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Sif d'Asgard

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Sif d'Asgard Empty Sif d'Asgard

Message  Sif d'Asgard Sam 4 Avr 2015 - 17:00


Sif
"La Guerre, c’est la guerre des hommes ; la Paix, c’est la guerre des idées."
(Victor Hugo)

Salutations, mon nom est Sif d’Asgard ! Mais on me connait généralement comme Dame Sif.
Je suis né(e) vers le VIIIe siècle terrien à Asgard et ai donc treize siècles, plus ou moins.
Comme vous l’aurez compris, je suis Asgardienne et interviens dans les 9 Royaumes d’Yggdrasil.
On me dit souvent que je ressemble à Jaimie Alexander.
Je fais partie du groupe Initiative.


Capacités
Je suis une Asgardienne, plus spécifiquement une Asyne, une femme Ase. Comme tous les gens de mon peuple, mes tissus biologiques sont environ trois fois plus denses que ceux des humains, me permettant d’avoir des capacités physiques largement supérieures à celles des « mortels ». Si je ne suis pas à proprement parler immortelle je vieillis à un rythme extrêmement lent, probablement une centaine de fois moins rapidement que celui des humains, ainsi mon espérance de vie est extrêmement longue et se chiffre en milliers d’années. Ensuite, je suis immunisée aux maladies terrestres (il faut entendre par là humaine) et mon métabolisme me confère une endurance physique et une capacité à récupérer des blessures bien plus supérieure à celles des humains : une blessure mettant une semaine à guérir chez eux mettra une heure chez moi et un effort intense se comptant en secondes chez eux se comptera en heures chez moi. Ma force physique naturelle me permet de soulever environ 150 fois mon propre poids, comme les autres Ases, de tordre l’acier à mains nues et de faire des sauts incroyables, ma résistance physique est à la mesure également et me permet donc de bien mieux résister aux blessures conventionnelles, incluant les températures extrêmes et les énergies, ma vitesse me permet de courir très rapidement et mes réflexes d’aller jusqu’à saisir une flèche en plein vol ; ces caractéristiques, contrairement aux précédentes, ayant encore été accrues par mon entrainement millénaire. Concrètement, je dispose d’une force classe 30 et peux donc soulever 30 tonnes, porter des coups de 294.199,5N, sauter sans élan d’environ 30m en hauteur ou 90 en longueur, tracter jusqu’à 60t et résister aux blessures de cet ordre, dont les températures allant de 1.500°C à -150°C et des décharges électriques jusqu’à 25.000W, tandis que ma vitesse et mon endurance de maintenir une accélération maximale de 240km/h durant 10h et que je suis capable d’esquiver des vagues d’énergies. Enfin, j’ai récemment accomplies les Incantations du Berserker, me permettant d’accroitre encore ces caractéristiques en entrant dans un état de rage et de haine alimenté par des souvenirs particulièrement haineux et désagréables. En Berserk, ma force et ma résistance s’accroissent vers un chiffre m’étant inconnu, que j’estime cependant vers la classe 50, et même si l’aspect bestial me pose des difficultés de contrôle je n’en deviens pas décérébrée et puis continuer d’user de mes équipements et techniques moyennant d’énormes négligences défensives et stratégiques. De plus, le contrecoup me laisse dans un état de profonde fatigue nécessitant l’équivalent d’une nuit de repos tandis que la rage, la haine et les mauvais souvenirs sont usants psychologiquement.

