pas les paroles les plus convaincantes pour Jess, et j’ai un peu de mal à répondre à sa remarque, mais je ne voulais pas tourner le sujet vers moi. Je m’en veux plus de ne pas être intervenu malgré les conseils de Luke. Peut-être que Jess l’aurait mal perçue, mais pour les efforts qu’elle a fait pour moi, cela aurait été normal. Je dois développer mes habitudes de prendre des initiatives par moi-même. Le téléphone sonne pour éviter de nous laisser dans un moment de silence que je veux éviter par mes réflexions.
Commençant par la formalité en répondant à cet appel, les dialogues deviennent plus familiers entre temps. Je ne connais pas personnellement Trish, mais elle a toujours été considérée comme sa propre sœur selon les fragments que je pouvais me souvenir de nos discussions dans le passé. Jess, comme plusieurs méta-humains, a eu une histoire assez particulière. Pour des raisons plus personnelles, je n’ai jamais cherché vraiment à en connaître plus. Jessica n’a jamais eu tendances de dévoiler toute sa vie et malgré qu’elle m’a beaucoup aidé, je ne cherchais jamais à en savoir le plus sur sa vie par le principe de respect.
Après de lourdes négociations avec sa sœur, Jess raccroche. Elle décide finalement de me dire quelques mots sur ce qu’il s’est passé. Elle m’avoue dans les premiers temps que presque tout l’appartement était au courant. Jess bouge un peu de sa place pour me parler. Elle fouille dans son tiroir pour me passer une photo froissée de son passé. Elle a fait partie des Vengeurs durant une petite période avant de rencontrer un terrible ennemi. Son costume était un peu bizarre quand même, je l’enregistre dans ma mémoire pour lui faire des blagues durant des situations moins dramatiques.
J’ai peut-être plein de questions en têtes, mais vu comment elle prend cela, je n’ai pas vraiment envie de pousser le couteau dans la plaie. Si on me pose trop de questions sur mon point sensible, c’est dans la certitude que je vais me sentir très mal, alors je ne veux pas faire pareille pour une amie comme Jess.
« Euh… tu sais, je ne veux pas rentrer dans les détails si tu as vraiment de la difficulté en parler et que tu veux tourner la page. On me l’a fait beaucoup trop avec les psychologues durant mon adolescence. Je préfère juste savoir que tu vas bien aujourd’hui et que cet ennemi, que tu as rencontré, ne soit plus un problème. »
Je peux bien me poser plein de questions sur cet ennemi ou sur son court passage dans les Vengeurs, mais je n’ai pas envie de l’embêter avec son passé. Si elle a été capable de tourner la page de tout ce qu’elle a eu comme ennuis, c’est bien plus important que ma curiosité. J’essaie de déposer un sourire vers la fin de ma phrase. Il est vraiment le temps que je change de sujets pour éviter de rentrer dans ce qui peut être toujours douloureux chez Jess.
« Je pourrais te faire visiter un jour la nouvelle base de la Young Force. Depuis l’attaque de Carol, on a été obligé de changer notre base vu les dommages. Certains membres sont assez bizarres, mais je ne pense pas qu’ils mordent. »
Contrairement à Parrington, elle est beaucoup trop ancrée dans ses valeurs pour comprendre l’autre. Cela ne m’étonnerait même pas d’entendre que Jess a eu des grands problèmes quand elle a essayé de porter son costume étrange pour être dans les Vengeurs. Je ne connais pas ce chapitre dans sa vie, mais je peux comprendre la logique pour deux raisons. Avoir Carol comme mentor et être obliger de porter un costume trop bizarre ne devraient pas vraiment aider la cause de Jess dans les Vengeurs vu son tempérament.
Malcolm accepte de me serrer la main, au moins, Jess est accompagnée par quelques amis aujourd’hui. On attend le départ de son voisin pour que Jess m’indique quelques mots autour du ancien junkie. Mon amie me confirme rapidement que Malcolm l’a aidé, sans vraiment préciser sur quel aide. Reprenant son souffle, elle me donne quelques détails sur Malcolm sur les derniers mois. Il avait pris des coups pour elle, des coups que peu de personnes pourraient supporter aujourd’hui et ils avaient décidé tout de même de rester.
