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Hacker l'Ecole

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Message  Lucy "Lucky" Prissy Ven 3 Mar 2017 - 6:14


Projet Personnel Encadré : Hacker l’Ecole

Pour la plupart des gens, l’apprentissage et l’enseignement sont liés, comme les deux faces d’une même pièce. Mon expérience à pile ou face me dit que c’est effectivement le cas et, plutôt que de jouer sur la tranche, on va essayer d’apporter une nouvelle vision sur cela ; l’enseignement, pas mon expérience à pile ou face. Celle-ci a déjà essayé d’étayer les hypothèses sur l’existence de la Chance par mon influence de celle-ci et très peu de gens y ont cru ainsi donc on ne s’attardera pas sur cet aparté plus que le nécessaire. Hors donc, l’enseignement est généralement perçu comme l’action de transmettre des connaissances à un élève, principalement parce que la plupart des gens sont des adultes ayant suivi un parcourt scolaire classique voir participé à cette transmission, et on parlera alors d’enseigner. Mais l’enseignement est aussi la connaissance nouvelle ou le savoir qu’on retire d’une expérience, quelque soit ladite expériences et qui que soit la personne à l’initiative de celle-ci, et on parlera alors d’apprendre. Si enseigner permet d’apprendre dans une grande majorité de cas, motivant le fonctionnement des systèmes scolaires standards à travers le monde, apprendre peut se faire autrement également. L’éducation de masse s’adresse aux masses, c’est marqué dessus, et vise donc à être efficace sur le plus grand nombre sans prendre en compte les particularités de certains esprits. Un profil scolaire classique est conditionné par les méthodes d’apprentissage par explication et par répétition. Les profils autodidactes sont inadaptés scolairement parce qu’ils apprennent par les méthodes d’induction et d’essai-erreur. Enfin, d’autres types de profils existent mais il n’est pas utile de s’attarder sur leur diversité.
En connaissance de cela, et du fait qu’il faille formuler la problématique sous forme de question, on peut ce demander comment concilier un système d’enseignement standardisé afin de correspondre à un grand nombre d’individus avec les particularités de ceux-ci ?
Pour ce faire, on passera par trois grandes étapes. La première sera l’analyse et la classification des différentes méthodes d’apprentissage. La seconde sera l’interview de diverses personnalités de l’Académie du Massachusetts ayant déjà intégrés des préceptes de formation différente dans leurs enseignements. La troisième verra comment hacker le système d’apprentissage "classique" afin de disposer d’une approche innovante, différente mais permetant aux cas particuliers de se réaliser sans pénaliser les autres. C’est parti !

