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Iñigo "Gancho" Cazador

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Clark Kent
Ethan Scott
Iñigo "Gancho" Cazador
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Message  Iñigo "Gancho" Cazador Mer 19 Nov 2014 - 20:23


  
Iñigo Cazador
"Babidi bibidi BOOM !"
 

  
Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Iñigo Cazador ! Mais on me connait aussi sous le nom de S’IL VOUS PLAIT PAS MON BRAAAAS ou parfois Gancho (le Croc de Boucher) Je suis né(e) le 2 Février 1967 à Los Angeles. J’ai 47 ans, plus ou moins. Un petit secret pour la route ; je suis carrément badass (et humain) et sévissant partout où il le faudra. On me dit souvent que je ressemble à Danny Trejo.. Je fais partie du groupe Indépendant,


  
pouvoirs
Iñigo est un humain, il possède cependant un entrainement physique qui le pousse aux maximum des capacités humaines dans sa force physique, sa vitesse, ses capacités acrobatiques et sa résistance à la douleur. Il a reçu la formation d’un agent de terrain du B.P.R.D et en retient un grand nombre de capacités et connaissances dans divers domaines :

Expert du combat à main nue : Iñigo est un combattant exceptionnel avec ses seuls poings. Il maîtrise le Muay Thai et le Judo, mixé avec sa grande expérience du combat de rue. Son style de combat est fait pour infliger le plus de dégâts possible en peu de temps et à pour but la mise à mort plutôt que la capture.

Expert en combat à l’arme blanche : Iñigo a appris à manier les lames dés sa plus « tendre » enfance, particulièrement les combats au couteau et à la machete. Il s’est spécialisé dans cette pratique lors de ses années au sein du B.P.R.D, apprenant le lancer de couteau avec une virtuosité certaine.

Expert du combat à l’arme à feu : Iñigo a reçu une formation lui permettant d’utiliser n’importe quelle arme à feu conventionnelle, du pistolet au lance-flamme en passant par la mitrailleuse et le bazooka. Il possède une prédilection pour les armes de mi-distance comme le fusil à pompe et les pistolets semi-automatiques. Il reste un bon sniper mais méprise généralement ce type de technique. Il sait aussi se servir d’une arbalète.

Expert en explosifs et en pièges : Iñigo sait se servir des grenades à main et construire une bombe ou un cocktail molotov. Ce n’est pas un démineur professionnel mais il sait se débrouiller avec les appareils les plus simples. Il sait construire des pièges de toutes sortes et en désamorcer la plupart, ainsi que les repérer.

Expert en technique de chasse : il peut traquer n’importe quoi dans n’importe quel environnement, urbain, enneigé, forestier, sa spécialité étant la jungle.

Expert en surnaturel : Il a étudié la cryptozoologie, les morts-vivants, la mythologie, l’exorcisme et la sorcellerie. Il ne s’agit que de connaissances, Iñigo n’a pas l’énergie magique qui lui permettrait de jeter des sorts, mais il connait les techniques, les faiblesses, les habitudes et les capacités de la plupart des créatures surnaturels plus ou moins conventionnels. Il continue de lire et de se renseigner à ce sujet avec obsession.

Viejo : Viejo est une tête réduite indestructible et immortelle possédée par l'esprit d'un ancien shaman mexicain qu’Iñigo porte autour du cou. Viejo est conscient et douée de parole. Il possède de nombreux pouvoirs qu’il met plus ou moins à la disposition d’Iñigo. Premièrement, il a le pouvoir de traquer les créatures surnaturelles et de les identifier. Pour cela, elles doivent être dans un rayon de 80 km. Pour les identifier, il doit être dans un rayon de 3 km.
Viejo peut aussi absorber la magie qui est dirigé contre lui ou Iñigo. Il ne peut pas absorber la matière ou l’énergie cependant, il ne pourra donc pas absorber des objets déplacés par télékinésie ou des éléments maîtrisés par magie, mais pourra en revanche absorber une énergie crée par la magie (comme du feu). En outre, tant qu’il est autour du cou d’Iñigo, il est impossible d’utiliser des sorts pour lire leurs pensées, les détecter, les paralyser, les téléporter, les faire souffrir. Il absorbe les malédictions vaudous aussi bien que les tentatives d’illusion.
Viejo peut aussi jeter des sorts si il est nourris du sang d'Iñigo ou si il a absorbé de la magie il y a peu de temps. La puissance des sortilèges possibles dépendent de la quantité de sang ou de magie absorbée. Néanmoins, le sang est plus « nourrissant » pour lui, il doit absorber beaucoup de magie pour avoir autant d’énergie qu’avec du sang.
Parmi ces sorts on compte ceux qui permettent de fabriquer les grigris comme les grenades à locustes ou les totem-mordeur (avec les ingrédients appropriés - voir plus bas) mais aussi des sorts plus directes, dont voici la liste :

