Maël Delenikas [1oo%]
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Slade Wilson
Diana De Themyscira
Connor Kent
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Maël Delenikas [1oo%]
Maël Léandre Delenikas "Écoute ces pulsions qui bouillonnent en toi, les entends-tu hurler ton inhumanité ?" Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Maël Delenikas ! Mais on me connait aussi sous le nom de Pan Je suis née le 13 Juin 1987 à Athènes. J’ai 27 ans. Un petit secret pour la route ; je suis mutant et sévissant où me mène le vent. On me dit souvent que je ressemble à Jack Falahee. Je fais partie du groupe de la confrérie.
on ne change pas le passé Au fond t'as une histoire des plus banales. Rien de bien transcendant, rien de bien sanglant. T'étais qu'un gamin comme tout les autres, t'avais une mère aimante et un père qui s'était barré depuis bien longtemps, comme pleins d'enfants. T'es né à Athènes, t'aimes bien Athènes, t'aimais Athènes. Tu y as fait tes classes, ni bon, ni mauvais, simplement moyen parce que comme le commun t'étais pas du genre à te fouler, fallait être ni trop bon, ni trop mauvais, moyen c'était parfait. T'aimais pas spécialement l'école, tu la détestais pas non plus. T'étais ni populaire, ni victime, une socialisation normal pour un garçon banal. Mais parfois t'avais ces crises étranges qui éclataient, comme si tout autour de toi se flouter, souvent c'était parce que tu t'énervais, parce que t'étais triste ou tu crevais d'envie de faire quelque chose qu'on te refusait. Parce que t'as toujours été du genre capricieux il parait. Dans ces moments là on te reconnaissait pas, tu devenais violent, insolent, presque méchant, comme si d'un coup tu voulais tout casser, pour les psy c'était rien de bien compliqué, juste des troubles de comportement plus ou moins commun chez les enfants, et quand la crise passé tout redevenait comme avant. T'étais qu'un gamin capricieux à qui il fallait apprendre à accepter le "non". Puis ta grandis, le temps à continué de passé et ta vie normale a continué, les crises devenaient plus fréquentes, mais moins violentes. Jusqu'à tes quinze ans. Ce jour où t'as découvert la sexualité, que les attirances ont commencé, ce jour où tu t'étais rendu compte que les deux sexes faisaient se dresser cette chose entre tes jambes, t'excitais. La fleur de l'adolescence, la découverte des plaisirs interdits. T'es même tombé amoureux, de ces amours de collégiens attardés qui n'ont pas conscience de la réalité, comme tous tu voulais pas l'avouer, surtout qu'au fond t'avais bien conscience que un garçon et un garçon c'était pas banal, c'était pas normal. Alors en secret tu faisais ces trucs de gosse attardé, tu observais et tu fantasmais. Jusqu'à ce jour où tout à vrillé, c'était après le sport, comme d'habitude le passage aux vestiaires et aux douches étaient demandé, étrangement t'étais bon en sport, même si t'aimais pas spécialement ça il parait que t'avais des réflexes étonnants, une agilité surprenante, capable d'anticiper l'action en des mouvements vifs. Rien de bien transcendant, mais ce jour là t'as pas eut le choix, tu t'étais trop donné, surement pour tenter d'impressionner celui là que tu pouvais pas t'empêcher de te regarder, alors pour une fois t'as pris cette douche que tu esquivais, parce que tu te sentais dégueulasse et collant. Dans les douches y'avait cette ambiance étrange, les corps se dénudant dans la vapeur des eaux fumantes, et en toi tu sentais que plus ça allait plus ça le faisait pas, plus tu sentais l'excitation monter, le truc entre tes jambes commençant à se dresser. Et à ce moment prédis, à ce moment particulier c'est comme si tout avait éclaté, t'as pas compris comment y'a un point qu'est partie se percuter sur un visage, un hurlement qu'a retentit alors qu'un autre avait plaqué son voisin contre le mur pour rentrer dans son cul. C'était bruyant, confus, violent. Au début tu paniquais presque dans cette scène de démence généralisée que se propagée comme une trainée de poudre, quelques instants seulement alors que rapidement c'était comme si le chaos ambiant te procurer cet étrange sentiment de bien être, de libération. C'était comme si plus le chaos s'accentuait plus tu étais fort, plus tu te sentais puissant, plus tes pulsions s'exacerbaient pour envahir ton corps, et t'aimais cette sensation bien plus que de raison. Ce jour là, pour la première fois tu as sentis ton corps entier changer, comme tes sens exacerbés, senties cette envie profonde de gouter le sang de celui là-bas qui t'avais toujours agacé, de baiser celui que t'aimer sans rien lui demander, de faire simplement que ce que ton corps voulait en oubliant toute convenance. Ils ont jamais compris ce qu'il s'était passé. Ce jour là est marqué dans les faits divers comme une "crise de démence générale", et quand elle s'est arrêté les souvenirs étaient flous, vagues pour chacun, quelques flashs ci et là alors que certains