The Heroic Age
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Maël Delenikas [1oo%]

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Message  Maël Delenikas Mer 29 Oct 2014 - 14:07


 
Maël Léandre Delenikas
"Écoute ces pulsions qui bouillonnent en toi, les entends-tu hurler ton inhumanité ?"

 

 
Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Maël Delenikas ! Mais on me connait aussi sous le nom de Pan Je suis née le 13 Juin 1987 à Athènes. J’ai 27 ans. Un petit secret pour la route ; je suis mutant et sévissant où me mène le vent. On me dit souvent que je ressemble à Jack Falahee. Je fais partie du groupe de la confrérie.


 
pouvoirs
Inhumain ? Certainement.
Tu connais ce sentiment désagréable quand la raison te chuchote de taire tes pulsions ? Quand ton sur-moi les enferme d'un mouvement sec et violent alors qu'elles grattent, là juste au fond de toi. Ces choses que tu crèves d'envie de faire, celles que tu t'interdis parce qu'elles signeraient l'arrêt de ton humanité ? Tu connais ces pulsions bestiales qui grouillent en toi ? La violence, la rage, le sexe, la faim, l'instinct ? Toutes ces choses qu'on t'as toujours appris à emprisonner car elles te séparent de l'animalité, car elles font de toi un être humain doué de raison ? Tu les sens grouiller en toi toutes ces pulsions hein ? Elles sont là, elles hurlent pour sortir de leurs prison. Une prison qu'il suffit d'éclater pour laisser la bestialité émerger, une prison que j'éclate d'un simple souhait, car tel est ma mutation. Exacerber les pulsions jusqu'à ce qu'elles anéantissent la raison.

Tu le vois lui là-bas ? Depuis tout à l'heure il t'agace de ce 'clip" incessant en jouant avec son stylo bille, oui tu le vois n'est-ce pas ? Tu le sens hein, tu le sens ? Oui c'est ça lèves-toi et hurle ta rage, adonnes-toi à tes pulsions, non encore un peu, juste encore un peu fracasse sa tête contre l'écran, oui c'est ça juste un petit peu plus de sang.

Et toi là tu le sens ce désir alors qu'il passe ? Si tu n'écoutais que ton envie tu lui sauterais dessus et lui arracherait ses vêtements avec les dents, juste pour satisfaire ce besoin de baise que ton corps appel et que tu te forces à réfréner. Oui c'est ça avances-toi, pourquoi tu ne les écoutais pas déjà ? Oui c'est ça jette-toi sur lui comme une furie, oui c'est ça frappe-le alors qu'il cri, mord sa chaire et fais tomber les habits, oui c'est ça t'en as besoin alors que de force tu le fais pénétrer en toi. Oui c'est ça sur le trottoir grogne et jouis, il n'y a rien de plus naturel que ça.  

Tu as faim. Oh oui tu as faim, ton ventre cri famine et tu voudrais fracasser la vitrine de cette pâtisserie. Qu'est-ce qui t'en empêche déjà ?  Pourquoi on t'empêche de manger ? Pourquoi on ne veut pas que tu te jettes sur tout ces gâteaux pour les dévorer ? Oui c'est ça, lui là il convient bien, oui c'est ça balance-le pour que la vitrine se brise en mille éclats. Oui c'est ça empiffre toi, comble cette faim qui bouillonne en toi, oui c'est ça fracasse celui qui veut t'en empêcher, oui c'est ça frappe jusqu'à qu'il ne puisse plus bouger, enfin tu pourras manger.

Oubliez la raison, oubliez cette morale qui enferme vos pulsions.
Adonnez-vous à vos instincts premiers.
Aujourd'hui le droit vous est accordé,
de perde toute humanité.
Embrassez votre bestialité.