Je ressens un peu de difficultés dans ses derniers propos. Peut-être qu’elle le ressent, mais je baisse mes yeux une petite seconde avant de revenir vers. Je sais qu’elle ne me fait pas de reproches, mais je m’en fais d’avoir rester aussi éloigner d’elle. Je peux comprendre le sentiment de mettre les personnes proches de nous en sécurité, mais mon problème est surtout dans mon manque de répondant et peut-être ma timidité de l’approcher. Je ne suis pas déçue par Jess, je suis surtout déçue de mon manque d’initiative pour aller la voir.
« Je suis contente que tu as reçu de l’aide devant ce problème. Parfois, c’est un voisin qui peut nous aider à résoudre nos problèmes personnels. Il faut juste trouver le bon voisin et il va rapidement devenir un ami après. »
Ce ne sont pas les paroles les plus convaincantes pour Jess, et j’ai un peu de mal à répondre à sa remarque, mais je ne voulais pas tourner le sujet vers moi. Je m’en veux plus de ne pas être intervenu malgré les conseils de Luke. Peut-être que Jess l’aurait mal perçue, mais pour les efforts qu’elle a fait pour moi, cela aurait été normal. Je dois développer mes habitudes de prendre des initiatives par moi-même. Le téléphone sonne pour éviter de nous laisser dans un moment de silence que je veux éviter par mes réflexions.
Commençant par la formalité en répondant à cet appel, les dialogues deviennent plus familiers entre temps. Je ne connais pas personnellement Trish, mais elle a toujours été considérée comme sa propre sœur selon les fragments que je pouvais me souvenir de nos discussions dans le passé. Jess, comme plusieurs méta-humains, a eu une histoire assez particulière. Pour des raisons plus personnelles, je n’ai jamais cherché vraiment à en connaître plus. Jessica n’a jamais eu tendances de dévoiler toute sa vie et malgré qu’elle m’a beaucoup aidé, je ne cherchais jamais à en savoir le plus sur sa vie par le principe de respect.
Après de lourdes négociations avec sa sœur, Jess raccroche. Elle décide finalement de me dire quelques mots sur ce qu’il s’est passé. Elle m’avoue dans les premiers temps que presque tout l’appartement était au courant. Jess bouge un peu de sa place pour me parler. Elle fouille dans son tiroir pour me passer une photo froissée de son passé. Elle a fait partie des Vengeurs durant une petite période avant de rencontrer un terrible ennemi. Son costume était un peu bizarre quand même, je l’enregistre dans ma mémoire pour lui faire des blagues durant des situations moins dramatiques.
J’ai peut-être plein de questions en têtes, mais vu comment elle prend cela, je n’ai pas vraiment envie de pousser le couteau dans la plaie. Si on me pose trop de questions sur mon point sensible, c’est dans la certitude que je vais me sentir très mal, alors je ne veux pas faire pareille pour une amie comme Jess.
« Euh… tu sais, je ne veux pas rentrer dans les détails si tu as vraiment de la difficulté en parler et que tu veux tourner la page. On me l’a fait beaucoup trop avec les psychologues durant mon adolescence. Je préfère juste savoir que tu vas bien aujourd’hui et que cet ennemi, que tu as rencontré, ne soit plus un problème. »
Je peux bien me poser plein de questions sur cet ennemi ou sur son court passage dans les Vengeurs, mais je n’ai pas envie de l’embêter avec son passé. Si elle a été capable de tourner la page de tout ce qu’elle a eu comme ennuis, c’est bien plus important que ma curiosité. J’essaie de déposer un sourire vers la fin de ma phrase. Il est vraiment le temps que je change de sujets pour éviter de rentrer dans ce qui peut être toujours douloureux chez Jess.
« Je pourrais te faire visiter un jour la nouvelle base de la Young Force. Depuis l’attaque de Carol, on a été obligé de changer notre base vu les dommages. Certains membres sont assez bizarres, mais je ne pense pas qu’ils mordent. »
Katherine E. Bishop- Messages : 795
Date d'inscription : 14/01/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Jessica C. Jones Mar 16 Fév 2016 - 14:35
Kate et Jessica
Don't forget your friends.
Rencontrer la Young Force, le rêve d’une vie. Me retrouver entourer d’une bande survoltée, idoles des jeunes et produits dérivés sur patte. J’suis pas certaine de pouvoir y survivre, pas sans alcool. Pas sans beaucoup d’alcool. « Pourquoi pas, ouais. » Au moins, ils sont contre Carol, c’est un bon point. Cette tarée les a attaqué, elle ne fait même plus la différence entre des alliés et des ennemis. Un jour, elle finira par devenir l’ennemi, pire que tous les autres réunis. C’est pas le nucléaire qu’il faut craindre c’est cette blonde en spandex : Captain Trump.