baignaient dans leur propre sang, que d'autres avaient le cul explosé, que certains s'étaient même fait mâchouillés. Quand ca s'est arrêté t'as eu peur, peur de toi-même, et pourtant tu ne t'étais jamais sentis aussi libre, vivant. Ce jour là tu savais qu'en toi un truc c'était brisé, quelque chose avait cassé, quelque chose c'était libéré sans être bien incapable de l'identifier. Ce jour là tout a changé sans même que tu ne saches que tu faisais partie de cette population qui effrayait les chroniques depuis des années, de ces êtres capables de tuer l'humanité qu'on disait. Ce jour là un mutant s'était révélé. L'incident se reproduit une nouvelle fois, puis encore une autre au fur et à mesure que tu avançais dans ta scolarité, jusqu'à éveiller les soupçons alors qu'à chaque fois sans comprendre comment tu t'en tirais dans un état quasi miraculé. Et au fil des années ton comportement changeait, les instincts prenaient le pas sur ton humanité, les barrières morales tombaient sous la force de ta propre bestialité, tes crises avaient cessé. Comme si en changeant de comportement et en se mêlant à ton humanité tu reprenais un contrôle sur ton corps, un contrôle des plus hasardeux si il en est. Et un jour quelqu'un a frappé à la porte. C'était l'été, tu venais à peine d'être diplômé du lycée. On t'invitais à rejoindre l'institut Charles Xavier, une école pour surdoué. T'as pas vraiment compris, ils ont tenté d'expliquer sans trop en dévoilé. Ta mère était d'un milieu modeste, ces gens semblaient offrir une opportunité d'avenir que tu ne pouvais que rêvé, t'as pas réellement eut ton mot à dire, mais ta curiosité t'as fais te résigner, car c'était comme si ce Xavier savait ce que tu pensais. A ce moment là tu as appris ce que t'étais, que ta vie avais à jamais changée, que tout ces événements étranges auquel tu avais assisté, que tu avais aimé était du fait de tes propres capacités. L'évolution de l'humanité comme ils aiment à l’appeler. Mais voilà, plus le temps passait plus il était clair que ton pouvoir grandissait, un pouvoir que tu étais bien incapable de contrôlé, un pouvoir qui se déclenché de plus en plus fréquemment en fonction de tes émotions. Un pouvoir qui terrorisait la population, un pouvoir de plus pour montrer que les mutants étaient le plus grand danger de l'humanité. La haine appelle la haine et l'humanité tu as commencé insidieusement à la détester, à la jalouser car elle avait ce que finalement tu n'aurais jamais, plus que conscient de ta condition, de ta mutation. Alors un beau jour tu es parties, un beau jour tu l'as rencontré lui, tu ne sais pas vraiment comment il t'as trouvé, mais à vrai dire tu t'en moquais, car ce qu'il avait à te proposer tu aimais, cette proposition vous faisait saliver toi et la panthère qui s'éveillait de plus en plus en toi. Et il avait raison sur un point, plus ton pouvoir est utilisé plus tu deviens capable de le contrôlais, plus tu évolues et plus ton humanité semble s'évaporer, plus tu l'utilises et plus tu deviens contrôlable, paradoxale. Après tout 'humanité l'avait mérité, elle avait ce que tu n'aurais jamais, et elle t'avais hais pour ce fais, alors sans que tu n'es rien cherché ton surnom finis pas apparaître de lui-même. Pan que les médias t'avais appelés, parce que t'es le dieu Pan sur ton passage les hommes devenaient bêtes et s'adonnant à leurs pires instincts, le dieu bouc devenu diable, le violeur de nymphes et allié de Dionysos. L'incarnation de la débauche.
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Dernière édition par Maël Delenikas le Sam 20 Déc 2014 - 10:56, édité 13 fois
Maël Delenikas- Messages : 34
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+2. Battue.
Bienvenue!!!
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Peter Benjamin Parker- Messages : 299
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Re: Maël Delenikas [1oo%]
Parker tu m'as tué. Je te mets au-dessus de Grimm en blague d'autiste xD.
Et bienvenue la grosse Selina
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Connor Kent- Messages : 203
Date d'inscription : 03/09/2014
Re: Maël Delenikas [1oo%]
Bienvenue, n'hésite pas à demander conseils aux admins en cas de questions.
Diana De Themyscira- Messages : 1364
Date d'inscription : 20/10/2014
Re: Maël Delenikas [1oo%]
Bienvenue Selina,
Nous nous rencontrerons surement très rapidement.
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Slade Wilson- Messages : 536
Date d'inscription : 27/10/2014
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Merci les gros *o*
Maël Delenikas- Messages : 34
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Merci Batminou =D
Maël Delenikas- Messages : 34
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Re bienvenue
J'ai hâte que tu transformes Diana en cochon
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Connor Kent- Messages : 203
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