Le fait d’être Asgardienne signifie également que j’ai eu accès à des savoirs étendus et à un entrainement martial. Les premiers m’ont permis de me faire une culture basique sur chacun des neufs royaumes, incluant les grandes lignes de leur histoire et des diverses espèces et technologies principales qui s’y trouvent ainsi que des notions dans au moins une langue de chaque ; sur Midgard, il s’agit du vieux norrois (proche de l’Asgardien) et de l’anglais moderne, apprit récemment. Le second, auquel j’ai consacré presqu’un millénaire en cherchant à parfaire mes capacités martiales bien au-delà de ce qui m’a été enseigné, m’a valu le titre de Déesse de la Guerre Asgardienne. Bien que cela inclue de la stratégie et du commandement, de l’anatomie et de la géométrie spatiale, c’est bien dans le combat pur et dur que je me démarque le plus ; je m’y suis exercée auprès de maîtres d’armes comme seule durant la majeure partie de ma vie, aussi bien désarmée qu’en ambidextre, qu’à l’aveugle et que montée avec la totalité des armes médiévales tranchantes et perforantes, tant au corps-à-corps qu’à distance, le tout dans des endroits très divers afin de m’adapter à leurs contraintes et puis désormais me battre quelques soient les conditions environnementales tant qu’elles ne sont pas dangereuses pour moi, exception faite de la gravité 0 dans laquelle je n’ai jamais pu m’exercer et des milieux aquatiques. Si des individus ne disposant pas de capacités (propres ou par le biais d’objets) égales ou supérieures aux miennes ne pourront pas espérer me vaincre, je peux faire face à ceux en étant dotés indépendamment de leur nombre et rivaliser avec un niveau d’entrainement digne d’un maitre d’art martiaux, j’entends par là quotidien depuis au moins une dizaine d’années. Il est à noter que si je suis la seconde meilleure bretteuse d’Asgard, je suis moins douée à mains nues qu’armée et j’y suis limitée à un unique maitre d’art martiaux ou une dizaine d’adversaires entrainés. Mes styles de combat, forgés au cours des siècles par dépassement de ce qui m’a été enseigné et recherche de multiplicité technique, sont principalement destinés à être utilisé avec mon arme de prédilection qui est l’épée, même si ma force physique me permet de les appliquer à tout type d’arme, et peuvent pour la plupart se combiner entre eux ; même s’ils sont principalement destinés au combat à mort il m’est parfaitement possible de les altérer afin de neutraliser, c’est cependant plus difficile selon la résistance physique adverse (qu’elle soit trop grande ou trop petite). Le premier et plus ancien d’entre eux a été développé en duel contre d’autres Asgardiens, afin de pouvoir les vaincre par l’habileté et ainsi compenser ma force inférieure à la plupart, et tient principalement dans la fluidité, la dextérité et la précision des gestes des poignets et des bras qui forment des rotations nombreuses et de parades précises entrecoupées d’attaques tournoyantes et de coups martiaux. Il mise plus sur des enchaînements compliqués pouvant être combinés entre eux et répétés afin de contrer l’adversaire jusqu’à passer ses défenses que sur la rapidité d’action. A la différence de tous mes autres styles, celui-ci nécessite d’utiliser l’arme à deux mains tandis que ceux développés par la suite sont adaptables tant à mains nues qu’avec une arme seule, une arme et un bouclier, deux armes, ou arme double ou une arme double et un bouclier. Mon second style est polyvalent, basé sur une stratégie offensive et des enchaînements d’attaques directes au détriment des feintes dans une recherche de puissance et de précision : les attaques sont franches et la défense basée sur des parades et des esquives, ce qui permet des enchaînements tournoyants et un équilibre en combat. Le troisième est dérivé du second mais plus offensif, avec pour but de vaincre avec le minimum d’engagement physique : il faut être patient puis effectuer des coups vifs et précis, parfois en suite de parades ou d’esquives, tandis que les enchainements se font plus rares, complexes voir acrobatiques. Le dernier est le plus offensif, employant des mouvements de grande amplitude et nécessitant d’être mobile pour accomplir de complexes mélanges de passes, de feintes, de parades, d’attaques saccadées et décousues et de coups martiaux. Les variantes à deux armes impliquent un accroissement du nombre et de la vitesse des mouvements tandis que celles à l’arme double favorisent les enchainements et les feintes. Cette diversité me permet de m’adapter à un grand nombre de techniques adverses et de déstabiliser mes adversaires s’adaptant aux miennes en changeant ou en combinant en cours de combat, même si le fait que certains styles soient dérivés implique des similitudes entre eux.