Dites à quelqu’un qu’il y a 300 milliards d’étoiles dans le ciel et il vous croira mais dites-lui que la peinture n’est pas sèche et il aura besoin de toucher pour y croire. On peut ce dire que c’est de la bêtise mais c’est de l’apprentissage par explication : on explique, oralement ou par écrit, ce que l’on doit savoir ; c’est le principe des cours magistraux et des manuels. Cette forme d’apprentissage est la plus courante puisque le nombre de personnes pouvant la recevoir simultanément est le plus important et que son coût est le moindre. Les systèmes scolaires, à travers le monde, en usent énormément et conditionnent la manière d’apprendre des élèves avec cette méthode et sa complémentaire ci-après. En effet, en plus des cours magistraux, certaines matières s’accompagnent de travaux pratiques qui emploient la méthode d’apprentissage par répétition : on fait faire ce qu’on doit apprendre, d’abord passivement puis de plus en plus activement, jusqu’à ce qu’on soit capable de refaire seul. Cela se retrouve également dans la pratique des sports et permet la formation du plus grand nombre malgré des restrictions supérieures à la méthode précédente puisque tous les élèves ne sont pas forcément en capacité d’accomplir ce qui sera demandé et que cela peut nécessiter un équipement adapté ; des choses expliquant les limitations d’emplois que l’on rencontre dans les systèmes scolaires standards.
De manière similaire mais plus naturelle, on a l’apprentissage par imitation : il suppose la valorisation d’un modèle et la volonté de lui ressembler. Tous les trucs que l’on fait spontanément étant enfant, genre marcher et parler, sont en réalité dus à cette méthode d’apprentissage. Abandonnée par la pédagogie scolaire, elle reste utilisée pour l'enseignement des arts comme de certains sports et passe par un ou des exemples sur lesquels on se cale naturellement. C’est la méthode la plus intuitive et elle est généralement employée sans une volonté consciente, simplement par mimétisme voir pression sociale. Des choses qui peuvent nuire à une autre méthode intuitive mais que beaucoup moins emploient par crainte de l’échec, à savoir l’apprentissage par essai-erreur. On est en situation sans aucun mode d’emploi et, plutôt que de dire qu’on ne sait pas faire afin de ne pas essayer, on doit chercher la solution par nous-mêmes. Nécessitant un dosage de la difficulté prenant en compte ce que l’on sait déjà afin de progresser correctement et étant de plus en plus coûteux à mesure qu’on va vers des choses complexe, c’est une forme d’apprentissage qui n’est pas jugée rentable au sein de systèmes scolaires publiques alors qu’on peut la retrouver dans certaines écoles privées et qu’elle est utilisée par la recherche dans bons nombres de domaines.
Autre méthode proche de la précédente, l’apprentissage par induction consiste à créer une théorie ou une loi à partir d’observations et/ou d’expériences. Plébiscitée par la recherche quelque soit l’objet qu’elle étudie, cette méthode tend à être délaissée des enseignements de masse par le niveau d’encadrement qu’elle requiert. Comme Aristote a si bien su le démontrer, on peut construire des édifices scientifiques complètement faut si les conclusions que l’on tire sont erronées. Néanmoins, cela reste une méthode très efficace pour apprendre, à défaut de pouvoir enseigner, car elle suscite des interrogations et cultive la volonté d’aller plus loin. De même, elle se complète très bien avec une méthode qui semble toute bête mais est fort utile : l’apprentissage par association. On associe les savoirs que l’on possède déjà pour en faire de nouveau. Par essence même, c’est une méthode qu’il n’est pas possible d’enseigner et qui est donc exclusivement le fait d’une personne cherchant à apprendre. C’est également quelque chose qui se retrouve dans la recherche et dans le dressage d’animaux. Vous ne trouverez jamais plus motivé qu’un chien pour apprendre à faire des tours, à part quelques enfants et encore, et il lui faudra bien savoir s’assoir pour pouvoir rouler sur le dos.
Enfin, toutes ces méthodes "simples" permettent de composer deux autres méthodes plus réfléchies : d’une part, l’apprentissage combiné qui vise à mettre en situation, montrer les bons gestes et expliquer les principes d’action avant de laisser l’occasion de se perfectionner en supervisant de moins en moins. Additionnant explication, répétition, association et imitation, elle  est principalement utilisée pour la transmission de savoir-faire professionnels même si certains professeurs cherchent à l’appliquer aux matières scolaires car c’est la plus efficace pour enseigner quelque chose. D’autre part, l’apprentissage par immersion qui ajoute l’imitation, l’induction, l’association et l’essai-erreur en nous plongeant directement dans un milieu auquel on doit s’adapter. Principalement conseillé pour les langues vivantes, c’est également la plus efficace quand il s’agit d’apprendre quelque chose. Enseigner et apprendre sont à entendre au sens qui leur est défini dans l’introduction, évidemment.