(Les chiffres entre parenthèse indique le sang consommé sur une échelle de 1 à 10.)

- Cracher un nuages de souffre inflammable devant lui. (4)
- Augmenter légèrement les capacités physiques d'Iñigo. (3)
- refermer une plaie ou recoller un membre. Pour cela, il doit boire le sang qui s’échappe de la blessure elle-même (ce qui peut être impossible selon l’emplacement de la blessure, dans le dos par exemple) et ce en quantité proportionnelle à la blessure. Il la recoud ensuite avec un de ses cheveux. (x)
- Créer des illusions effrayantes. (1)
- Ramener un mort sous formes de zombie obéissant. (3).
- Contrôler certains animaux (grenouilles, serpents, coyotes, chiens, rats, scolopendres et mouches). (1)
- Ouvrir un portail à travers une dimension mortuaire pour se téléporter. Ce sort n’est pas à prendre à la légère, la dimension, du nom de Cénotés, est composée d’eau croupie remplie d’ossements, dans une obscurité quasi-totale. La téléportation est instantané pour les personnes extérieur à la dimension, mais elle dure un certains temps dans la dimension mortuaire (dépendant de la distance à parcourir). Pour la traverser, Iñigo doit retenir sa respiration et ne dois pas avaler une seule gorgée de l’eau, sinon il sera possédé par les esprits prisonniers de la dimension. Seul Viejo peut lui permettre de traverser ce lieu et d’en ressortir indemne à l’endroit qu’il voulait rejoindre. Il ne peut rejoindre que des lieux marqués du Symbole de Cénotés. Le danger de la dimension Cénotés est équilibré par un coup réduit en sang, ce qui permet à Iñigo de fuir des situations délicates même avec de lourdes blessures. (1)
- Ressusciter Iñigo. Ce dernier sort est très particulier, car il laisse Iñigo très faible à son réveil (lui interdisant de reprendre le combat immédiatement) et ne soigne pas les fractures ni ne régénère les membres coupés. De plus, à chaque fois qu’Iñigo est ressuscité il offre à Viejo le souvenir d’un être cher. Iñigo ne pourra pas être ressusciter si la cause de sa mort est d’avoir donné trop de sang à Viejo. Il ne peut pas non plus être ressusciter si sa tête est séparés de son corps, mais si quelqu'un la recolle au corps avec Viejo dans les 24h alors la résurrection sera possible. (x)

Équipement :

Iñigo se déplace dans une imposante moto à 3 roues. Cette dernière est tout terrain, elle est équipé de grigri qui la protège contre les possessions d’objets et sa peinture est empreinte d’eau bénite. Elle possède des pointes sur les pneus, ainsi qu’un guidon recouvert d’argent pure. Iñigo vit dans un camping-car. Ce camping-car est tout aussi protégé, même peinture, poignées en argent, grigri de partout, lampes UV à l’intérieur, vitres et carlingues pare-balle. Les phares émettent des rayons UV, le klaxon est un chant exorcisant, il y a un tuyau à eau bénite sur le toits et des talismans gravés dans chaque écrou et chaque vis du moteur. Ultime gadget : une espèce de moissonneuse-batteuse peut s’extraire du pare-choc avant. Il emmène rarement son camping-car en zone urbaine.

Il possède un grand nombres d’armes et de munitions dans son camping-car : deux fusil à pompe, quatre revolvers automatiques, un fusil de précision, une mitrailleuse, des couteaux de lancer, deux machettes, et des couteaux de combats.