Tous ces styles sont responsables des fonctions de mon arme favorite, une épée fabriquée pour me permettre d’en user au mieux. Conçue comme une épée bâtarde, elle peut se reconfigurer en déployant une seconde lame depuis le pommeau, devenant ainsi une double-lame, en variant la longueur de la poignée, pour ainsi s’étendre jusqu’à la taille d’une lance, ou en séparant cette dernière en deux afin de disposer de deux épées distinctes. Ses lames sont en métal Asgardien, l’Uru, et peuvent résister à leurs homologues en d’autres matériaux super-scientifiques ou magiques sans les endommager non plus ; il est à noter que leur résistance n’impacte en rien leur tranchant, contrairement à l’Adamantium. De plus, l’enchantement récemment apporté par Odin la rend capable de trancher le tissu même de réalité pour créer des passages inter-dimensionnels permettant de se rendre très rapidement d’un point à un autre de l’univers, à l’instar du Bifrost. Néanmoins cette capacité reste bien moins performante que le pont arc-en-ciel et il ne m’est pas possible de transporter autant de choses que lui : si la limite n’est pas clairement définie, l’épée transportera ce qui est en contact direct et indirect avec elle, généralement moi-même et mes équipements mais potentiellement d’autres personnes ou objets de taille humaine. De plus, l’activation de ce pouvoir nécessite des mouvements rituels, mouvements prenant une bonne minute à réaliser. Enfin, le reste de mon équipement est également originaire d’Asgard, mais pas de métal Asgardien, et composé d’une armure, d’un écu et de deux dagues. Sans rentrer dans les détails de l’armure, elle dispose de diverses couches de protection, la première étant une combinaison afin de protéger ma peau des autres, la seconde un renforcement pour protéger mes points vitaux et soutenir le reste de la structure et la troisième l’armure à proprement parler, dans son aspect externe, composée de plaques segmentées afin de ne pas gêner mes mouvements. L’écu peut se lier à mon épée, à la manière d’un fourreau, et à mon armure pour me permettre de les transporter dans mon dos, à l’instar de la ceinture de cette dernière qui peut supporter divers objets moyennant qu’ils soient métalliques. Aucun de ces équipements n’est invocable, comme peuvent en avoir certain de mes congénères.
Psychologie
La plupart des gens voit les Asgardiens comme des bourrins ; si ce n’est pas parce que ça rime que c’est vrai, ce n’est pas faux non plus considérant que la plupart des gens inclus les Asgardiens eux-mêmes. Ainsi donc le premier préjugé sur moi est cette absence de finesse qui, comme tout préjugé, a une base de vérité. Oui, je peux me montrer assez directe voir abrupte, n’ayant pas tendance à mâcher les mots que je m’autorise à prononcer ni à chercher le compliqué là où je peux faire simple, et si je sais me comporter en société ce n’est pas réellement le lieu où je suis le plus à mon aise. Mais ce que l’on remarque généralement en premier lieu est mon attitude militaire car je suis droite, physiquement comme moralement, respectueuse, observatrice, taciturne et relativement impassible, au point qu’il soit parfaitement possible de me trouver froide ou réservée dans les situations courantes, pour ne pas dire coincée. Je sais quelle est ma place et il s’agit de celle d’une guerrière, du fait je me comporte comme tel, concentrée et honorable. Comme la majeure partie mon peuple, j’ai tendance à être très fière, même si je tâche de le faire sans rabaisser les autres, et tend à régler les problèmes par la violence si cela m’est possible. Néanmoins, si je n’irai pas jusqu’à déclarer que je réfléchis avant d’agir, j’essaie de réfléchir tout en agissant et cela me place au-dessus de la moyenne des miens. Sans doute du fait de ma longue vie, je peux me montrer ouvertement rancunière, en devenant sans difficulté froide et sèche envers ceux ayant développée mon inimité. De plus, mon calme naturel laisse parfois poindre plus ou moins violemment des accès de colère, lesquels peuvent aller de la simple crispation du corps à la crise de rage pleinement exprimée. Lorsque l’on m’observe sans me connaitre il est assez clair que, si je ne suis pas un monstre, je suis dangereuse.

Maintenant lorsqu’on entre dans la sphère privée, on découvre un autre aspect de moi-même. J’ai été bien nommée car l’une de mes principales caractéristiques est cette capacité à me lier sincèrement à d’autres personnes. Même si je n’ai pas toujours les bonnes réactions et puis paraitre distante même avec mes proches, je leur suis fidèle et dévouée et me montre protectrice et altruiste envers eux. Cela peut me conduire dans des extrêmes tels la trahison d’engagements afin de leur venir en aide ou encore de la jalousie lorsque les personnes sont si proches de moi que je cherche par conséquent l’exclusivité. J’ai également tendance à entrer en compétition avec d’autres, que ce soit pour m’attirer les faveurs d’une personne ou simplement parce que ma fierté peut tourner à la vanité voir à l’arrogance. Je me suis souvent sentie privilégiée durant mon enfance et cela ne m’a pas vraiment aidée à calmer ces tendances naturelles de mon peuple, je suppose. Malgré tout, ce sentiment m’a également poussée à chercher à plaire à mes figures parentales et professorales, dont l’approbation dans mes actions a une grande importance personnelle même si je suis capable de m’en passer ; du fait, s’il m’est facile d’aller dans le sens de ceux que j’aime il m’est plus difficile d’aller contre et dans de tels cas je préfère la clandestinité que l’action ouverte, pour ne pas me donner l’impression d’aggraver encore ma situation. Ayant grandie entourée de garçons dores et déjà dotés d’un destin exceptionnel alors que je n’étais personne, j’ai également développé un certain besoin d’accomplissement personnel afin de ne pas disparaitre dans leur ombre ; que cela ait été un succès ou non, je suis toujours prête à faire mes preuves même s’il m’est parfois difficile de remettre en question mes acquis. La vie est un apprentissage et que la mienne soit très longue ne me donne que l’occasion de me perfectionner. Mais un apprentissage douloureux dont les séquelles marquent déjà ma jeune existence. Sans rentrer dans les détails de cette dernière, il faut comprendre que mon principal mécanisme de défense est tant physique que psychologique : la maitrise. Ma volonté de me perfectionner et de maitriser mes capacités vient du fait qu’il s’agit de choses que je peux contrôler et dans lesquelles je pourrais toujours progresser, à force d’effort et de temps, à l’inverse des émotions et des sentiments. Depuis des siècles, le combat est la meilleure chose pour me permettre de me focaliser, une bienheureuse retraite dans la discipline et la rigueur, dans l’adrénaline et l’action, peut-être dans la violence et la mort également. Du fait, si mon entrainement a été bien plus poussé que celui de la quasi-totalité de mon peuple, il s’agit véritablement d’une fuite face à mes véritables peines et problèmes, une fuite peut-être constructive puisqu’elle a dirigée ma vie mais une fuite tout de même. C’est pour cela que je peux paraitre froide et distante jusqu’envers mes proches malgré qu’en définitive ils sachent pour la plupart faire jaillir mes émotions avec une sincérité qui jure complément avec l’image que je peux donner de moi. J’ai toujours vécu dans l’amitié et la fraternité, il s’agit-là de choses que j’honore parfois maladroitement et souvent sans mériter celles dont on me fait don mais ce genre de choses doit-il se mériter ou peut-il simplement être là, sans autres explications ?