Au sein de l’Académie du Massachusetts, il y a des professeurs pour faire parti de la mouvance d’évolution de l’enseignement en prenant en compte les méthodes d’apprentissage alternatives aux classiques explications et répétitions. Visant la création d’une norme au sein du plus grand nombre sans s’adapter aux profils spéciaux, ces deux méthodes sont accusées de tuer la créativité et l’innovation par des experts en éducation comme Ken Robinson. Sans aller jusque là, le professeur d’histoire Arthur Danberg utilise néanmoins les apprentissages par induction, association et essai-erreur dans ses cours pour faire de ceux-ci une investigation de classe où il faut trouver les mobiles de certains actes historiques. Comme on peut s’y attendre, ses cours sont très demandés malgré un certain retard sur les programmes officiels. De notre entretient ressort la volonté de captiver l’intérêt de ses élèves et d’encourager leur prise d’initiative et leur recherche afin d’arriver à l’acquisition du savoir. Pour enseigner au mieux, Mr Danberg choisit donc de motiver sa classe à apprendre. Il dirige l’enquête et évite ainsi les fausses pistes mais n’intervient pas trop afin que tous puissent exprimer leur intelligence. Pour un profil scolaire standard, c’est parfois assez difficile à suivre puisqu’il ne s’agit pas d’apprentissage par cœur mais d’une recherche de compréhension par soi-même. Pour un profil autodidacte, c’est un vrai bonheur jusqu’à ce qu’on ait à nettoyer la table sur laquelle on a notés puis reliés les différents bouts de papiers contenant les faits à notre disposition.
Dans un même ordre d’idée, la professeure de chimie Willa Jefferson se penche vers les apprentissages par explication, association et induction au sein d’un atelier dont l’objectif est d’identifier le contenu d’un pot avec des produits et une connexion internet. Plutôt que de faire de la répétition afin que ses étudiants refassent une procédure d’identification, elle mise sur la curiosité pour motiver leur investissement et leur permet de développer à la fois un savoir qui leur sera utile pour leur classe mais également pourra être réappliqué plus tard dans similaires conditions ; ou, avec un peu d’imagination et du temps à perdre, dans d’autres situations. L’idée à l’origine de cela est l’implication, une fois encore, ainsi qu’une possibilité de laisser un libre développement aux élèves pour qu’ils affutent leur esprit scientifique plutôt que de le normaliser, facilitant ainsi la préparation à une éventuelle vocation de chercheur. Comme son collègue, Mlle Jefferson cherche avant tout à ce que ses élèves veuillent apprendre plutôt qu’à simplement enseigner.
De son côté, la directrice de l’Académie Emma Frost aime à encourager ce genre d’initiatives. Docteure en psychologie, elle considère qu’amener les élèves à apprendre permet de réaliser une bonne scolarité sans dépendre d’une conformité au système académique. De par sa vocation, Mlle Frost cherche à faire se réaliser les individus, non former une norme, et cela est perceptible dans la diversité d’enseignants qu’elle réunit au sein de son école. « Si un clé n’a pas pu ouvrir une porte, ce n’est pas forcément que la porte est condamnée » a-t-elle dit à propos des profils inadaptés scolairement, profils qu’elle cherche à intégrer malgré tout par des parcours spécialisés.