Et enfin : l’Ultime Massue de la Patiente Miséricorde, une batte de baseball gravée des poèmes exaltés de Santa Dolores de Furiosa, la nonne qui tint tête à un régiment infernal pendant sept jours dans une chapelle abandonnée, et tailla cette batte dans le bois de la statue de la Vierge. Elle fut plus tard « améliorée » par les trouvailles d’Iñigo. Tout d’abord sertie de clous qui servirent à la crucifixion de Madame Lemarais en 1814, esclave accusée à tord de sorcellerie pour avoir soigné la malaria de son maître d’un simple baiser, puis sanctifiée post-mortem ; et les crocs d’Apapotetocl le Jaguar, monstre démonophage qui dévasta tout une mission d’exploration parce qu’ils revenaient possédés d’un temple maudit. Son manche est emballé dans un morceau du turban de Yaram Patik, fakir et magicien qui vécu pendant 5 ans au sommet d’un temple en ruine sans en descendre, murmurant sans discontinuer un chant pour éloigner les démons. Sous ce turban est coincé un talisman égyptien de protection des morts qui appartenait à Panya, la momie vivante. Une mèche de cheveux de Baku, le ronin décapité qui traqua le vampire qui l’avait tué 7 ans après sa mort, est accroché au bas du manche. Elle retient en pendentif la dernière Cuillère de Roselyne Vatenguére, fermière française qui terrassa son mari loup-garou avec l’argenterie de sa belle-mère. Enfin, accroché à une patte du lapin qui détectait les fantômes, un badge «I love you mom» acheté par Iñigo pour 0,50c.
La batte est comme un bouquet garnie d’artefacts. Elle est indestructible : elle ne brûle pas, ne se brise pas, ne prend aucune éraflure tant qu’elle est brandie par un être habité par la volonté de pourchasser le surnaturel. Elle peut frapper tout ce qui est magique et lui infliger des dégâts, y compris les fantômes, les sortilèges et les boucliers (il faudrait quand même 2 heures de matraquage acharné pour briser un sortilège de protection lancé par un sorcier comme Strange, pour donner une unité de mesure).

Enfin, il possède le savoir, avec Viejo, de créer des armes grigri en échange de son sang. Ces armes particulières sont comme des pièges ou des munitions magiques. Il en possède un nombre souvent très limité à cause de la nécessité des ingrédients, généralement pas plus de deux de chaques pour les grandes occasions…

- Grenade à Locuste : le corps boursouflé d’une grenouille venimeuse, remplie d’oeuf de sauterelles et de divers ingrédients. Un talisman est accroché autour de la tête. Ce talisman est comme une goupille : en le retirant il a 3 secondes pour lancer la grenouille avant qu’elle n’explose pour libérer un essaim de sauterelles carnivores.

- Grenade à Constriction : un oeuf d’anaconda consacré de signes rituelles avec du sang de chupacabra. Il se brise et crée une brume qui s’enroule autour de la cible et la paralyse pendant un très bref instant, mais suffisant pour prendre l’avantage ou s’échapper.

- Totem-Mordeur : une espèce de poupée de bois, de paille et de divers ingrédients, avec une dent de loup à l’intérieur, ensorcelée par Viejo. Le bas de la poupée est équipé d’un pic de métal qui permet de le planter dans le sol ou autre. Il agit comme une tourelle : tout ceux qui se trouvent dans un rayon de 5m autour de la poupée après qu’Iñigo ai dit le mot «lobo» reçoivent des morsures de loups sur leur corps, venues de nulle part. Lui compris.

- Totem-Hurleur : le même modèle que le Totem-Mordeur mais contenant un bec de hibou. Il provoque l’illusion d’un cri dans la direction où son visage est orienté qui provoque une terrible envie de fuir chez tout ceux qui viennent face à lui.

- Masque-Soldat : un masque rituel qui, une fois lancé, va amonceler tout ce qu’il trouve d’inerte à sa portée (objets, cadavres, matériaux) pour se former un corps difforme et attaquer sauvagement les personnes proches. Il continue d’amalgamer de plus en plus d’objets, devenant de plus en plus gros et puissant à chaque tour. Détruire le masque rompt le sort.