La présence de mes proches est l’une des choses que j’apprécie le plus au monde, incontestablement, car si la solitude ne me gêne pas elle n’apporte nullement le bien être dont ils sont porteurs dans leur nature même. J’essaie d’entretenir des liens individuels avec chacun d’eux, qu’il n’y ait pas « d’amis de mes amis » mais uniquement des amis, même si cela peut conduire à la présence d’indésirables dans le groupe ; tant qu’ils m’indiffèrent, cela va, sinon je me renferme de dépréciation. J’apprécie également l’ordre et la routine, même si je ne suis pas contre le désordre et les aventures moyennant que l’on évite les mauvaises surprises, et peux me montrer assez prévisible voir casanière dans cette démarche. J’aime me battre, c’est la ma vocation de guerrière même si le meurtre et le sang m’indiffèrent, tout autant que j’adore festoyer avec mes amis. Mon objet préféré est l’épée, mon plat favori la tarte aux pommes, ma boisson le lait de vache, ma couleur l’argenté et mon animal le cygne, pour tout un tas de raisons plus ou moins évidentes que je ne développerai pas. Les goûts et les couleurs, cela ne ce discute pas. J’aime aussi énormément la blondeur, la perte de la mienne ayant été un véritable traumatisme et ma chevelure actuelle continuant à me faire complexer quand à mon physique malgré l’acceptation et les siècles écoulés depuis que je la possède ; si je n’irai pas jusqu’à dire que je n’accepte pas mon apparence, je préférai largement ma couleur d’enfance. Maintenant je déconsidère les idiots, qui peuvent m’insupporter particulièrement s’ils sont incapables de doser la chose, de même que je déprécie particulièrement les irrespectueux et les manipulateurs. Globalement, perdre mon temps m’est désagréable car même si je sais me montrer patiente ce n’est pas ma plus grande qualité. Les tâches ménagères et paysannes non plus n’ont pas mes faveurs, je n’ai pas passée ma vie à prouver à tous qu’une jeune fille pouvait devenir l’une des guerrières les plus habiles du royaume d’Asgard pour me retrouver à m’occuper d’un foyer. Mais les choses qui me sont les plus désagréables sont, comme tout un chacun, mes peurs. La première et plus grande d’entre elle est l’impuissance, de me retrouver incapable de pouvoir agir et influencer les choses, d’atteindre ma limite. Cette sensation m’est insupportable et lorsque je la confronte j’ai tendance à me détourner du droit chemin : par deux fois déjà, j’ai fait appel à la magie pour m’aider et cela m’a toujours apportés des problèmes. Du fait j’ai quelques problèmes avec la magie également, même si extrêmement moindres ; j’apprends à m’en méfier, à défaut de la craindre, comme à me méfier de ses pratiquants. Souffrir, émotionnellement parlant, me fait peur également et j’ai tâché d’apprendre à me durcir face à cela, comme j’en ai déjà parlé précédemment, même si en définitive je ne pense pas qu’on puisse s’attacher sans craindre et souffrir de la perte voir de la simple dégradation de la relation. Perdre les gens qui me sont chers m’est également angoissant, du fait des liens particulièrement forts que j’ai tendance à tisser, et je préférerai mourir pour l’un de mes proches plutôt qu’il ne meurt pour moi.