***


Parfois je le fais pas exprès, il suffit qu'on m'énerve un chouilla, qu'on m'excite un peu trop et tout part en vrille autour de moi. D'un coup les gens se jettent les uns sur les autres, jusqu'à se crever ou se baiser, voir même jusqu'à se bouffer. Dans ces moments là c'est comme si ils étaient tous des bêtes sans aucune trace d'humanité, trop de pulsions trop longtemps refoulées, et l'anarchie s'abat en une fraction de seconde, et ça c'est comme si ça me renforçait, comme si je me nourrissais de toute cette bestialité. Et quand je suis rassasié alors la mienne peut totalement s’exercer, mon corps craque dans un frisson malsain, ma chaire éclate dans une douleur d'extase jusqu'à faire jaillir la bête en moi. La panthère s'empare de mon être dans un déferlement d'instincts.
Parce qu'après tout ils sont toujours là, ces instincts premiers, comme si chez moi tout avait été raté, comme si j'avais rien pour les emprisonner, alors la panthère elle reste là, parfois elle s'échappe à moitié, laisse paraître le bout d'une griffe ou d'une dent aiguisée, mais quand vous la nourrissez, là elle peut pleinement s'exprimer.

Et quand la bestialité atteint des sommets il arrive que la votre vous rende prisonnier, que vous deveniez jusqu'à ce qu'elle est finit de se déchainer cet animal que vous avez toujours refoulé.

Cochon, serpent ou bien lama.
Ton caractère seul dictera, quelle bête sommeille au fond de toi.
caractère
Maël c'est comme un tourbillon, un orage qu'un rien peut faire éclater. Maël c'est comme si on l'avait raté, un truc défectueux qu'on pourra jamais réparer, un truc qui s'amuse du désastre qu'il est, de celui qu'il peut provoquer. Maël c'est cette vague qui vous engloutie quand il éclate, parce qu'il annihile tout sur son passage. Maël c'est l'incontrôlable, l'indomptable alors qu'il ne connait aucune limite, du bien, du mal. Mais au fond Maël il sait, alors Maël il veut oublier, Maël il embrasse ce qu'il est pour pas crever, Maël au fond il voudrait être accepté, avoir une vie bien rangée, mais par sa mutation tout lui a été refusé. Maël c'est cette haine exacerbée, ce mal être qu'on change en rage, cette jalousie d’autrui, ce besoin compulsif qu'on l'aime à n'importe quel prix, et quand on le rejette Maël il devient ingérable, se change en diable. Maël c'est les paradoxes, Maël c'est cette force indomptable, cette expression de la liberté, parce que Maël il aime à croire que c'est le seul cadeau que sa condition lui a donné, l'expression inconsidérée de la liberté. Maël c'est cette arrogance dans un regard, ce mépris dans un sourire, cette sensualité dans un touché. Maël c'est cette apparence décharnée, un besoin constant de planer. Maël c'est ce jouet cassé que malgré tout l'or du monde on ne peut pas se résigner à jeter, parce que Maël des fois il a ce sourire mutin des enfants, il a cette petite fossette malicieuse du gamin heureux, cette petite phrase touchante de celui qui n'a pas compris, de celui pour qui vous vous compliquez la vie. Maël c'est l'amour inconditionnel et la haine irrationnelle, le besoin des autres et leur refus, la générosité et le mépris, celui qui peut tout donné comme tout prendre au grès de ses envies, de ses pulsions exacerbées. Maël c'est l'humaine inhumanité.
Maël c'est ce vent apaisant devenant tornade pour vous emporter.

 
on ne change pas le passé
Au fond t'as une histoire des plus banales. Rien de bien transcendant, rien de bien sanglant. T'étais qu'un gamin comme tout les autres, t'avais une mère aimante et un père qui s'était barré depuis bien longtemps, comme pleins d'enfants. T'es né à Athènes, t'aimes bien Athènes, t'aimais Athènes.
Tu y as fait tes classes, ni bon, ni mauvais, simplement moyen parce que comme le commun t'étais pas du genre à te fouler, fallait être ni trop bon, ni trop mauvais, moyen c'était parfait.
T'aimais pas spécialement l'école, tu la détestais pas non plus.
T'étais ni populaire, ni victime, une socialisation normal pour un garçon banal.
Mais parfois t'avais ces crises étranges qui éclataient, comme si tout autour de toi se flouter, souvent c'était parce que tu t'énervais, parce que t'étais triste ou tu crevais d'envie de faire quelque chose qu'on te refusait. Parce que t'as toujours été du genre capricieux il parait.
Dans ces moments là on te reconnaissait pas, tu devenais violent, insolent, presque méchant, comme si d'un coup tu voulais tout casser, pour les psy c'était rien de bien compliqué, juste des troubles de comportement plus ou moins commun chez les enfants, et quand la crise passé tout redevenait comme avant.
T'étais qu'un gamin capricieux à qui il fallait apprendre à accepter le "non".