- Masque-Trompeur : appliqué sur le visage d’une personne, il l’obligera à révéler la vérité. Se détruit après trois questions.
caractère
Iñigo : croyez-le ou pas, Iñigo est un homme qui aime la tranquillité. Il aime le travail bien fait, ou en tout cas bien fini, et le plus rapidement possible pour pouvoir retourner à ses vrais passions : l’élevage de grenouilles et les bonsaï. Il aime se ressourcer dans ces havres de paix, en écoutant des tango argentins aux sons mélancoliques, et il pleure devant les films d’auteur et les romans de gare. Il n’a que dédain pour la science-fiction et les films d’actions. L’action, c’est un travail, le surnaturel une dévotion, la violence son élément de naissance. Ce sont des devoirs, et la tranquillité est son droit.
Mais quand il s’agit d’être violent, il sait y faire. Là aussi, il s’agit d’une forme de tranquillité : en laissant exploser sa colère dans le travail il se l’épargne à la maison. Mais quand il entre en rage, il y a peu de choses qui peuvent le calmer tant qu’il n’a pas mis au tapis la raison de son inimitié. Qui peuvent être diverses. Une fois lancé, il fait preuve de la même méthodique application que ses passes-temps habituels.
Iñigo est aussi un homme engagé. Il est profondément écologiste, ne mange de la viande que deux fois par mois et pratique le yoga en même temps que les arts martiaux. Il n’a pas pour autant cesser de boire, ne refusant pas de temps en temps une bière ou une tequila, et fume des cigarillos âcre pour se détendre.
Il porte un amour sincère aux femmes, et milite pour leur émancipation ,et le droit pour les hommes à être reconnus pour leur sensibilité et leur extraction des valeurs virils si cloisonnantes. Il se qualifierait même d’humaniste, et espère sincèrement pouvoir un jour prendre sa retraite et finir ses jours tranquilles dans sa caravane, peut-être même ouvrir une ferme de lama pour accueillir les jeunes à problème.
Son corps porte les nombreuses cicatrices de ses combats, ainsi que les nombreux tatouages qu’il se fait faire à chaque mission accomplis. Il porte généralement des jeans simples, un débardeur, une veste en cuir parfois. Ses cheveux longs portent des perles ou des colifichets par endroit.

Viejo : pour tout vous dire, ça ne colle pas vraiment entre Iñigo et Viejo. Ils n’ont pas beaucoup d’atomes crochus, et même si en réalité ils s’adorent et ont vécu trop de choses pour pouvoir se passer l’un de l’autre, et sont pour ainsi dire des amis, ils ne se l’avoueront jamais.
Viejo déteste la tranquilité. Ça l’ennui. Il n’est plus qu’une tête réduite et a vécu plusieurs siècles, il ne veut pas rester à écouter les accordéons de Buenos Aires en coupant les feuilles d’un foutu arbre nain, il veut que ça fasse BOOM et BANG, il veut de l’action et rire de tout.
Il n’a que mépris pour le monde, riant de n’importe quoi, et essaye de tout transformer en farce dérisoire. Il passe son temps «libre» à regarder des dessins animés criards, des cartoons absurdes et des télé-réalité affolantes de bêtises en riant aux éclats, sans oublier les films d’horreur et les séries B kitchissime. Il adore tout ce que la civilisation a fait de pire, chante des chansons paillardes dés que l’occasion se présente et réclame plus de violence. Il parle aux femmes avec un irrespect qu’Iñigo ne peut supporter et méprise les enfants.
Paradoxalement, son esprit contradictoire le pousse à mettre Iñigo en difficulté, argumentant tout ses choix et refusant la plupart de ses demandes avec une mauvaise volonté qui n’a d’égale que sa mauvaise foi. Il aime commenter ce qu’il se passe.
Viejo est aussi un très ancien shaman. Il possède une grande sagesse, mais son esprit sénile rend cette dernière particulièrement loufoque et incompréhensible, le poussant à débiter des dictons abscons ou des poèmes exécrables de non-sens.