C’est là le principal point qui me pose problème avec les Humains : leurs vies sont si éphémères que s’attacher à eux revient à se blesser très rapidement. Les humains sont physiquement faibles, bien inférieurs aux Asgardiens ou à la plupart des races des 9 Royaumes, mais s’ils peuvent compenser cela par la technologie ou la technique il est une chose qu’ils ne pourront jamais porter à notre échelle et c’est leur durée de vie. J’admets bien sur qu’il y ait des exceptions à cela chez des Surhumains mais ce sont des Surhumains, non des Humains, quand bien même ils sont apparemment de plus en plus nombreux. Je suis consciente que les ressemblances physionomiques entre nos peuples peuvent nous conduire à faire un amalgame psychologique mais cela n’en répond pas à mes interrogations sur leur valeur quand à faire un chagrin qui pourrait durer plus que leur vie entière. Je suis étrangère à leur culture même si j’ai eue des apprentissages la concernant et ils ont la particularité d’évoluer extrêmement vite, sans doute du fait de leur courte vie, du coup je suis assez curieuse de voir ce qu’est devenue Midgard. Je sais que d’autres espèces d’extraterrestres et de divinités en foule la surface et je ne détaillerai pas ce que je pense de chacune d’elles, me rangeant aux avis voir préjugés de mon peuple même s’il n’est pas parfait lui non-plus. La principale chose que j’ai à reprocher aux divinités d’Asgard est leur autosuffisance et leur paresse car malgré notre vie très longue peu d’entre nous essayons d’exceller dans ce que nous faisons ; tant que nous sommes capables de le faire, cela nous va. Bien que nous ayons rencontrées des créatures capables de nous égaler voir potentiellement de nous battre, nous n’avons pas cherché à exploiter notre potentiel comme le temps nous le permettrait. J’aurai sans doute fait de même sans ma fuite psychologique et mon besoin de prouver encore et toujours que je méritais ma place. C’est sans doute ce que je vais encore avoir à faire d’ailleurs, car je ne pense pas que les Avengers et le SHIELD m’accueillent à bras ouverts, qu’importe ma volonté. J’ai une vision très positive des premiers, ce sont des héros connus de toute la galaxie et ils défendent leur monde avec efficacité et hargne, le genre de personne qu’il vaut mieux avoir avec soi que contre soi. Concernant l’organisation dans leur ombre, elle me semble les seconder mais leurs méthodes de secret et de mensonge me rebutent pas mal, pour être tout à fait honnête. J’ai entendu parler de la Justice League même si c’est pour moi un événement d’un passé qui m’est étranger, tandis que les autres factions me sont inconnues. Par principe, le BPRD se placerait dans la même logique que le SHIELD, la servitude en moins, tandis que la Confrérie et les X-Men seraient simplement des forces armées ayant chacune chef et cause, similaires mais non-moins rivales, et que les Last Sons seraient puériles à essayer de concurrencer les Avengers plutôt que de les aider dans la protection de leur planète.

C’est ce que je tâcherai de faire pour ma part, confiante dans le fait que j’en suis apte. Mon peuple est naturellement capable d’exploits surhumains et c’est parfaitement accommodé de la divinisation dont il a fait l’objet pour cela mais c’est pour moi de l’oisiveté que de ne chercher à progresser ou à remettre en cause ses acquis. Oui, sans entrainement je peux déjà être bien impressionnante à l’échelle humaine mais l’univers ne fonctionne pas avec cet anthropocentrisme, ainsi donc je crois bien plus en le talent et l’exercice. Je me considère comme dotée du premier, dans une mesure assez importante même, mais je n’aurai jamais pu l’exprimer comme je l’ai fait sans entrainement et pratique. Un entrainement quotidien au combat m’est plus utile que toute ma force et me permet même d’accroitre encore celle-ci, à l’instar des athlètes et experts mortels. La maitrise de mon corps, la portée de mes compétences au rang d’art, c’est bien plus stimulant que de ce laisser vivre même si cela peut impliquer ne plus vivre pour grand-chose d’autre ; un sacrifice nécessaire. Néanmoins je dois mettre une exception à cette philosophie et il s’agit du Berserker. Le contrôle et la maitrise sont des points ambivalents avec cette capacité car j’ai cherchée à l’acquérir par sensation d’avoir atteinte ma limite et volonté de la repousser encore plus loin mais je ne la maitrise pas réellement et, du fait, elle entre pour l’instant en contradiction avec ce que j’ai entreprit au cours de ma vie. Cependant elle doit être maitrisable, même si cela me prendra du temps, ainsi si je ne la garde qu’en dernier recours je tente tout de même de maitriser cette force supplémentaire qu’elle me fournit. Si l’on devait résumer ma philosophie de vie en une phrase, ce serait la suivante : si l’on veut atteindre un objectif, il faut non seulement essayer de l’atteindre mais également se donner les moyens d’y arriver.

