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Simon Bates.

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Walter Jensen
Helena Boldarev
Simon Bates
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Message  Simon Bates Mer 16 Sep 2015 - 17:47


 
Simon Adam Bates
"I can be the subject of your dreams…
Your sickening desire…"
 

 
Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Simon Bates ! Mais pour l'instant on ne m'appelle pas beaucoup. Je suis né le 7 août 1991 à Greenwich, New Jersey. J’ai 23 ans, plus ou moins. Un petit secret pour la route ; je suis mutant et sévissant aux USA . On me dit souvent que je ressemble à Thomas Brodie-Sangster. Je fais partie du groupe Young Force,


 
pouvoirs
Simon est en possession d'un don qui lui permet de créer et contrôler les addictions et obsessions des gens qui l'entourent. Pour faire simple, il ressent tous les petits vices aux plus grandes addictions des individus. Toutes ces petites envies qui se cachent dans votre tête. Ces petites choses anodines ou plus honteuses. Oui, celles dont vous niez l'existence en public mais que vous ne vous pouvez vous empêcher de faire une fois isolé du reste du monde. L'amour pour votre chien. Votre passion pour le chant. Votre obsession pour les poils de vos jambes. Ou votre addiction aux films de culs. Et bien Simon sait ça. Il sait ça, et il s'en nourrit pour vous en nourrir à votre tour. Pour transformer ce désir anodin, ce plaisir innocent, cette passion enfantine en doux supplice ou véritable torture.

Dans le détails, Simon est donc capable de détecter le vice, le péché mignon d'une personne pour la transformer en véritable addiction - si tel n'est pas déjà le cas - qu'il s'agisse de dépendances à des substances addictives, des dépendances sans produit, ou encore des dépendances comportementales. Son don se traduit par trois étapes bien distinctes : la passion (faible) - l'obsession (moyen) - l'addiction (fort), l'élément permettant de définir dans quel niveau un sujet se trouve étant le degré de plaisir dans lequel se trouve le sujet. On est heureux d'aimer son chat. C'est dérangeant de devoir être en présence d'un chat pour être heureux. C'est un calvaire d'être obliger d'embarquer avec soit tous les chats que l'on croise avec cette peur constante d'en oublier un sur sa route, au point de ne plus pouvoir dormir s'il n'y a pas quinze ronrons autour de soi. Il peut aisément sauter d'une étape à l'autre, créer le manque quelques instants pour revenir ensuite au plaisir.

Lorsqu'il implante cette nouvelle "idée", cette dernière peut être perçue de deux manières différentes par son nouvel ôte. Soit comme un "corps étranger" que l'organisme cherchera à éliminer faisant que la personne comprend que cette obsession soudaine pour la quête des pierres triangulaires à reflets cuivrés n'est pas normale et n'était pas présente quelques instants plus tôt. Soit comme quelque chose d'innée et parfaitement acceptée par le sujet. Cette seconde variante nécessitant un plus grand degré de concentration.

Plus il côtoie une personne, plus son pouvoir imprime les détails de cette dernière, plus il est capable de capter ces petits désirs subtiles et inconscients. D'un autre côté, plus il reste en compagnie d'une personne, plus il devient sensible aux désirs de cette dernière et les partagera avec une plus grande intensité.

La seconde partie de son pouvoir réside dans l'énergie qui se dégage des obsessions et addictions de ses victimes. Cette énergie produite fonctionne à deux sens et pour l'instant il n'en a pas saisi tous les aspects. Le premier, l'attraction, est à la fois la plus simple et la plus complexe des deux formes de l'énergie. Cette dernière pourrait être visualisée comme une sorte de lien invisible qui se crée entre Simon et le sujet, une sorte de connexion.
Poussée à son maximum, cette forme d'énergie peut conduire à l'immobilisation du sujet par une sensation excessive de manque - ici le manque de Simon pour une dizaine de minutes (s'il reste en présence du sujet et en intense concentration) ou pour une dizaine de secondes (s'il s'en va, perd connaissance, est trop distrait). Ceci demandant une grande quantité d'énergie, il n'a pas vraiment eu l'occasion - ou la volonté - de chercher à la développer d'avantage.
Le second  sens est la répulsion. Sans grande surprise ici non plus, l'énergie agit comme une sorte de répulsif sur l'individu choisit par la création d'une sorte de bulle de protection autour de Simon empêchant l'individu de s'approcher - ou à défaut s'il est déjà dans cette "zone de confort" permet à Simon  expulser l'individu (ou objet) comme s'il venait heurter un champ de force. De même, il est capable de transformer directement cette énergie en champ de force qui viendrait heurter un individu (sans avoir besoin d'attendre que ce soit l'individu ou l'objet qui vienne heurter cette "bulle"). Un peu comme deux aimants qui se ré-pulsent, le tout accompagné d'une sensation aversion profonde pour le jeune homme. A savoir qu'il n'a pour l'instant aucune maîtrise réelle sur le diamètre de cette bulle de protection ni sur la violence de l'expulsion, puisqu'il s'agit principalement d'une activation instinctive qui échappe à son contrôle.