Viejo étant immortel et indestructible, il n’est toutefois pas impassible face à la douleur. Ce qui pousse Iñigo à se venger sur lui de bien des manières, faisant preuve envers son «allié» d’une violence qu’il témoigne à bien peu de ses ennemis…

  
on ne change pas le passé

Iñigo est l’enfant de Merce Parredes et Diego Cazador. Diego était militaire et est mort lorsqu’il avait 5 ans dans une mission. Merce et lui allèrent vivre dans les quartiers pauvres et dangereux de Los Angeles, où elle ne s’occupait de lui que de manière très rudimentaire en vivant sur la pension. Elle devint obèse et il apprit plus dans la rue qu’à ses côtés. Il se mit très vite à détester sa mère et à la mépriser, enviant les mamans des autres.

Iñigo était un garçon taciturne, calme d’apparence, jouant dans son jardin. Mais tout les garçons du quartier avait peur de lui car celui qui perturbait sa sérénité d’une manière ou d’une autre finissait roué de coup avec une violence rare. Un ballon qui volait dans sa direction, un cri trop prés de sa fenêtre ou un tag sur le seul arbre de leur petit carré de jeu et il y aurait forcément un poignet brisé. Néanmoins, l’un des enfants allait régulièrement l’embêter. C’était un garçon d’origine irlandaise dans le quartier sud-américain, il était roux, bouclé, avec des tâches de rousseurs pour à peu près chaque pore de sa peau. Ses yeux marrons étaient habité d’une malice qui semblait sans fin et ne se répercutait que dans son sourire carnassier, joyeux et fourbe. Dans le quartier, ils l’appelait Tiburiño, le petit requin. Il puait les emmerdes et les farces, et était un bagarreur vicieux presque aussi redouté qu’Iñigo. Tiburiño venait régulièrement chercher les ennuis avec Iñigo, et tout le monde se demandait pourquoi il y avait une telle guerre de territoire. Jusqu’au jour où, à bout de colère, Iñigo alors âgé de 10 ans lui crie «Je vais te tuer !». Avec un grand rire, Tiburiño lui rétorqua «Moi qui voulait t’épouser.»

Contre toute attente, Iñigo, exaspéré, ne sut que faire d’autre que rire avec lui. Et puis ils se battirent. En riant. Le lendemain, ils étaient les meilleurs amis qui puisse être et mettez le quartier sans dessus-dessous en conjuguant leurs différences radicales. Un duo infernale qui dura trois ans, devenant de plus en plus violent, commettant vol, racket, deal et autres délits. La vie était belle, pleine de bonbons, de rêves de gangster dans leurs cachettes secrète d’un appart’ abandonné. Ils étaient des terreurs mais toujours des enfants, ils se disputaient pour savoir lequel serait Superman en grandissant et qui coucherait en premier avec Ines, «la fille qui avait déjà des seins».

À 13 ans ils furent approcher pour rentrer dans un gang. C’était le rêve de tout gosse du coin, même fan de superhéros : dans la survie on voit seulement la force de Superman, pas ses idéaux. Ils furent introduit avec d’autres enfants. La mascotte du gang était une étrange petite fille qu’ils appelaient la Pequeña Muerte, la petite mort, et qui disait être une protectrice des enfants. Elle portait un voile de dentelle et son visage était maquillé comme un crâne du carnaval mexicain, mais seulement de couleur blanche et de fleurs sur sa peau tannée et ôcre. Elle faisait d’eux des rois, les mettaient en valeur et leur assurait succès, argent et popularité. Elle protégeait leurs proches et améliorait leur train de vie. Jusqu’à un état d’adoration fanatique. La Pequeña Muerte était tout pour eux, une amie, une chef, une sainte, une soeur, une mère, une déesse… Certains étaient près à mourir pour la protéger. Et parfois, elle leur demandait. Quand des ennemis devenaient trop important, elle offrait son baiser à l’un ou deux des enfants et leur demandait de la protéger. Les enfants devenaient complètement immortels pendant 24 heures et allaient dévaster des gangs entier pour l’amour de leur déesse. Cependant, ils finissaient toujours par mourir une fois les 24h écoulez, dans des accidents tragiques. La Pequeña Muerte pleurait pendant des jours, car c’était la malédiction de son baiser : seul celui qui n’espérait pas lui obéir pour obtenir un deuxième baiser, celui qui le faisait par pur amour, pouvait survivre au delà des 24 heures et échapper à son ennemi, la Granda Muerte, qu’elle pouvait tromper de ses lèvres.