Biographie
Lorsque je suis venue au monde, j’étais une petite blondinette que ses parents nommèrent Sif, nom signifiant « affinité ». Mon peuple ne vivant pas le temps de la même manière que les humains, il m’est impossible de dater précisément ma naissance : tout ce que je peux dire c’est que j’appartiens à la seconde génération de divinité d’Asgard. Une génération Asgardienne est bien plus étendue que celles des humains ainsi, si l’on devait tout de même dater ma naissance dans la chronologie terrienne, les estimations me feraient naitre durant le huitième siècle de leur calendrier grégorien. Mais la date n’importe pas réellement car la véritable chance de mon enfance est d’avoir rencontrés les fils d’Odin et d’être devenue l’une de leur proche. Mon frère ainé et moi-même sommes de basse extraction, des enfants de paysans anonymes, ainsi pouvoir côtoyer les princes d’Asgard et vivre des aventures comme m’amuser à leurs côtés était inespéré. Evidemment, c’étaient des choses auxquelles on ne pensait pas à l’époque, on se contentait d’être nous-mêmes et affinités comme inimités se faisaient le plus naturellement du monde, tandis que la bienveillance parentale ne nous sépara pas et que le Père de Tout m’autorisa même à profiter des entrainements de ses fils. Etre la seule fille dans un groupe de garçons avait ses bons comme ses mauvais côtés et sans doute cela a-t-il joué mais ma recherche d’accomplissement personnel : savoir rester à ma place tout en sortant des ombres des autres, être capable de me montrer digne d’eux sans outrepasser mes droits, c’était un jeu d’équilibre dont je n’avais même pas conscience. De mon point de vue enfantin, il s’agissait surtout de savoir quand je pouvais ou non répliquer et comment je pouvais le faire, une chose dans laquelle j’eus de nombreux ratés par fierté voir arrogance. Ce n’était pas moi la plus discrète et « à part » du groupe, il m’arrivait même de prendre à parti comme les autres Loki pour sa différence ; Thor était le prince et se comportait comme tel, véritable cœur de notre groupe et cause d’un certain nombre de nos aventures, alors que son frère était plus réservé et il n’était pas difficile de séparer le groupe entre nous et nos cheveux dorés et lui et ses cheveux noir. Mes relations avec mon propre frère étaient bien différentes, lui n’avait pas ma chance et tâchait de se frayer un chemin par lui-même, à la force de ses seules compétences ; heureusement pour lui, comme pour moi d’ailleurs, nous étions tous deux de la même souche et s’il fut autodidacte son habilité n’était pas moindre. Même s’il était relativement distant, nos siècles d’écart n’aidant pas à nous comprendre, nous nous entendions bien et je savais que je pouvais compter sur lui et sa vigilance bienfaisante à mon égard, il était une sorte de confident et de conseillé puisque je m’évertuais à être capable de me défendre « toute seule ».

L’adolescence est arrivée relativement vite et elle a vu le groupe s’agrandir comme les centres d’intérêt changer. Nous étions rentrés à l’Académie d’Armes d’Asgard et mes loyautés et admirations envers mon prince se transformèrent en quelque chose d’autre. Un quelque chose partagé qui ne m’empêcha pas de me mettre en rivalité avec les autres adolescentes qui l’approchaient, qu’elles soient destinées à devenir Enchanteresse ou Valkyrie. Le Père de Tout était plutôt bienveillant envers cet amour adolescent et il semblait que l’acceptation de ma présence dans les relations de ses fils était amené à évoluer vers une intégration en bonne et due forme à la famille royale ; une chose qui m’allait parfaitement. Cela ne m’a pas aidé à me sentir moins privilégiée et supérieure, me valant même le surnom de « Dame Sif » de la part des trois guerriers qui nous avaient rejoints ; une aberration considérant mes origines mais une aberration qui me renforçait dans mon idée. Mon frère, devenu gardien du Bifrost, continuait d’étendre son regard bienveillant, tout changé qu’il était par ses nouveaux pouvoirs, sur moi et de me prêter une oreille attentive, même lorsque j’étais dans l’un des autres royaumes pour mon entrainement. Lorsque celui-ci nous conduisit sur Midgard, la Terre, où nous étions vénérés comme des Dieux, ce fut une version fantasmée de mon futur avec Thor que nous avons donnée aux poètes qui transmettraient cela sous la version orale de l’Edda poétique : nous serions mari et femme et aurions une fille appelée Thrud, ce qui signifiait « force » et « puissance ». C’est vers cette époque que Loki commença à manigancer contre notre couple et non content de faire courir des rumeurs comme quoi je serais déjà mère d’un dénommé Ull, qui signifiait « graduer dans le sens de la gloire », il finit par me couper ma chevelure durant mon sommeil. Cette perte me dévasta comme si j’avais été privée d’une partie de mon identité, me rendant inconsolable et me faisant abandonner Midgad comme mon entrainement pour venir me réfugier chez mes parents, à Asgard. Thor força Loki à me trouver une nouvelle chevelure et si celui-ci s’accomplit celle qu’il me greffa magiquement n’était pas du blond d’or qu’il m’avait volé mais du même noir corbeau que la sienne ; une nouvelle insulte qui contribua à accroitre mon malheur en y rajoutant un sentiment d’infériorité vis-à-vis de mes concurrentes dont les boucles dorées me semblaient plus resplendissantes que jamais, alors même que durant toute notre enfance cela faisait partie des différences qui nous séparaient de lui. Seule la déclaration de Thor quand au fait qu’il me trouvait plus belle encore avec cette chevelure de nuit permit de me faire reprendre le cours de ma vie, déterminée à ne plus me laisser faire. Néanmoins cette réaction poussa Odin comme mes parents à se durcir envers moi et mon entrainement devint plus exigeant qu’il ne l’avait été ou ne l’était pour mes camarades : il devint question de faire de moi une guerrière bien au-delà de ces considérations esthétiques afin d’éviter tout risque de future reine vaniteuse et capricieuse. Mon frère fut d’un précieux conseil et d’une grande aide pour combattre cette disgrâce, soulignant l’ironie de ma dépréciation de ma couleur capillaire alors que lui-même n’avait jamais été blond.