Si créer une dépendance à quelque chose dépend principalement de l'imagination de l'instant et ne lui pose pas de grands problèmes, il n'en est pas de même lors de la création d'une dépendance à quelqu'un. Ce quelqu'un évoluant hors de son contrôle et étant une donnée manquante, l'obsession à tendance à monter de manière crescendo pouvant conduire à un désir irrépressible de meurtre sur cette personne, quelque soit la volonté et les efforts pour s'y soustraire au delà d'une heure. Aussi évite-t-il de s'en servir, principalement lorsque le sujet de l'addiction est sa propre personne.

En règle générale il peut garder son influence à son point le plus élevé quelques heures et n'est pas obligé d'être en contact ou de rester avec cette personne par la suite. Dans les cas extrêmes et en fonction de l'état psychologique et la faiblesse de l'individu touché, les effets peuvent se faire ressentir sur deux ou trois jours - même minimes - avant de complètement se dissiper.
S'il peut aisément réduire à néant l'existence de ce qu'il crée, les choses ne sont pas si simple dans le cas d'une dépendance déjà présente. A défaut de pouvoir retirer un vice, il est capable en étant en présence de cette personne de le réduire jusqu'à l'illusion d'une inhibition. En contre partie, il se retrouve à son tour dépendant de cette chose jusqu'à un retour à la normale - ou un épuisement. S'il choisit de mettre fin à la réduction de la dépendance, il en subira encore les effets pour une durée allant de trois jours à quelques heures suivant l'effort fourni et l'intensité du vice.

C'est bien gentil tout ça, mais comment il le désactive ? Si vous avez la réponse, il est preneur. Car même s'il est arrivé que son pouvoir s'arrête, il n'a pas encore trouvé le bouton Off qui le permettait. Assez frustrant n'est-ce pas ? De savoir qu'on y est arrivé, mais de ne pas savoir comment.





caractère
Prenez une noix. Divisée la en deux et ôtez en le fruit. Recoller soigneusement les morceaux afin de la reconstituer parfaitement et observer le résultat. Une coquille vide. Maintenant, prenez un verre d'eau. Remplissez le - pas trop non plus, il ne s'agirait pas de le faire déborder trop vite ! Bien. Quittez l'évier, dirigez vous vers le plan de travail pourquoi pas, et renversez soigneusement le contenu du récipient afin de former une belle petite flaque. Une fois fait, attrapez l'éponge sur votre droite et tapotez là dans le liquide. Que voyez-vous ? Plus grand-chose ! L'eau a fini par être absorbée !

En fait Simon, c'est un peu ça. Une coquille vide qui est remplit par les autres. Un corps rempli d'idées et de désirs qui ne lui appartiennent pour la plupart même pas.
Le gars peu paumé dans le sens qu'il en est rendu à ne pas savoir lui-même s'il a prit cette glace au chocolat saupoudrée de noix de coco parce qu'il aime ça ou parce qu'un individu qui n'est pas lui en raffole.

Dans la vie, il n'est pas bien méchant. Non. C'est plutôt le gars souriant, un peu en retrait, qui est là pour ramasser les pots cassés. Celui qui essaye de motiver, tout en restant un peu trop réaliste. Celui qui donne la petite tape sur l'épaule pour féliciter. Le bon copain, même si pas très doué et peut-être un peu trop refermé sur soi par moment. En même temps, on peut le comprendre. Rencontrer une personne et ressentir son envie irrésistible de se curer un petit coup le nez tout en apprenant une obsession étrange pour les têtes de poupées décapités alors que cette dernière vous a à peine donner son nom, ça change un peu le regard sur l'humanité. En parlant d'humanité, il n'aspire pas à la sauver, ni même à la comprendre. Plus à y trouver une place, même s'il apprécie - du moins, c'est ce qu'il pense - ces moments de solitudes qu'il s'autorise.
Sa petite cervelle fonctionne bien, lorsqu'elle est suffisamment stimulée par autrui, ce qui permet d'étendre ses connaissances du fonctionnement d'un cerveau jusqu'à la description parfaite de la composition du meilleur shampoing pour caniches nains - noirs, de préférence. Entre les deux, c'est un peu du grand n'importe quoi.
Courageux, il peut l'être. Encore une fois, ça dépend grandement du degré de motivation autour de lui. Et niveau orientation sexuelle, c'est peut-être la partie la plus complexe étant donné qu'ici aussi, ça varie suivant son entourage.