Même si le nombre d’interviews est très maigre, on retiendra de celles-ci la volonté d’implication active de la part des étudiants plutôt que la passivité qui peut être observée dans l’enseignement traditionnel. C’est là un point très important d’un côté comme de l’autre et qui justifie les difficultés d’application au plus grand nombre : si l’élève ne s’implique pas rien ne marche mais si le professeur ne laisse pas l’occasion de s’impliquer rien ne marche non plus. Dans le cadre d’une structure scolaire classique, l’investissement de part et d’autre n’est pas toujours au rendez-vous entre des élèves pouvant penser avoir mieux à faire et des enseignants pouvant n’être là que parce qu’ils n’ont pas réussi à être ailleurs ; ce n’est pas le cas de tous mais il est incontestable que cela se retrouve à tous les niveaux de scolarité. Cette « mauvaise volonté » rend les méthodes d’apprentissage par explication et par répétition si prépondérantes dans le système standard, chacun mettant les efforts qu’il souhaite qu’ils soient importants ou faibles. Le problème étant que cela peut également affecter des personnes adaptées ou bloquer des personnes inadaptées, entrainant à terme la démotivation et le désintérêt. Mon idée pour hacker le système actuel peut souffrir du faible investissement également mais vise surtout à ce que les élèves intéressés puissent se développer au mieux et potentiellement transmettre leur intérêt à ceux qui le sont moins.
Le hack que je propose est lié à mon expérience personnelle. Avec un groupe d’amis, nous avons cherché à mettre au point un style de combat de rue qui nous serait propre et plus efficace que celui utilisé d’instinct. De manière assez similaire au présent TPE et aux sous-parties de celui-ci, cela c’est fait en trois épates. C’est étrange ce qu’il y a avec le chiffre 3, son aspect rassurant, la sainte trinité, tout ça tout ça ; presqu’aussi étrange que c’est hors de propos. Du coup, la première étape a été d’étudier le combat de rue en lui-même ainsi que ses participants pour extrapoler les forces et les faiblesses. De ces observations ont découlées des conclusions, comme le veut l’apprentissage par induction, puis des échanges afin d’être approximativement tous sur la même longueur d’onde, permettant un apprentissage par association entre les différents individus. Cela pratiquement fait, on est passé à des tests afin de construire notre idée plus précisément et d’arriver à une base commune, principalement sous forme d’essai-erreur mais aussi de répétition quand ça marchait à peu prêt. Ce n’est qu’enfin qu’on c’est tourné, fonction de nos préférences, vers d’autres arts martiaux traditionnels afin de personnaliser nos techniques et exprimer notre différence ; imitation voir explication, fonction des gens. Cela a été une démarche de pur apprentissage puisque nous n’avons pas vraiment eu de professeurs mais peut être aisément retravaillée pour en impliquer un.
Les bases de notre méthode d’apprentissage ont été l’amitié et l’entraide, des moteurs puissants mais souvent déconsidérées dans l’enseignement classique. Les pénalités du partage de connaissance au cours d’un examen, aussi appelé "copiage sur le voisin", sont logiques mais ne pas les encourager au cours de l’apprentissage est, à mon sens, dommage. Plutôt que de fournir passivement l’enseignement en condamnant les perturbations de celui-ci, à savoir les chuchotements et autres communications "intempestives", il est possible de les mettre à profit en réunissant les élèves en groupe équilibrés avec un objectif défini au début de chaque cours. Quand ma prof de math saisissait un message codé que je faisais suivre à l’un de mes camarades, elle l’a toujours mal pris en croyant que je faisais ça pour la provoquer alors qu’en réalité le cryptage est juste une application des mathématiques. Enfin bref, dans une première partie, le professeur fait ses explications normalement afin d’enseigner les bases nécessaires à la suite. Dans une seconde partie, il soumet à chaque groupe un problème ou un exercice dont la solution est à trouver par ses membres en extrapolant les explications précédente et/ou en effectuant leurs propres recherches, en associant les savoirs des membres afin que tous puissent aider et se motiver mutuellement ; le professeur reste évidemment là au besoin, histoire d’éviter que ça parte trop lin à partir dans tous les sens, sans prémâcher la connaissance cependant, histoire que chacun participe. En troisième partie, les groupes partagent leurs résultats et le professeur révèle la solution, félicitant les groupes qui l’ont trouvé et aidant ceux-ci à l’expliquer à ceux qui n’en ont pas été capables pour qu’ils comprennent comment refaire par la suite. Après, les évaluations continueraient d’être personnelle afin de voir l’apprentissage qu’a fait chaque individu du travail commun faire précédemment en cours.
Je ne pense pas inventer quoi que ce soit mais les observations que j’ai faites de diverses scolarités, tant dans le secondaire que dans le supérieur même si exclusivement en Europe et aux États-Unis, me laissent réellement penser qu’il est innovant. Et qu’il peut fonctionner, sans quoi je ne retomberais pas sur mes pattes. Son but est de mettre à profit un maximum des méthodes d’apprentissage afin que tous les profils puissent s’y retrouver sans pour autant perdre de vue le nombre d’élèves et l’éventuelle démotivation de certains. La première partie de cette méthodologie est explicative, comme un cours magistral lambda, mais la seconde s’appuie sur cette base pour faire intervenir de l’apprentissage par induction, association, essai-erreur et de nouveau de l’explication à l’initiative de l’apprenant. Finalement, la troisième partie passe par l’explication, l’association, la répétition et l’imitation. Plus qu’une méthode d’apprentissage combinée, c’est également une méthode d’apprentissage par immersion car conduisant les élèves à créer leurs propres conditions de recherche à l’instar d’un jeu. Comme celui de ses étudiants, l’investissement du professeur est également demandé afin qu’il soit au mieux présent mais les risques d’exclusion et de démotivation scolaire sont moins fort puisqu’il n’est pas seul à soutenir et aider ceux en difficulté ; des choses qui peuvent se poursuivre en dehors des heures de cours mais également sur des matières autres.