Puis ta grandis, le temps à continué de passé et ta vie normale a continué, les crises devenaient plus fréquentes, mais moins violentes. Jusqu'à tes quinze ans. Ce jour où t'as découvert la sexualité, que les attirances ont commencé, ce jour où tu t'étais rendu compte que les deux sexes faisaient se dresser cette chose entre tes jambes, t'excitais. La fleur de l'adolescence, la découverte des plaisirs interdits. T'es même tombé amoureux, de ces amours de collégiens attardés qui n'ont pas conscience de la réalité, comme tous tu voulais pas l'avouer, surtout qu'au fond t'avais bien conscience que un garçon et un garçon c'était pas banal, c'était pas normal. Alors en secret tu faisais ces trucs de gosse attardé, tu observais et tu fantasmais. Jusqu'à ce jour où tout à vrillé, c'était après le sport, comme d'habitude le passage aux vestiaires et aux douches étaient demandé, étrangement t'étais bon en sport, même si t'aimais pas spécialement ça il parait que t'avais des réflexes étonnants, une agilité surprenante, capable d'anticiper l'action en des mouvements vifs. Rien de bien transcendant, mais ce jour là t'as pas eut le choix, tu t'étais trop donné, surement pour tenter d'impressionner celui là que tu pouvais pas t'empêcher de te regarder, alors pour une fois t'as pris cette douche que tu esquivais, parce que tu te sentais dégueulasse et collant. Dans les douches y'avait cette ambiance étrange, les corps se dénudant dans la vapeur des eaux fumantes, et en toi tu sentais que plus ça allait plus ça le faisait pas, plus tu sentais l'excitation monter, le truc entre tes jambes commençant à se dresser. Et à ce moment prédis, à ce moment particulier c'est comme si tout avait éclaté, t'as pas compris comment y'a un point qu'est partie se percuter sur un visage, un hurlement qu'a retentit alors qu'un autre avait plaqué son voisin contre le mur pour rentrer dans son cul. C'était bruyant, confus, violent.
Au début tu paniquais presque dans cette scène de démence généralisée que se propagée comme une trainée de poudre, quelques instants seulement alors que rapidement c'était comme si le chaos ambiant te procurer cet étrange sentiment de bien être, de libération. C'était comme si plus le chaos s'accentuait plus tu étais fort, plus tu te sentais puissant, plus tes pulsions s'exacerbaient pour envahir ton corps, et t'aimais cette sensation bien plus que de raison. Ce jour là, pour la première fois tu as sentis ton corps entier changer, comme tes sens exacerbés, senties cette envie profonde de gouter le sang de celui là-bas qui t'avais toujours agacé, de baiser celui que t'aimer sans rien lui demander, de faire simplement que ce que ton corps voulait en oubliant toute convenance.

Ils ont jamais compris ce qu'il s'était passé. Ce jour là est marqué dans les faits divers comme une "crise de démence générale", et quand elle s'est arrêté les souvenirs étaient flous, vagues pour chacun, quelques flashs ci et là alors que certains baignaient dans leur propre sang, que d'autres avaient le cul explosé, que certains s'étaient même fait mâchouillés.
Quand ca s'est arrêté t'as eu peur, peur de toi-même, et pourtant tu ne t'étais jamais sentis aussi libre, vivant. Ce jour là tu savais qu'en toi un truc c'était brisé, quelque chose avait cassé, quelque chose c'était libéré sans être bien incapable de l'identifier.

Ce jour là tout a changé sans même que tu ne saches que tu faisais partie de cette population qui effrayait les chroniques depuis des années, de ces êtres capables de tuer l'humanité qu'on disait.
Ce jour là un mutant s'était révélé.

L'incident se reproduit une nouvelle fois, puis encore une autre au fur et à mesure que tu avançais dans ta scolarité, jusqu'à éveiller les soupçons alors qu'à chaque fois sans comprendre comment tu t'en tirais dans un état quasi miraculé. Et au fil des années ton comportement changeait, les instincts prenaient le pas sur ton humanité, les barrières morales tombaient sous la force de ta propre bestialité, tes crises avaient cessé. Comme si en changeant de comportement et en se mêlant à ton humanité tu reprenais un contrôle sur ton corps, un contrôle des plus hasardeux si il en est.

