Iñigo "Gancho" Cazador
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Clark Kent
Ethan Scott
Iñigo "Gancho" Cazador
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Iñigo "Gancho" Cazador
Iñigo Cazador "Babidi bibidi BOOM !" Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Iñigo Cazador ! Mais on me connait aussi sous le nom de S’IL VOUS PLAIT PAS MON BRAAAAS ou parfois Gancho (le Croc de Boucher) Je suis né(e) le 2 Février 1967 à Los Angeles. J’ai 47 ans, plus ou moins. Un petit secret pour la route ; je suis carrément badass (et humain) et sévissant partout où il le faudra. On me dit souvent que je ressemble à Danny Trejo.. Je fais partie du groupe Indépendant,
on ne change pas le passé Iñigo est l’enfant de Merce Parredes et Diego Cazador. Diego était militaire et est mort lorsqu’il avait 5 ans dans une mission. Merce et lui allèrent vivre dans les quartiers pauvres et dangereux de Los Angeles, où elle ne s’occupait de lui que de manière très rudimentaire en vivant sur la pension. Elle devint obèse et il apprit plus dans la rue qu’à ses côtés. Il se mit très vite à détester sa mère et à la mépriser, enviant les mamans des autres. Iñigo était un garçon taciturne, calme d’apparence, jouant dans son jardin. Mais tout les garçons du quartier avait peur de lui car celui qui perturbait sa sérénité d’une manière ou d’une autre finissait roué de coup avec une violence rare. Un ballon qui volait dans sa direction, un cri trop prés de sa fenêtre ou un tag sur le seul arbre de leur petit carré de jeu et il y aurait forcément un poignet brisé. Néanmoins, l’un des enfants allait régulièrement l’embêter. C’était un garçon d’origine irlandaise dans le quartier sud-américain, il était roux, bouclé, avec des tâches de rousseurs pour à peu près chaque pore de sa peau. Ses yeux marrons étaient habité d’une malice qui semblait sans fin et ne se répercutait que dans son sourire carnassier, joyeux et fourbe. Dans le quartier, ils l’appelait Tiburiño, le petit requin. Il puait les emmerdes et les farces, et était un bagarreur vicieux presque aussi redouté qu’Iñigo. Tiburiño venait régulièrement chercher les ennuis avec Iñigo, et tout le monde se demandait pourquoi il y avait une telle guerre de territoire. Jusqu’au jour où, à bout de colère, Iñigo alors âgé de 10 ans lui crie «Je vais te tuer !». Avec un grand rire, Tiburiño lui rétorqua «Moi qui voulait t’épouser.» Contre toute attente, Iñigo, exaspéré, ne sut que faire d’autre que rire avec lui. Et puis ils se battirent. En riant. Le lendemain, ils étaient les meilleurs amis qui puisse être et mettez le quartier sans dessus-dessous en conjuguant leurs différences radicales. Un duo infernale qui dura trois ans, devenant de plus en plus violent, commettant vol, racket, deal et autres délits. La vie était belle, pleine de bonbons, de rêves de gangster dans leurs cachettes secrète d’un appart’ abandonné. Ils étaient des terreurs mais toujours des enfants, ils se disputaient pour savoir lequel serait Superman en grandissant et qui coucherait en premier avec Ines, «la fille qui avait déjà des seins». À 13 ans ils furent approcher pour rentrer dans un gang. C’était le rêve de tout gosse du coin, même fan de superhéros : dans la survie on voit seulement la force de Superman, pas ses idéaux. Ils furent introduit avec d’autres enfants. La mascotte du gang était une étrange petite fille qu’ils appelaient la Pequeña Muerte, la petite mort, et qui disait être une protectrice des enfants. Elle portait un voile de dentelle et son visage était maquillé comme un crâne du carnaval mexicain, mais seulement de couleur blanche et de fleurs sur sa peau tannée et ôcre. Elle faisait d’eux des rois, les mettaient en valeur et leur assurait succès, argent et popularité. Elle protégeait leurs proches et améliorait leur train de vie. Jusqu’à un état d’adoration fanatique. La Pequeña Muerte était tout pour eux, une amie, une chef, une sainte, une soeur, une mère, une déesse… Certains étaient près à mourir pour la protéger. Et parfois, elle leur demandait. Quand des ennemis devenaient trop important, elle offrait son baiser à l’un ou deux des enfants et leur demandait de la protéger. Les enfants devenaient complètement immortels