Un jour, la Pequeña Muerte approcha Iñigo et Tiburiño. Elle leur demanda de la protéger, car un homme était en ville et lui voulait du mal. Un homme très méchant. Tiburiño était réticent, il n’avait pas une confiance totale en la Pequeña, mais Iñigo accepta fanatiquement le baiser de sa reine pour être son chevalier servant. Il avait besoin de cette figure de douceur et y était très faibles. Tiburiño le suivit par amitié. Ils suivirent l’homme toute la journée, le traquant jusque dans un hôtel, des flingues dans leurs pantalons. Ils portaient les maquillages de la Pequeña et se jetèrent dans sa chambre en tirant de partout. Mais l’homme avait remarqué leur manège dans la journée et les attendez le pied ferme. Il les assomma tout les deux avec un piège bricolé avec le lit et des cordes.

Ils se réveillèrent en pleine nuit, ligotés. La lumière orange des réverbères étaient la seule qui éclairait la pièce. L’homme était en face d’eux. Un arabe au visage buriné, qui les regardait d’un air triste. Il les avait débarbouillé de leurs maquillages.

- Vous avez reçu son baiser.

Ils se regardèrent tout deux et Iñigo éclata de colère.

- Oui, et tu pourras pas nous tuer ! La Pequeña nous a rendu immortels pour t’empêcher de lui faire du mal !

- Savez-vous qui est la Pequeña ?

Demanda l’homme en soufflant de la fumée de sa bouche, une cigarette à la main.

- C’est notre déesse et not…

La main de l’homme frappa le visage d’Iñigo avec violence, le faisant taire sur le coup. Il lui attrapa les cheveux et le souleva.

- La Pequeña n’est la déesse de personne, surtout pas de vous. C’est un monstre. Une créature qui se nourrit de la perte d’innocence, et son baiser est une malédiction. C’est pour ça qu’elle vous pousse à tuer. Pour ça que vous mourrez dans les 24 heures qui suivent… sauf si vous ne perdez pas votre innocence d’ici là. Ne tuer personne, voilà le remède, petit cons !

Il se rassit avec un air désespéré.

- Je la traque depuis le Mexique. Alors vous allez me dire où elle se cache. Et vous allez rester là jusqu’à ce que vous crachiez le morceau.

Tiburiño n’attendit pas. Il eût tôt fait de révéler à l’homme tout ce qu’il savait, sous le regard et les insultes indignés d’Iñigo. L’homme s’en alla en les laissant ligotés dans la chambre. Iñigo, ne se laissant pas faire, finît par trouver le moyen de se détacher. Il frappa Tiburiño en larme et après l’avoir détaché s’enfuit pour aller retrouver et sauver celle qu’il adorait.

Quand il arriva dans la planque du gang, un combat semblait faire rage. Les autres enfants étaient là, dehors, ébahis et effrayés, et ils tentèrent de retenir Iñigo. Mais il entra. Ce qu’il vit était à glacer le sang. L’homme se tenait au dessus de la Pequeña Muerte, la rouant de coups avec un presse-papier alors que son pistolet gisait à ses pieds, brisé. Mais surtout, la «déesse» avait désormais l’apparence d’une créature décharnée et grisâtre, avec de longues griffes et des yeux vides. De la fumée noire sortait de chacune de ses exhalaisons et elle poussait des cris que nul humain n’aurait pu émettre. À la vue d’Iñigo cependant, sa voix redevint celle qu’il aimait tant, si douce, et elle l’implora de la sauver. Ne sachant que faire, Iñigo attrapa un couteau et allait s’approcher de l’homme, qui se retourna pour l’en empêcher. Ce moment suffit à la créature pour prendre avantage sur lui et le repousser, tentant de l’étrangler pendant qu’Iñigo se mettait à pleurer, insulté par celle qu’il croyait sa bienfaitrice.