Et un jour quelqu'un a frappé à la porte. C'était l'été, tu venais à peine d'être diplômé du lycée. On t'invitais à rejoindre l'institut Charles Xavier, une école pour surdoué. T'as pas vraiment compris, ils ont tenté d'expliquer sans trop en dévoilé. Ta mère était d'un milieu modeste, ces gens semblaient offrir une opportunité d'avenir que tu ne pouvais que rêvé, t'as pas réellement eut ton mot à dire, mais ta curiosité t'as fais te résigner, car c'était comme si ce Xavier savait ce que tu pensais.

A ce moment là tu as appris ce que t'étais, que ta vie avais à jamais changée, que tout ces événements étranges auquel tu avais assisté, que tu avais aimé était du fait de tes propres capacités. L'évolution de l'humanité comme ils aiment à l’appeler.
Mais voilà, plus le temps passait plus il était clair que ton pouvoir grandissait, un pouvoir que tu étais bien incapable de contrôlé, un pouvoir qui se déclenché de plus en plus fréquemment en fonction de tes émotions. Un pouvoir qui terrorisait la population, un pouvoir de plus pour montrer que les mutants étaient le plus grand danger de l'humanité. La haine appelle la haine et l'humanité tu as commencé insidieusement à la détester, à la jalouser car elle avait ce que finalement tu n'aurais jamais, plus que conscient de ta condition, de ta mutation.

Alors un beau jour tu es parties, un beau jour tu l'as rencontré lui, tu ne sais pas vraiment comment il t'as trouvé, mais à vrai dire tu t'en moquais, car ce qu'il avait à te proposer tu aimais, cette proposition vous faisait saliver toi et la panthère qui s'éveillait de plus en plus en toi.
Et il avait raison sur un point, plus ton pouvoir est utilisé plus tu deviens capable de le contrôlais, plus tu évolues et plus ton humanité semble s'évaporer, plus tu l'utilises et plus tu deviens contrôlable, paradoxale. Après tout 'humanité l'avait mérité, elle avait ce que tu n'aurais jamais, et elle t'avais hais pour ce fais, alors sans que tu n'es rien cherché ton surnom finis pas apparaître de lui-même.
Pan que les médias t'avais appelés, parce que t'es le dieu Pan sur ton passage les hommes devenaient bêtes et s'adonnant à leurs pires instincts, le dieu bouc devenu diable, le violeur de nymphes et allié de Dionysos.
L'incarnation de la débauche.


 
derrière l'écran
pseudo : Lynx - comment tu as découvert le forum ? Quelques autistes rouses et renards polluant mon skype ci et là - un petit mot pour la fin ? Ahah.


 
fiche by Anthemis.
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Dernière édition par Maël Delenikas le Sam 20 Déc 2014 - 10:56, édité 13 fois
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Message  Maël Delenikas Mer 29 Oct 2014 - 14:07

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Message  Peter Benjamin Parker Mer 29 Oct 2014 - 16:51

+2. Battue.

Bienvenue!!!
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Message  Connor Kent Mer 29 Oct 2014 - 16:57

Parker tu m'as tué. Je te mets au-dessus de Grimm en blague d'autiste xD.

Et bienvenue la grosse Selina Shocked
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Message  Diana De Themyscira Jeu 30 Oct 2014 - 1:03

Bienvenue, n'hésite pas à demander conseils aux admins en cas de questions.
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Message  Slade Wilson Jeu 30 Oct 2014 - 9:06

Bienvenue Selina,

Nous nous rencontrerons surement très rapidement.
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Message  Maël Delenikas Sam 1 Nov 2014 - 11:28

Merci les gros *o*
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Message  Bruce Wayne Lun 3 Nov 2014 - 21:34

Bienvenue! Wink
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Message  Maël Delenikas Mar 4 Nov 2014 - 2:07

Merci Batminou =D
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Message  Connor Kent Ven 19 Déc 2014 - 14:51

Re bienvenue Shocked

J'ai hâte que tu transformes Diana en cochon Cool
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