Je refourguais la photo au fond de mon tiroir, en me demandant pourquoi je ne me contentais pas de la brûler, Kate était assez discrète pour rien vouloir savoir. J’voulais pas lui cacher plus de chose, mais parler du passé, surtout du miens à tendance à me coller la nausée. Faire table rase et passer à autre chose, c’était le mieux. C’est dur quand on a pris l’habitude de ressasser.
Le bruits de nombreux pas m’interpella, je me tendis, c’était pas habituel, des bruits de chaines, des pas lourds. Prise d’une impulsion je poussais Kate sur le côté, au moment même où une salve de balles déchira le carton qui recouvrait ma vitre cassée. Trois gros barraqués, type punk a chien sous stéroïdes déboulèrent dans le bureau. Je me jettais sur celui qui tenait l’arme, il avait pas appréhendé que je sois si prompte. Je lui arrachais des mains, au moment ou un autre envoya une lourde batte de baseball directement dans mes côtes que je senti craquer.
C’était un putain de cauchemars. Je lui arrachais la batte des mains, mon bras libre enroulé autour de mes côtes douloureuses. Je guettais leurs mouvements, levant ma nouvelle arme, dès que l’un approchait.
Qui était ces types, d’où ils venaient pourquoi. J’avais pas le droit à une pause karmique techniquement ? Je balançais l’arme par la fenêtre, au moins ils ne la récupéreront pas. Je n’avais même pas eut le temps de regarder si Kate allait bien, j’espérais que oui. Du coin de l’œil je vis Malcolm sortir de son appartement, il tenait un petit pistolet. J’assomais l’un en l’envoyant la tête la première dans un mur qu’il traversa. « Putain mais vous êtes qui, qu’est-ce que vous voulez ? ». Franchement j’avais aucune envie d’avoir de réponse à cette question, j’espérais que ça soit trois idiots, des idiots gratuits, mais j’avais une sale intuition, le genre qui me glaçait le sang. Le genre induite par le foulard d’un mauve écoeurant noué au bras du type qui avait la Kalach. Non, putain, non, il était mort ! J’ai senti ses os craquer, je les ai sentis sous mes doigts au moment où je l’ai tué. Cette fois il était mort !
Comme la dernière fois. Comme la dernière fois putain, comme la fois, ou il était passé sous un bus, il pouvait pas survivre. Je poussais un hurlement de rage, un coup de feu résonna, Malcolm avait tiré, le genou d’un des types avait explosé. « Barre-toi Malcolm ! »Est-ce qu’ils étaient que trois, ou est-ce que c’était la première vague ? Je flottais encore dans un déni teinté d’un besoin d’extérioriser une rage que n’amenuisaient plus les effets de l’alcool.
Je refourguais la photo au fond de mon tiroir, en me demandant pourquoi je ne me contentais pas de la brûler, Kate était assez discrète pour rien vouloir savoir. J’voulais pas lui cacher plus de chose, mais parler du passé, surtout du miens à tendance à me coller la nausée. Faire table rase et passer à autre chose, c’était le mieux. C’est dur quand on a pris l’habitude de ressasser.
Le bruits de nombreux pas m’interpella, je me tendis, c’était pas habituel, des bruits de chaines, des pas lourds. Prise d’une impulsion je poussais Kate sur le côté, au moment même où une salve de balles déchira le carton qui recouvrait ma vitre cassée. Trois gros barraqués, type punk a chien sous stéroïdes déboulèrent dans le bureau. Je me jettais sur celui qui tenait l’arme, il avait pas appréhendé que je sois si prompte. Je lui arrachais des mains, au moment ou un autre envoya une lourde batte de baseball directement dans mes côtes que je senti craquer.
C’était un putain de cauchemars. Je lui arrachais la batte des mains, mon bras libre enroulé autour de mes côtes douloureuses. Je guettais leurs mouvements, levant ma nouvelle arme, dès que l’un approchait.