- Tu vas mourir petite merde inutile, je vais te tordre les yeux dans leur orbite et te faire voir l’intérieur de ton crâne pendant que j’y enfoncerais mes doigts !

Deux coups de feu retentirent. La tête de la Pequeña sembla se vider d’un gaz immonde avant de s’affaisser comme un soufflet raté. Son corps tomba au sol dans un bruit mou écoeurant. Tiburiño, portant les deux pistolets qu’ils avaient laissé à l’hôtel, se tenait à côté d’Iñigo. L’homme se jeta vers lui en criant «Qu’as-tu-fait !?» mais Iñigo lui avait déjà pris la main et l’emmenait avec lui dans les rues.

Ils retournèrent se cacher dans l’ancien appartement qui leur servait de QG, où Tiburiño ne cessait de dire qu’il avait perdu son innocence, qu’il allait mourir. Iñigo le rassurait, le remerciant de l’avoir sûrement sauvé, de lui avoir ouvert les yeux, lui refilant l’alcool qu’ils avaient gardé caché dans ces décombres, et lui disant qu’ils vivraient vieux et qu’il le laisserai être Superman. Au matin, il s’éloigna pour aller au toilettes. À ce moment là, le toit de l’appartement s’écroula, tuant Tiburiño sur le coup. Quand l’homme les retrouva, il était midi passé et Iñigo tenait toujours la main de Tiburiño dans la sienne.

L’homme se présenta comme Djamal Karrim, agent spécial du B.P.R.D. Il lui expliqua l’histoire de la Pequeña et de ses six soeurs, las Hermanas de la Inocencia, les soeurs de l’innocence, des monstres sud-américains dont il chassait les repères. Il décida de prendre Iñigo sous son aile, se sentant redevable du sort de Tiburiño, faisant la promesse qu’ils essaieraient tout deux d’avoir autant de courage que ce dernier.

Djamal devint un agent de résidence à L.A. et entraîna Iñigo à diverses techniques, aux connaissances occultes, le préparant pour le concours du B.P.R.D. En même temps, Iñigo devint un vigilant traquant les créatures surnaturelles opérant dans les gangs de Los Angeles, laissant ses victimes pendre sur un croc de boucher aux yeux de tous et gagnant le nom de Gancho de la part du public. Il était craint des monstres et des mafieux. À 19 ans, il était devenu agent de terrain pour le B.P.R.D et travailla en tandem avec l’agent Karim. L’une de leurs premières mission fut liée à Santa Dolores de Furiosa, et il commença à confectionner ce qui allait devenir son arme signature, l’Ultime Massue de la Patiente Miséricorde. Ils exorcisèrent le poltergeist de Mme Lemarais, tuèrent Apapotetocl le Jaguar, empêchèrent la dépouille de Yaram Patik d’être profané par des adorateurs de Kali, chassèrent les spectres de vélociraptor des égouts de Manhattan, et bien d’autres missions dangereuses.

Puis un jour, alors qu’Iñigo avait 26 ans, ils furent dépêchés dans une mission en Amérique du Sud, en Amazonie, où plusieurs villages auraient signalé le retour d’une tribu d’enfants cannibales pouvant disparaître mystérieusement dans les bois. Tribu nommée les Piranhas de Mâ. Mâ était le nom de l’une des Soeurs de l’Innocence, et ils partirent sans hésiter. Il explorèrent les villages, tentèrent de trouver un schéma aux enlèvements, explorèrent la forêt dans tout les sens sans rien trouver. Jusqu’à ce soir où leur campement fut encerclé en pleine nuit par un groupe d’enfants nu et immobiles. Avant qu’ils aient le temps de réagir, Djamal et Iñigo furent séparés, et quand la horde d’enfants se dispersa de nouveau Djamal avait disparu. Iñigo ne pu faire autrement que d’attendre le jour mais il réussit à suivre les traces des enfants jusqu’à un cénotés : une sorte de petit lac dans la forêt qui est en fait une grotte inondée s’étendant sur plusieurs kilomètres de tunnels sous-terrains, parcourant les sous-sols de l’Amazonie comme des catacombes aquatiques inexplorées.
Iñigo acheta du matériel de plongée à un village proche et tenta d’explorer le cénotés. Mais ce dernier était trop grand, trop labyrinthique, et il se retrouva coincé dans le noir, sans air.