pendant 24 heures et allaient dévaster des gangs entier pour l’amour de leur déesse. Cependant, ils finissaient toujours par mourir une fois les 24h écoulez, dans des accidents tragiques. La Pequeña Muerte pleurait pendant des jours, car c’était la malédiction de son baiser : seul celui qui n’espérait pas lui obéir pour obtenir un deuxième baiser, celui qui le faisait par pur amour, pouvait survivre au delà des 24 heures et échapper à son ennemi, la Granda Muerte, qu’elle pouvait tromper de ses lèvres. Un jour, la Pequeña Muerte approcha Iñigo et Tiburiño. Elle leur demanda de la protéger, car un homme était en ville et lui voulait du mal. Un homme très méchant. Tiburiño était réticent, il n’avait pas une confiance totale en la Pequeña, mais Iñigo accepta fanatiquement le baiser de sa reine pour être son chevalier servant. Il avait besoin de cette figure de douceur et y était très faibles. Tiburiño le suivit par amitié. Ils suivirent l’homme toute la journée, le traquant jusque dans un hôtel, des flingues dans leurs pantalons. Ils portaient les maquillages de la Pequeña et se jetèrent dans sa chambre en tirant de partout. Mais l’homme avait remarqué leur manège dans la journée et les attendez le pied ferme. Il les assomma tout les deux avec un piège bricolé avec le lit et des cordes. Ils se réveillèrent en pleine nuit, ligotés. La lumière orange des réverbères étaient la seule qui éclairait la pièce. L’homme était en face d’eux. Un arabe au visage buriné, qui les regardait d’un air triste. Il les avait débarbouillé de leurs maquillages. - Vous avez reçu son baiser. Ils se regardèrent tout deux et Iñigo éclata de colère. - Oui, et tu pourras pas nous tuer ! La Pequeña nous a rendu immortels pour t’empêcher de lui faire du mal ! - Savez-vous qui est la Pequeña ? Demanda l’homme en soufflant de la fumée de sa bouche, une cigarette à la main. - C’est notre déesse et not… La main de l’homme frappa le visage d’Iñigo avec violence, le faisant taire sur le coup. Il lui attrapa les cheveux et le souleva. - La Pequeña n’est la déesse de personne, surtout pas de vous. C’est un monstre. Une créature qui se nourrit de la perte d’innocence, et son baiser est une malédiction. C’est pour ça qu’elle vous pousse à tuer. Pour ça que vous mourrez dans les 24 heures qui suivent… sauf si vous ne perdez pas votre innocence d’ici là. Ne tuer personne, voilà le remède, petit cons ! Il se rassit avec un air désespéré. - Je la traque depuis le Mexique. Alors vous allez me dire où elle se cache. Et vous allez rester là jusqu’à ce que vous crachiez le morceau. Tiburiño n’attendit pas. Il eût tôt fait de révéler à l’homme tout ce qu’il savait, sous le regard et les insultes indignés d’Iñigo. L’homme s’en alla en les laissant ligotés dans la chambre. Iñigo, ne se laissant pas faire, finît par trouver le moyen de se détacher. Il frappa Tiburiño en larme et après l’avoir détaché s’enfuit pour aller retrouver et sauver celle qu’il adorait. Quand il arriva dans la planque du gang, un combat semblait faire rage. Les autres enfants étaient là, dehors, ébahis et effrayés, et ils tentèrent de retenir Iñigo. Mais il entra. Ce qu’il vit était à glacer le sang. L’homme se tenait au dessus de la Pequeña Muerte, la rouant de coups avec un presse-papier alors que son pistolet gisait à ses pieds, brisé. Mais surtout, la «déesse» avait désormais l’apparence d’une créature décharnée et grisâtre, avec de longues griffes et des yeux vides. De la fumée noire sortait de chacune de ses exhalaisons et elle poussait des cris que nul humain n’aurait pu émettre. À la vue d’Iñigo cependant, sa voix redevint celle qu’il aimait tant, si douce, et elle l’implora de la sauver. Ne sachant que faire, Iñigo attrapa un couteau et allait s’approcher de l’homme, qui se retourna pour l’en empêcher. Ce moment suffit à la créature pour prendre avantage sur lui et le repousser, tentant de l’étrangler pendant qu’Iñigo se mettait à pleurer, insulté par celle qu’il croyait sa bienfaitrice. - Tu vas mourir petite merde inutile, je vais te tordre les yeux dans leur orbite et te faire voir l’intérieur de ton crâne pendant que j’y enfoncerais mes doigts ! Deux coups de feu retentirent. La tête de la Pequeña sembla se vider