Niveau humour, il n'est pas non plus des plus doués et a beaucoup de mal à gérer le 1er degré et le 10ème degré. Si bien qu'il peut en devenir vexant alors que son intention était simplement de détendre un petit peu l'atmosphère. Il ne s'est jamais non plus vraiment "lâcher" dans la vie, mais comme on dit : il n'est jamais trop tard pour être diagnostiqué attardé.



 
on ne change pas le passé
L'enfance peut-être une période compliquée, mais du plus loin qu'il se souvienne - à part peut-être d'amis - il n'a jamais manqué de rien. Des parents pas vraiment riches, mais présents. Une existence des plus banales. Un quotidien sécuritaire. En même temps, qui peut prétendre à l'extraordinaire en vivant à Greenwich, New Jersey ? La ville où il ne se passait rien. Vraiment rien. Les marécages. La nature. Les routes abîmées. Les dindons sauvages. Et les maisons abandonnées. Tant de lieux et de places qui très tôt étaient devenus ses terrains de jeux favoris. La boue était sa meilleure amie, à l'instar du seul autre enfant de son âge du quartier, qui préférait trainer avec les "plus grands" qu'avec un gamin qui faisait facilement bien trois ou quatre ans de moins. Pourtant, Simon n'était pas seul. Persuadé qu'il n'avait pas besoin des autres pour s'épanouir, il fuyait un maximum le contact humain pour s'enfermer dans un monde peuplé d'amis imaginaires. Aussi, il n'était pas rare de le surprendre assis dans l'herbe, les yeux dans le vide, en pleine discussion à sens unique. Mais ce n'était pas grave. Il n'avait que sept ans. Et à sept ans, c'est commun d'avoir des amis imaginaires, non ?

Commun, ça l'était moins lorsqu'il fut en âge d'entrer en Middle School. Aussi, ses parents trouvèrent judicieux de l'envoyer en pensionnat dans une ville un peu plus dynamique et jeune, avec dans l'idée d'ouvrir leur fils unique au monde. Sur le papier, l'idée était jolie. En réalité, Simon eu beaucoup de mal à accepter ce qu'il prit pour un rejet de la part de ses parents. Seul dans l'inconnu, il affronta son premier jour de classe parmi des enfants qui se côtoyaient depuis des années et autant dire qu'avec sa petite tête d'Ange, et ses airs de petit enfant chétif ne facilitèrent pas son adaptation. La platitude de sa vie n'en faisait pas quelqu'un d'intéressant, aussi il se contenta avec plaisir du statut d'invisible au milieu de ceux qui voulaient que les regards convergent toujours plus sur eux. Il ne partageait pas vraiment de points communs avec tout ces étrangers. Il n'avait jamais eu de véritable passion. Il n'était pas un artiste. Il n'était pas un sportif. Et n'était pas parmi les plus brillants en cours. Il ne s'y connaissait pas en football ni en baseball et ne passait pas des heures sur un ordinateur à jouer. Non. Et c'était ce qui le faisait se sentir différents. Ce qui lui faisait croire que quelque chose ne tournait pas rond chez lui.

Et il n'avait pas tord. Il lui fallut cependant attendre deux années de plus pour comprendre quel était ce problème. Il y avait cette fille. Une blondinette aux yeux noisettes avec une petite fossette à la naissance de la joue gauche lorsqu'elle souriait. Ce n'était pas la plus belle de la classe ou de l'école, mais c'était elle qui lui plaisait. Il aimait l'observer. Être près d'elle, même si elle ne prêtait pas attention à lui. Les filles ne prêtait jamais attention à lui de toute façon. Un jour pourtant, il fallut qu'un professeur ait l'idée stupide de donner un devoir maison en duo et de la blague d'un de ses camarades pour que son existence s'en retrouve bouleversé. Le tirage au sort les avait réunit. Aussi, à la fin du cours, ils s'étaient retrouvés devant les vestiaires pour s'organiser pour le travail. Souhaitant ranger quelques affaires, elle lui avait demandé de tenir son sac quelques instants. Il n'en avait pas fallut d'avantage pour que quelqu'un ne lance qu'une simple plaisanterie. « Simon est amoureux ! » Rien de plus. Rien de bien grave en soi. Mais en cet instant, le monde tout entier s'ébranla sur les épaules du jeune adolescent timide et réservé qu'il était. Honteux, il ne sut que faire d'autre en cet instant que de s'haïr. S'haïr comme il haïssait le monde. Comme il haïssait cette école. Comme il haïssait cette fille qu'il aimait. S'haïr au point que la seule pensée capable de traverser son esprit était le fait que justement, il s'haïssait.