Qui était ces types, d’où ils venaient pourquoi. J’avais pas le droit à une pause karmique techniquement ? Je balançais l’arme par la fenêtre, au moins ils ne la récupéreront pas. Je n’avais même pas eut le temps de regarder si Kate allait bien, j’espérais que oui. Du coin de l’œil je vis Malcolm sortir de son appartement, il tenait un petit pistolet. J’assomais l’un en l’envoyant la tête la première dans un mur qu’il traversa. « Putain mais vous êtes qui, qu’est-ce que vous voulez ? ». Franchement j’avais aucune envie d’avoir de réponse à cette question, j’espérais que ça soit trois idiots, des idiots gratuits, mais j’avais une sale intuition, le genre qui me glaçait le sang. Le genre induite par le foulard d’un mauve écoeurant noué au bras du type qui avait la Kalach. Non, putain, non, il était mort ! J’ai senti ses os craquer, je les ai sentis sous mes doigts au moment où je l’ai tué. Cette fois il était mort !
Comme la dernière fois. Comme la dernière fois putain, comme la fois, ou il était passé sous un bus, il pouvait pas survivre. Je poussais un hurlement de rage, un coup de feu résonna, Malcolm avait tiré, le genou d’un des types avait explosé. « Barre-toi Malcolm ! »Est-ce qu’ils étaient que trois, ou est-ce que c’était la première vague ? Je flottais encore dans un déni teinté d’un besoin d’extérioriser une rage que n’amenuisaient plus les effets de l’alcool.
Jessica C. Jones- Messages : 22
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: La vie normale (ft Kate)
Katherine E. Bishop Mer 23 Mar 2016 - 20:46
Je sais qu’il faut minimalement une préparation mentale adéquate pour faire un tour dans notre groupe. Idolâtré par les jeunes, détestés par les vieux qui lisent souvent trop les journaux à l’effigie des Vengeurs et parfois dans l’indifférence pour plusieurs autres, il existe une grande différence entre les produits vendus à travers la planète par notre popularité du moment et la réalité. Elle est très difficile à percevoir, parce que comme dans les Vengeurs, on a le visage de la réalité et on a le visage du marketing. Le marketing est un peu pareil partout, mais notre différence est plutôt dans deux réalités différentes. Pendant que les Vengeurs camouflent leurs frictions par la vente de produit dérivé de toutes sortes, la Young Force cache quelque chose de bien plus sombre par son marketing.
On cache les secrets de notre alcoolisme (Jessica ne va pas avoir besoin de son alcool, alors…), on cache aussi nos animaux-mutants-monstres qui ont décidé d’envahir notre base depuis qu’on habite dans un manoir dimensionnelle et finalement, on cache le plus gros secret de tous les temps : La Young Force ne représente pas uniquement l’élite de la jeunesse, mais aussi les gros boulets qui sont capables de s’entre-tuer en jouant à un jeu de table. Je ne sais pas si Jessica Jones est prête à affronter une telle réalité, Hell’s Kitschen n’est peut-être pas le meilleur coin de la planète pour vivre, mais rien nous prépare réellement à la Young Force.
Je lui laisse un sourire à sa réponse, je serai plutôt heureuse de lui présenter la place. Avec l’implication de Corey et de Raven, la nouvelle base de la Young Force est vraiment magique que cela soit par son esprit ou par ses exceptionnalités dans les règles physiques ennuyantes établies dans notre réalité. Cela ajoute du mystère à la vie et c’est toujours plus plaisant de découvrir cette magie que de se morfondre chez soi, dans son appartement où la vitre de la porte d’entrée est toujours brisée.
Pour l’attaque de Carol, bien que cela illustre un certain fanatisme de sa part, elle a au moins unis notre groupe contre son extrémisme. Je pense que c’est la première fois le groupe se réunissait vraiment pour combattre un ennemi en commun et malgré qu’elle représente les Vengeurs, donc une légitimité légale aux États-Unis, elle a eu beaucoup plus de conséquences juridiques que nous, prouvant que nous pouvions être accepté tant dans l’idée des policiers, mais aussi par le gouvernement, les citoyens, les médias et surtout par les animaux qui parlent.
Quand je voulais à tout prix éviter de parler de son passé pour lui éviter de revivre des expériences désagréables de sa vie, c’est son passé qui resurgit vers nous. J’avais bien entendu les pas, mais je ne croyais pas qu’ils se voulaient en direction de son fameux appartement. Je suis surprise du coup, je me fais quand même envoyer valser par Jessica sur le coté pendant qu’un premier coup de feu se faisait entendre. Peut-être que j’aurai dût finalement demander plus de questions sur son passé, les trois bourrins de salon ont rentré dans le local pendant que je me relevais doucement.