d’un gaz immonde avant de s’affaisser comme un soufflet raté. Son corps tomba au sol dans un bruit mou écoeurant. Tiburiño, portant les deux pistolets qu’ils avaient laissé à l’hôtel, se tenait à côté d’Iñigo. L’homme se jeta vers lui en criant «Qu’as-tu-fait !?» mais Iñigo lui avait déjà pris la main et l’emmenait avec lui dans les rues. Ils retournèrent se cacher dans l’ancien appartement qui leur servait de QG, où Tiburiño ne cessait de dire qu’il avait perdu son innocence, qu’il allait mourir. Iñigo le rassurait, le remerciant de l’avoir sûrement sauvé, de lui avoir ouvert les yeux, lui refilant l’alcool qu’ils avaient gardé caché dans ces décombres, et lui disant qu’ils vivraient vieux et qu’il le laisserai être Superman. Au matin, il s’éloigna pour aller au toilettes. À ce moment là, le toit de l’appartement s’écroula, tuant Tiburiño sur le coup. Quand l’homme les retrouva, il était midi passé et Iñigo tenait toujours la main de Tiburiño dans la sienne. L’homme se présenta comme Djamal Karrim, agent spécial du B.P.R.D. Il lui expliqua l’histoire de la Pequeña et de ses six soeurs, las Hermanas de la Inocencia, les soeurs de l’innocence, des monstres sud-américains dont il chassait les repères. Il décida de prendre Iñigo sous son aile, se sentant redevable du sort de Tiburiño, faisant la promesse qu’ils essaieraient tout deux d’avoir autant de courage que ce dernier. Djamal devint un agent de résidence à L.A. et entraîna Iñigo à diverses techniques, aux connaissances occultes, le préparant pour le concours du B.P.R.D. En même temps, Iñigo devint un vigilant traquant les créatures surnaturelles opérant dans les gangs de Los Angeles, laissant ses victimes pendre sur un croc de boucher aux yeux de tous et gagnant le nom de Gancho de la part du public. Il était craint des monstres et des mafieux. À 19 ans, il était devenu agent de terrain pour le B.P.R.D et travailla en tandem avec l’agent Karim. L’une de leurs premières mission fut liée à Santa Dolores de Furiosa, et il commença à confectionner ce qui allait devenir son arme signature, l’Ultime Massue de la Patiente Miséricorde. Ils exorcisèrent le poltergeist de Mme Lemarais, tuèrent Apapotetocl le Jaguar, empêchèrent la dépouille de Yaram Patik d’être profané par des adorateurs de Kali, chassèrent les spectres de vélociraptor des égouts de Manhattan, et bien d’autres missions dangereuses. Puis un jour, alors qu’Iñigo avait 26 ans, ils furent dépêchés dans une mission en Amérique du Sud, en Amazonie, où plusieurs villages auraient signalé le retour d’une tribu d’enfants cannibales pouvant disparaître mystérieusement dans les bois. Tribu nommée les Piranhas de Mâ. Mâ était le nom de l’une des Soeurs de l’Innocence, et ils partirent sans hésiter. Il explorèrent les villages, tentèrent de trouver un schéma aux enlèvements, explorèrent la forêt dans tout les sens sans rien trouver. Jusqu’à ce soir où leur campement fut encerclé en pleine nuit par un groupe d’enfants nu et immobiles. Avant qu’ils aient le temps de réagir, Djamal et Iñigo furent séparés, et quand la horde d’enfants se dispersa de nouveau Djamal avait disparu. Iñigo ne pu faire autrement que d’attendre le jour mais il réussit à suivre les traces des enfants jusqu’à un cénotés : une sorte de petit lac dans la forêt qui est en fait une grotte inondée s’étendant sur plusieurs kilomètres de tunnels sous-terrains, parcourant les sous-sols de l’Amazonie comme des catacombes aquatiques inexplorées. Iñigo acheta du matériel de plongée à un village proche et tenta d’explorer le cénotés. Mais ce dernier était trop grand, trop labyrinthique, et il se retrouva coincé dans le noir, sans air. Il se réveilla dans un village sous-terrain, attaché à un stalagmite, entouré de dizaines d’enfants nus silencieux. Au milieu d’eux s’avança leur chef, une enfant habillée de vêtements pompeux et de colifichets qui semblaient être fait des vêtements de tout les humains qu’ils avaient capturés et manger au fil des ans. Il s’agissait de Mâ. Mâ ne semblait pas agressive, ni néfaste, mais il se méfiait de ce genre d’apparence, il avait connu sa soeur. Et elle le savait, elle repéra sur lui la marque du baiser de Pequeña, touchant du doigt l’endroit exacte où ses