Les siècles qui suivirent me virent m’endurcir, conformément au souhait de mes ainés envers moi, tout en continuant à partager les aventures de Thor et de ses autres compagnons, Loki inclut. Malgré que je partageai à présent sa différence capillaire, ma rancune à son encontre ne se tarie jamais et si je tolérais sa présence je ne m’en montrais pas moins plus froide et sèche en sa présence. Même si je n’en disais pas mot, l’impression que la chevelure noire me rabaissait en comparaison des autres restait présente dans mon esprit et cela ne fit qu’accroitre ma rivalité avec les autres jeunes femmes, particulièrement la Valkyrie qui restait meilleure que moi au maniement des armes. Perdre l’amour de Thor était ce que je craignais le plus ainsi lorsque l’Enchanteresse et Loki me parlèrent du Mirror de Mycha, qui me permettrait de m’assurer magiquement qu’il m’appartienne à jamais, je me rendis dans la province de Nornheim et le déroba dans le palais de sa reine. Mais, en lieu et place de me montrer comment l’utiliser tel qu’elle l’avait promis, l’Enchanteresse usa elle-même de l’objet magique et me vola ce que je craignais de perdre. Poussée hors de mes gonds par cette trahison, je me bâtis pour redresser mon tord et trouvai une précieuse alliée en la Valkyrie ; ensemble, nous pûmes reprendre et détruire le miroir, rompant l’enchantement. Si cela mit fin à ma rivalité avec cette dernière, par gratitude, cela en fit de même de ma relation avec Thor du fait de son immense déception quand à mon intention d’utiliser le miroir. J’avais finalement causé ma plus grande peur, de crainte de la voir apparaitre. Plutôt que de m’effondrer une nouvelle fois, je me suis consacrée corps et âme à mon entrainement martial, m’y consumant pour apprendre à retrouver la paix et à vaincre la peur. Si je suis restée proche de Thor, les choses n’ont plus jamais été les mêmes : ma loyauté était renforcée par ma culpabilité et, à de nombreux égards, j’avais toujours des sentiments pour lui même si je tâchais de les faire taire à m’en brimer. Je le suivais sans discuter mais ne pouvais oublier, passant tout mon temps libre à m’exercer pour la prochaine bataille que je mènerai à ses côtés. Si j’avais toujours son amitié, j’avais l’impression de ne pouvoir gagner une autre chance et n’étais pas certaine d’en vouloir, ainsi même après que la Valkyrie s’en fut allée et que je sois redevenue la seule femme du groupe la situation ne changea pas réellement. Ma seule tentative de passer à autre chose, en entamant une romance avec un autre guerrier, se soldat par mon échec lorsqu’il me fut volé par la magie de la sœur de l’Enchanteresse. Une fois la bataille contre cette dernière terminée, je décidais de m’isoler encore plus de mes émotions afin de me consacrer exclusivement à mon entrainement et à ses applications, afin d’en faire un véritable art. Le quotidien avait quelque chose de rassurant et je m’étais plus enfermée en moi-même qu’auparavant. Même s’il n’était pas difficile de faire disparaitre ce comportement pour quiconque me connaissant un temps soit peu, il devint ma norme et une sorte de masque ; « Dame Sif » en prit un sens relativement différent et moins caricatural que par le passé, même s’il était depuis bien longtemps rentré dans les mœurs. Mon investissement dans le peaufinage de mes capacités guerrières me conduisit sur d’autres mondes, afin de pouvoir varier les conditions d’entrainement et étudier les techniques d’autres cultures, me permit de devenir la seconde meilleure guerrière d’Asgard mais ce n’était pas suffisant et j’avais l’impression de ne jamais pouvoir dépasser la première, malgré la continuation de mon entrainement à travers le temps. Ayant souvenir des Berserkers côtoyés durant mon passage sur Midgard, je finis par me rendre sur Niflheim et cherchai la source Hvergelmir pour entrer dans la caverne d’une ancienne professeure Asgardienne, celle-là même responsable des enchantements ayant donné aux guerriers suscités leur puissance. L’invoquant maladroitement, je fus jugée indigne de son don et dus lutter, tant par les mots que par les armes, pour faire mes preuves. Elle me bâtie mais même lorsqu’elle aurait pu m’achever, je n’abandonnais pas, ainsi décida-t-elle, toujours dédaigneuse, de m’apprendre l’incantation du Berserker. Retournant sur Asgard, je fus accueillie par mon frère, en colère que j’ai à nouveau accomplie l’erreur de m’en remettre à la magie pour accomplir ce que j’étais en train d’accomplir par moi-même, et l’un de mes amis du trio guerrier. Nous nous sommes engueulés avec le premier et j’ai envoyé paitre le second, pourtant bien plus diplomate, jusqu’à ce que cela dégénère, d’abord doucement puis violemment. Le combat qui s’ensuivit me vit briser la lame de mon ami mais ils parvinrent à me retenir jusqu’à ce que le Berserker se dissipe et me laisse grandement affaiblie. Suite à cet épisode, j’ai repris mon entrainement tout en m’exerçant plusieurs fois au Berserk mais il fut rapidement clair qu’il s’agissait là d’une capacité bien plus difficile à contrôler que les autres techniques que j’avais apprises, maîtrisées et perfectionnées ; mais une capacité plus qu’utile en guise de dernier recours, lorsque le reste s’avérait insuffisant.