Il ne les avait pas vu se regrouper autour de lui. Toutes ces têtes dont il ne connaissait d'ailleurs pas la moitié. Il ne les avait pas vu se resserrer doucement, l'encercler, le prendre au piège. Il ne voyait pas ces yeux ronds, presque maladifs posés sur sa propre petite personne. En réalité, il ne voyait qu'elle, qui comme au ralentit était en train de se retourner dans sa direction. Elle ne souriait plus. Elle était étrange. S'avançant un pas dans sa direction, il fit mine de lui tendre ses affaires qu'elle envoya à terre dans mouvement de bras. Puis la claque s'abattit sur sa joue. Sèche. Violente. Il resta interdit, la bouche formant un ovale tant la surprise était grande. Puis il y eu une seconde claque. D'une main inconnue cette fois. Puis une troisième. Autour de lui, le cercle d'élève se faisait toujours plus proche. « Hey ! » Une voix grave. Son professeur. Et alors que Simon voyait déjà en cet homme la personne qui le tirerait de cette situation absurde, quelle ne fut pas son incompréhension lorsqu'une main masculine le plaqua contre l'un des casiers. Une main qui se referma ensuite sur son coup. L'enfant voulut se défendre. En vain. Il était si petit, et l'autre était si grand. Sa dernière image fut cet air de drogué en manque qu'abordait son maitre. Puis il sombra dans le noir.

A son réveil, il était allongé à l'infirmerie. De ce qu'il venait de se passer, il n'en était pas bien sûr. La seule chose qui fut claire par la suite fut le renvoie du professeur, le procès de ses parents, et le verdict du tribunal. Ils gagnèrent de l'argent. Beaucoup d'argent. Sorte de dédommagement, ou pour acheter leur silence. Mais pour Simon, les choses allaient en s'aggravant. Il ressentait ces choses étranges en lui. Ces sensations désagréables. Ces manques pour des futilités. Ces aversions pour d'autres. Ces attirances douteuses. Et ces gens qui se mettaient à agir étrangement un peu partout. Était-ce le monde qui devait fou, ou était-ce lui ? Fatigué de chercher des réponses à ses questions, il tenta de mettre fin à ses jours un matin de printemps, en avalant un peu de tout ce qui était à sa portée sous le meuble de la cuisine. Trouvé bavant et agonisant sur le carrelage par ses parents, il passa quelques temps à l'hôpital. De toute évidence, il s'était raté, et la douleur qu'il ressentait à travers tout son corps semblait être le prix à payer pour sa bêtise. Finalement, il voulait vivre.

C'est ainsi qu'il fit la connaissance de Tom. Un gars un peu plus vieux qui s'avérait être son compagnon de chambre. S'ils ne se parlaient pas beaucoup au début, l'ennui les conduisit à se connaître comme deux frères. Une amitié qui perdura au-delà du nid hospitalier. « T'es un mutant. J'suis sûr. Je peux sentir ces trucs là. C'est mon don. » Un mutant. Si le fait que Tom soit oui ou non un mutant ne fut jamais vérifiable - et Simon en doutait pour une raison inconnue - l'adolescent se rattacha à cette idée pour justifier sa différence. Car si sa différence était bien réelle et non uniquement psychologique, alors peut-être que sa vie serait un peu moins chaotique. A son insu, Tom fut par la suite le cobaye de ses expériences, tout comme ce dernier fut celui qui lui donna le goût de la science et de la recherche. Car Tom, c'était un scientifique dans l'âme. De ceux qui passent leur temps libre - ou non - le nez dans les bouquins. Ce qui devint par le suite le quotidien de Simon. Plus il passait de temps avec son ami, plus il ressentait en lui le désir de s'instruire. Le besoin de s'irriguer de connaissances.