Jessica retire rapidement l’arme à feu du combat pour envoyer l’homme rencontré le mur. Je vois quand même le coup puissant du coup de batte sur Jessica d’un deuxième homme, je dois vraiment réagir. Un nouveau coup de feu se fait entendre, selon les paroles de Jess, c’est son ami qui essaie de la défendre. Mon amie semblait quand même complètement déstabilisée à cette situation, alors j’essaie la technique la plus simple : Foncer sur les deux adversaires restants pour essayer d’aider. Ils sont un peu plus musclés que moi, alors je dois aller un peu plus technique que prévu. Je donne un coup de pied précis sur le genou douloureux du blessé pour que celui-ci tombe au sol pendant que j’essaie de manœuvrer pour me jeter sur le troisième homme encore indemne. J’avais l’idée de serrer mes bras autour de son cou pour l’endormir. Il me repousse assez facilement en me voyant venir, mais il me faut qu’un petit temps pour que j’arrive à son dos afin de l’immobiliser au sol et ensuite de l’endormir de cette manière.
On cache les secrets de notre alcoolisme (Jessica ne va pas avoir besoin de son alcool, alors…), on cache aussi nos animaux-mutants-monstres qui ont décidé d’envahir notre base depuis qu’on habite dans un manoir dimensionnelle et finalement, on cache le plus gros secret de tous les temps : La Young Force ne représente pas uniquement l’élite de la jeunesse, mais aussi les gros boulets qui sont capables de s’entre-tuer en jouant à un jeu de table. Je ne sais pas si Jessica Jones est prête à affronter une telle réalité, Hell’s Kitschen n’est peut-être pas le meilleur coin de la planète pour vivre, mais rien nous prépare réellement à la Young Force.
Je lui laisse un sourire à sa réponse, je serai plutôt heureuse de lui présenter la place. Avec l’implication de Corey et de Raven, la nouvelle base de la Young Force est vraiment magique que cela soit par son esprit ou par ses exceptionnalités dans les règles physiques ennuyantes établies dans notre réalité. Cela ajoute du mystère à la vie et c’est toujours plus plaisant de découvrir cette magie que de se morfondre chez soi, dans son appartement où la vitre de la porte d’entrée est toujours brisée.
Pour l’attaque de Carol, bien que cela illustre un certain fanatisme de sa part, elle a au moins unis notre groupe contre son extrémisme. Je pense que c’est la première fois le groupe se réunissait vraiment pour combattre un ennemi en commun et malgré qu’elle représente les Vengeurs, donc une légitimité légale aux États-Unis, elle a eu beaucoup plus de conséquences juridiques que nous, prouvant que nous pouvions être accepté tant dans l’idée des policiers, mais aussi par le gouvernement, les citoyens, les médias et surtout par les animaux qui parlent.
Quand je voulais à tout prix éviter de parler de son passé pour lui éviter de revivre des expériences désagréables de sa vie, c’est son passé qui resurgit vers nous. J’avais bien entendu les pas, mais je ne croyais pas qu’ils se voulaient en direction de son fameux appartement. Je suis surprise du coup, je me fais quand même envoyer valser par Jessica sur le coté pendant qu’un premier coup de feu se faisait entendre. Peut-être que j’aurai dût finalement demander plus de questions sur son passé, les trois bourrins de salon ont rentré dans le local pendant que je me relevais doucement.
Jessica retire rapidement l’arme à feu du combat pour envoyer l’homme rencontré le mur. Je vois quand même le coup puissant du coup de batte sur Jessica d’un deuxième homme, je dois vraiment réagir. Un nouveau coup de feu se fait entendre, selon les paroles de Jess, c’est son ami qui essaie de la défendre. Mon amie semblait quand même complètement déstabilisée à cette situation, alors j’essaie la technique la plus simple : Foncer sur les deux adversaires restants pour essayer d’aider. Ils sont un peu plus musclés que moi, alors je dois aller un peu plus technique que prévu. Je donne un coup de pied précis sur le genou douloureux du blessé pour que celui-ci tombe au sol pendant que j’essaie de manœuvrer pour me jeter sur le troisième homme encore indemne. J’avais l’idée de serrer mes bras autour de son cou pour l’endormir. Il me repousse assez facilement en me voyant venir, mais il me faut qu’un petit temps pour que j’arrive à son dos afin de l’immobiliser au sol et ensuite de l’endormir de cette manière.
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