lèvres s’étaient posées. Elle lui expliqua que les Piranhas n’étaient pas des cannibales, ils étaient les hommes et les femmes capturés. Ils avaient, comme elle, le don de voir le degré d’innocence et de bienveillance des gens, et les élus étaient ramené à elle, et elle leur offrait une seconde innocence. Elle en faisait des enfants à nouveau, en attendant qu’ils puissent de nouveau recouvrir le monde de leur bonté d’âme. Après la fin du monde. Elle lui montrât alors, sur une stalagmite géante, un calendrier Maya. Quand il le regarda, Iñigo fut transporté dans une vision de fin du monde, au milieu de laquelle se tenait une ombre informe dans un brouillard de sang et de fumée. La forme lui parla, avec une voix brouillée, lui disant être Oêc, «le Secret», celui-qui-ne-sait-pas-son-rôle : la créature surnaturelle qui causera la fin du monde par un acte insignifiant et ne peut être révélé comme Oêc que de son vivant. Il nomma aussi Iñigo, Utamac, le Chasseur. Celui qui devait tuer les créatures surnaturelles jusqu’à ce qu’il trouve Oêc. Quand il sortit de la vision, Mâ se tenait contre lui. Elle disait qu’elle savait qui il était. Utamac. Celui-qui-survit-au-baiser-de-sa-reine. Celui qui n’a pas besoin de retrouver son innocence d’enfant, car il peut empêcher Oêc de devenir ce qu’il est, en tuant les créatures surnaturelles jusqu’à ce qu’il lui soit révélé. Pour vérifier ses dires, elle lui met autour du coup Viejo, un shaman mexicain qui était venu la voir pour retrouver son enfance, mais qu’elle avait maudit sous forme de tête réduite à devoir servir Utamac si un jour elle le rencontrait. Et en effet, Viejo s’éveilla une fois autour du coup d’Iñigo. Iñigo resta plusieurs jours attaché à son stalagmite, et chaque jour Mâ venait lui demander si il acceptait de devenir Utamac et de servir sa cause, tuer tout les êtres surnaturels sur son chemin jusqu’à trouver le bon, pour sauver le monde. Chaque jour il n’avait que Viejo pour discuter, qui l’agaçait au plus haut point, alors que des enfants nus l’observaient en silence. Chaque jour il revoit des visions provenant du calendrier, ou l’esprit d’Oêc le supplie de le tuer… Au bout de dix jours, il accepta sa destinée. Mâ le libéra, ses armes lui furent rendu. Pendant un instant, il envisagea de tuer Mâ, mais l’un des enfants s’interposa en levant les bras, le regardant avec bienveillance. Il reconnût en lui Djamal Karrim, son mentor… avant qu’il n’ait le temps de lui poser des questions, Mâ lui fit un baiser et il se retrouvât dans le noir. Il se réveilla en dehors du cénotés, avec Viejo autour du cou. Il rejoignit le village pour apprendre qu’il avait disparu pendant deux mois, mais à son approche plusieurs villageois d’origine aborigène murmurait «Utamac». Pendant l’année qui suivit, avec l’aide de Viejo, Iñigo retrouva et élimina les cinq autres soeurs de Mâ à travers toute l’Amérique du Sud : Rû, qui dévorait les enfants morts-nés en Bolivie. Pûli, qui volait les âmes des victimes d’injustice au Brésil. Bâmec, qui dépucelait les jeunes gens et les rendaient infertiles à la pointe du Chili. Toblàr, qui hantait les rêves des meurtriers libres jusqu’à ce qu’ils se suicident en Colombie, et enfin, le conduisant au Mexique, Azalë, qui poussait les parents les plus innocents à l’infanticide. C’est après cette dernière qu’il fut rejoint, au Mexique, par l’un des Piranha de Mâ. Il portait dans ses bras un nouveau-né. Son enfant. Sa fille, conçue magiquement par Mâ avec le baiser qu’elle lui vola. Le Piranha ouvrit la bouche, sans la bouger, et la voix de Mâ sortie de sa gorge «Prouve ton dévouement, fait de cet enfant ce que le monde a besoin». Iñigo nomma l’enfant Luz. Non sans dispute avec Viejo qui voulait la nommer Patsy-Patte-en-l’air. Il élevèrent tout les deux l’enfant avec beaucoup de soin, et, à son étonnement, beaucoup d’amour. Il arrêta sa quête pour elle, l’entraînant dés ses 11 ans à la survie, au combat et à la traque pendant que Viejo l’initiait aux dessins animés, aux comics et à l’occulte. Luz vécu heureuse avec ses deux papa bizarres, dans une caravane de plus en plus tuné. À 16 ans, elle l’accompagna dans sa première mission. À 17 ans, elle tua elle-même le vampire Edward Cullen alors qu’il