Aussi, lorsque Tom prit la décision de poster sa candidature pour le MIT, Simon en fit de même. Admissible pour entrer dans le département d'étude sur le cerveau et les sciences cognitives, il se rendit pour la première fois à Cambridge dans le Massachussetts pour passer son oral. Booster par la passion qu'il lisait en ces examinateurs, il fit sa rentrée quelques mois plus tard grâce à l'argent gagné lors du procès quelques années plus tôt. Il se servit de ses études pour creuser son propre cerveau à la recherche de l'existence ou non d'une super capacité, et si elle était bien réelle, de quelle manière il pourrait la contrôler. S'intéressant un peu plus à l'activité mutante de par ses recherches, il chercha à mettre en pratique ses théories sur le sujet avec lequel il avait le plus d'affinité et qui avait l'avantage d'être son colocataire. C'est ainsi qu'il commença à cerner ce qu'il était et à dessiner les contours de ce qu'il était capable de faire. Quand il annonça à son ami qu'il pensait réellement être un de ces êtres spéciaux qu'on voyait jusque dans les journaux, l'enthousiasme qui anima Tom se répercuta sur lui-même, ce qui accentua ses tentatives. Mais l'entente idyllique entre ces deux êtres devenaient de moins en moins supportable pour Simon, qui souffrait malgré tout de cette connexion invisible qu'il ne parvenait à faire taire. Après quatre année de vie commune, il prit définitivement la décision de faire ses bagages pour s'installer seul, à l'autre bout de la ville. Et pensant qu'il y retrouverait sa liberté et son autonomie de pensée, il y trouva le contraire. Ce n'était plus qu'une coquille vide. Perdue. Se rendant compte qu'il ne savait plus lui-même ce qu'il désirait ou non, ce qu'il aimait ou non, ce qu'il pensait ou non. Incertain sur qui et ce qu'il était, il passait ses journées au milieu de la foule, pour ne serait-ce que se sentir vivant.

De la Young Force, il en entendu parler dans un journal amateur pour la première fois. Et même si ce qu'on disait d'elle n'était rien de bien glorieux, l'intérêt que semblait y porter la jeune femme sur sa droite piqua sa propre curiosité. Il voulait les rencontrer. Non. Il devait les rencontrer. Avec eux, il en était sûr, il pourrait prendre un nouveau départ dans l'espoir de se trouver une bonne fois pour toute - à moins que ce soit le contraire.



 
derrière l'écran
Ailleurs je jouais un Nabot (Mais maintenant j'ai grandi). Alors une Tata sauvage est apparue. Elle a été gentille. J'ai eu peur. Je suis venue ici. J'ai vu le "duck face" de Mystique sur la cover. ça m'a fait de l’œil. Alors je me suis inscrite. Sinon j'aime bien les opossums (vivants).


 
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Dernière édition par Simon Bates le Mer 2 Déc 2015 - 23:42, édité 6 fois
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Message  Helena Boldarev Jeu 17 Sep 2015 - 0:15

Bienvenue Simon!

J'espère que tu vas bien t'amuser ici et bonne chance pour le reste de ta fiche! Wink
Helena Boldarev
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Message  Walter Jensen Jeu 17 Sep 2015 - 5:49

Bienvenue Simon !

Tu as un magnifique pouvoir de perv avec un gros potentiel trollage ! J'adore !

Bon courage pour la suite de ta fiche !
Walter Jensen
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Message  Alexandra Gruff Ven 18 Sep 2015 - 0:09

Très sympa le pouvoir!

J'ai hâte de voir le reste de la fiche! Shocked
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Message  Eloise Couthure Ven 18 Sep 2015 - 0:35

Bienvenue dans le meilleur groupe de la planète! I love you
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Message  Darryl Maywin Ven 18 Sep 2015 - 3:52

Et encore un troll...

Je savais que tu serais encore un être maléfique... vicieuse petite boule de... maléficité...

Tu te rends compte que le vice de Darryl c'est une addiction à la drague, au sexe et à la nudité ? Je m'approcherais jamais de toi, trop dangereux...

Bienvenu quand même dans notre bande de boulets
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Message  Simon Bates Mer 2 Déc 2015 - 23:46

Bon bon bon. Il m'aura fallu l'équivalent d'une vie, mais je pense avoir terminé ma fiche.
Je suis prête pour découper, modifier, remodeler, atomiser ce qu'il y aura à modifier.

Merci à vous pour votre accueil !
Tss ! Darryl, je suis sûre que tu m'aimes même sans le vouloir. Puis si tu veux, je peux t'en dégoûter de tes addictions moi What a Face
Simon Bates
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Message  Galactus Jeu 3 Déc 2015 - 14:17

Une bonne fiche en général. Très agréable à lire.

Bonne chance pour ton recrutement dans la Young Force. Cool
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