En conclusion,  là où le système d’enseignement standardisé se trouve à limiter les possibilités d’expression de ce qui sortirait de la norme qu’il a pour objectif de former, il y a des moyens aisés de le hacker pour encourager l’expression de particularité de chacun tout en continuant de chercher un apprentissage commun. En ouvrant les méthodes d’apprentissage impliquées et en réunissant les individus en groupe d’entraide, on maximise les possibilités que tous puissent se développer et que personne ne soit laissé derrière. Plutôt que de privilégier une transmission à sens unique, on encourage l’échange entre les individus afin que ceux-ci avancent en groupe tout en supervisant pour éviter les écarts. Chaque membre ayant ses intérêts et ses forces, il peut aider à un moment ou un autre ses camarades qui en font de même. Si cela prend le risque de créer une dépendance des uns envers les autres, une bonne communication et des affinités permettent une attention et un partage des connaissances qui devrait l’éviter.
Oui, il est possible de concilier un système d’enseignement standardisé afin de correspondre à un grand nombre d’individus en intégrant les particularités de ceux-ci. Néanmoins, la principale difficulté de celui-ci reste l’investissement nécessaire à l’accomplir ; tant du côté des enseignants que des étudiants, cela demande un réel intérêt et une implication dans leur apprentissage. Il peut sembler difficile de l’obtenir au sein du primaire voir du secondaire, à l’inverse du supérieur et de formations spécialisées, mais cela ne change pas réellement des difficultés que peut déjà rencontrer le système actuel et puis à cœur vaillant rien d’impossible alors haut les cœurs !
Néanmoins, cela implique également une volonté de remettre en question le système et de le changer. C’est un mouvement qui en est à ses débuts mais qui rencontre pas mal de résistances de divers partis qui ne nous intéressent absolument pas ici. Il pose également la question de savoir vers qui doit se tourner le système scolaire standardisé : vers les professeurs ou vers les étudiants ? Cette ouverture peut paraitre bête mais, si l’on y regarde bien, le système actuel vise à "faciliter" la tâche au professeur plus qu’aux élèves. Il n’a pas à s’adapter à eux quand bien même il est déjà en possession de ce qu’il doit leur partager et peut ainsi leur compliquer la tâche s’il ne veut pas faire d’efforts. Heureusement, beaucoup de professeurs aiment leur travail et font lesdits efforts mais le système actuel ne favorise pas cela et "mauvais prof" reste un plan de carrière. Un système tourné vers l’élève afin de s’assurer son apprentissage et son développement personnel ne serait-il pas plus adéquat ?

PS : faire une problématique sous forme de question pour y répondre à la fin, okay. Mais l’ouverture sous forme de question, c’est pour frustrer le lecteur ou… ?
Lucy
Lucy "Lucky" Prissy

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