Le bannissement de Thor fut un nouvel événement perturbateur et le prélude à de grands changements car il trouva bien plus qu’une leçon d’humilité sur Midgard, il y trouva une nouvelle amante qui n’était même pas blonde. Cela comme les batailles qui l’avaient accompagné le changèrent irrémédiablement ; plus que je ne l’avais moi-même changé, d’ailleurs. Le regret et l’amertume se mélangèrent à de la jalousie et une pointe de curiosité quand à ce qu’était devenue la Terre depuis la dernière fois où j’y avais mis les pieds : comment pouvait-on s’attacher à des êtres aussi éphémères que des humains ? N’était-ce pas se condamner à souffrir inutilement la perte d’êtres chers ? Et surtout, comment avais-je put être remplacée par l’une d’entre elle ? Tant de questions, tant de curiosités, même si cela ne m’obsédait pas je me concentrais une fois de plus dans mon entrainement. La réapparition de Loki allié aux armées Shitori déclencha de nouveaux conflits à l’échelle des neufs royaumes et si Thor put ainsi retourner sur Midgard pour former les Avengers cela m’offrit également un nouveau moyen d’occuper mon esprit. Je conduisis une force Asgardienne sur Vanaheim mais savais que les guerres ne dureraient pas et que la Terre, comme elle se nommait elle-même, devenait le centre de beaucoup d’attentions dans les Neufs Royaumes et au-delà. Une fois rentrée, la victoire acquise par la force, me demandait à mon Roi la possibilité de me rendre sur Midgard afin de représenter la bonne volonté de notre peuple à aider les humains. La mission, comme nombre d’autres, ne se comptait qu’en années et il serait possible de changer de représentant si les choses se passaient mal, dans un sens comme dans l’autre, ainsi j’avais plus à gagner, en tâchant de comprendre ce que cette planète et ses habitants avaient de si spéciaux, qu’à perdre, même si je risquais une nouvelle fois de tomber en disgrâce. Pour m’aider dans ma tâche, Odin enchanta ma lame afin qu’elle puisse me permettre de voyager dans les royaumes sans l’usage du Bifrost, puis, réunissant mes maigres affaires, je n’en allais vers ce nouvel horizon. Si je n’ai jamais cherché cela de toute mon existence, ce changement pourrait être l’occasion de progresser autrement que dans mon habileté martiale ; habileté que je pourrais tout de même continuer d’affiner là-bas. Peut-être est-ce une fuite, à nouveau, je l’ignore ; je sais simplement que je vais essayer.

Derrière l'écran
- Amaranth, la fleur rouge symbole de l’immortalité
- Rencardée au stand de miel, par une Ourse
- Mon premier rp décrira l’arrivée de Sif sur Terre et visera à rencontrer un membre de l’Initiative afin de la rejoindre en tant que représentante d’Asgard ; si cela pose problème d’une quelconque façon, je changerai en conséquence (soit en commençant Indépendant pour rejoindre l’Initiative, soit en trouvant une nouvelle mission pour Sif).

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Sif d'Asgard
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Message  Anthony E. Stark Sam 4 Avr 2015 - 17:32

Bienvenue sur le forum. Wink
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Message  Anna R. Marie Sam 4 Avr 2015 - 17:42

Bienvenue sur Heroic Age.

Bonne chance pour ta modération. Wink
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Message  Galactus Sam 4 Avr 2015 - 20:11

Bon, j'ai fais le tour de ta fiche. Elle est bonne, mais elle est assez longue pour tous les détails autour qui sont parfois anodins et qui ne vont pas affecter directement le jeu. La fiche est cool, mais parfois il faut éviter d'accumuler certains détails. On sent la recherche autour de la mythologie, mais parfois on peut se demander la pertinence. (Et je ne critique pas, ce sont juste quelques remarques).

Sinon belle fiche. Tu es validé de mon coté.

Je te souhaite un bon jeu. Wink
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