essayait de la séduire d’une manière ridicule, lui disant avant de le décapiter « je sais ce que tu es » avec un regard complètement dénué de sentiment. Ils étaient une équipe du tonnerre et elle mettait de la joie et de l’amour dans la vie d’Iñigo. Mais à l’aube de ses 20 ans, trois Piranha vinrent à la rencontre d’Iñigo, et lui dirent de concert, avec la voix de Mâ, qu’il l’avait déçu et que son dévouement était faible. Il compris alors que Mâ ne voulait pas le voir éduquer sa relève, mais voir si il était près à tuer sa propre fille. Refusant, la voix de Mâ gronda un sortilège dans la gorge des enfants Piranha, utilisant Viejo contre son gré pour obliger son corps à tuer Luz. Il revint à la caravane et l’attaqua sauvagement, le combat fut terrible, et il lui creva l’oeil droit de l’un de ses poignards. Mais Luz avait été entraîné par lui, elle connaissait ses techniques et avec l’aide de Viejo qui combattait le sort du mieux qu’il pouvait, elle réussit à lui enfoncer sa propre machette dans le coeur, le tuant sur le coup. Viejo, toujours conscient, eut une dernière discussion avec Luz. Il lui promit de ne jamais utiliser ses pouvoirs pour la traquer ou l’attaquer, et lui ordonna de s’enfuir maintenant qu’elle avait tué son père. Ce qu’elle fit, à contre-coeur, pleurant du seul oeil qui lui restait, pensant avoir tué l’un de ses pères et abandonné le second. Mais Viejo était obligé par contrat avec Mâ de ressuscité Iñigo. Cette résurrection avait toutefois un prix : Iñigo, flottant dans l’au-delà face à l’image qu’avait Viejo de son vivant, devait choisir d’oublier l’une des personnes les plus cher à son coeur. L’effacer totalement de sa mémoire. Persuadé d’avoir tué sa propre fille, ce que Viejo ne démentît pas, il préféra tout oublier, oubliant du même coup qui l’avait tué. Viejo ne lui révéla jamais, protégeant Luz comme il l’avait promis. Iñigo passa ensuite trois années à traquer les créatures surnaturelles du désert Mexicain et élimina même le héros El Mystico II. Pourchassé par les Luchadores pour ce crime, il quitta l’amérique pour parcourir le monde entier pendant deux ans, en répandant mort, poudre et flammes sur son passage, se créant un réseau, et laissant ses victimes accrochés à des crocs de boucher pour que le B.P.R.D. sache que Gancho était de retour. Il décida alors qu’il était temps de s’en prendre un peu plus aux surnaturels médiatisés, à ces héros magiques, et fit une liste de ses cibles…
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Dernière édition par Iñigo "Gancho" Cazador le Lun 1 Déc 2014 - 19:51, édité 2 fois
Iñigo "Gancho" Cazador- Messages : 26
Date d'inscription : 19/11/2014
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Re: Iñigo "Gancho" Cazador
HMMMM MACHETEEEEEE
Désolé fallait la faire voilà c'est fait. Bienvenue .
Désolé fallait la faire voilà c'est fait. Bienvenue .
Ethan Scott- Messages : 617
Date d'inscription : 11/11/2014
Re: Iñigo "Gancho" Cazador
Cette fiche va être drôle à lire au final.
Bonne présentation.
Bonne présentation.
Clark Kent- Messages : 424
Date d'inscription : 30/10/2014
Re: Iñigo "Gancho" Cazador
Bienvenue le tueur mexicain.
Riley Charles Damson- Messages : 79
Date d'inscription : 16/11/2014
Localisation : New York
Re: Iñigo "Gancho" Cazador
Bienvenue à toi Je suis impatient de lire ton histoire. Je me régale d'avance
Slade Wilson- Messages : 536
Date d'inscription : 27/10/2014
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Re: Iñigo "Gancho" Cazador
Bienvenue à toi, ou à vous plutôt.
Attention avec tous ces couteaux de ne pas te couper
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Henry P. McCoy- Messages : 121
Date d'inscription : 22/11/2014
Re: Iñigo "Gancho" Cazador
J'ai achevé ma fiche, prêt pour l'abattoir !!!
Merci à tous, impatient de vous taillader !
Merci à tous, impatient de vous taillader !
Iñigo "Gancho" Cazador- Messages : 26
Date d'inscription : 19/11/2014
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Re: Iñigo "Gancho" Cazador
Bon tu m'as encore survécu. Fait attention pour ne pas faire trop de grosbillisme et ne massacre pas tout le monde. Excellente fiche!
Bonne survie!
Bonne survie!
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