Il se réveilla dans un village sous-terrain, attaché à un stalagmite, entouré de dizaines d’enfants nus silencieux. Au milieu d’eux s’avança leur chef, une enfant habillée de vêtements pompeux et de colifichets qui semblaient être fait des vêtements de tout les humains qu’ils avaient capturés et manger au fil des ans. Il s’agissait de Mâ. Mâ ne semblait pas agressive, ni néfaste, mais il se méfiait de ce genre d’apparence, il avait connu sa soeur. Et elle le savait, elle repéra sur lui la marque du baiser de Pequeña, touchant du doigt l’endroit exacte où ses lèvres s’étaient posées. Elle lui expliqua que les Piranhas n’étaient pas des cannibales, ils étaient les hommes et les femmes capturés. Ils avaient, comme elle, le don de voir le degré d’innocence et de bienveillance des gens, et les élus étaient ramené à elle, et elle leur offrait une seconde innocence. Elle en faisait des enfants à nouveau, en attendant qu’ils puissent de nouveau recouvrir le monde de leur bonté d’âme. Après la fin du monde.

Elle lui montrât alors, sur une stalagmite géante, un calendrier Maya. Quand il le regarda, Iñigo fut transporté dans une vision de fin du monde, au milieu de laquelle se tenait une ombre informe dans un brouillard de sang et de fumée. La forme lui parla, avec une voix brouillée, lui disant être Oêc, «le Secret», celui-qui-ne-sait-pas-son-rôle : la créature surnaturelle qui causera la fin du monde par un acte insignifiant et ne peut être révélé comme Oêc que de son vivant. Il nomma aussi Iñigo, Utamac, le Chasseur. Celui qui devait tuer les créatures surnaturelles jusqu’à ce qu’il trouve Oêc.

Quand il sortit de la vision, Mâ se tenait contre lui. Elle disait qu’elle savait qui il était. Utamac. Celui-qui-survit-au-baiser-de-sa-reine. Celui qui n’a pas besoin de retrouver son innocence d’enfant, car il peut empêcher Oêc de devenir ce qu’il est, en tuant les créatures surnaturelles jusqu’à ce qu’il lui soit révélé. Pour vérifier ses dires, elle lui met autour du coup Viejo, un shaman mexicain qui était venu la voir pour retrouver son enfance, mais qu’elle avait maudit sous forme de tête réduite à devoir servir Utamac si un jour elle le rencontrait. Et en effet, Viejo s’éveilla une fois autour du coup d’Iñigo. Iñigo resta plusieurs jours attaché à son stalagmite, et chaque jour Mâ venait lui demander si il acceptait de devenir Utamac et de servir sa cause, tuer tout les êtres surnaturels sur son chemin jusqu’à trouver le bon, pour sauver le monde. Chaque jour il n’avait que Viejo pour discuter, qui l’agaçait au plus haut point, alors que des enfants nus l’observaient en silence. Chaque jour il revoit des visions provenant du calendrier, ou l’esprit d’Oêc le supplie de le tuer…

Au bout de dix jours, il accepta sa destinée. Mâ le libéra, ses armes lui furent rendu. Pendant un instant, il envisagea de tuer Mâ, mais l’un des enfants s’interposa en levant les bras, le regardant avec bienveillance. Il reconnût en lui Djamal Karrim, son mentor… avant qu’il n’ait le temps de lui poser des questions, Mâ lui fit un baiser et il se retrouvât dans le noir.

Il se réveilla en dehors du cénotés, avec Viejo autour du cou. Il rejoignit le village pour apprendre qu’il avait disparu pendant deux mois, mais à son approche plusieurs villageois d’origine aborigène murmurait «Utamac».

Pendant l’année qui suivit, avec l’aide de Viejo, Iñigo retrouva et élimina les cinq autres soeurs de Mâ à travers toute l’Amérique du Sud : Rû, qui dévorait les enfants morts-nés en Bolivie. Pûli, qui volait les âmes des victimes d’injustice au Brésil. Bâmec, qui dépucelait les jeunes gens et les rendaient infertiles à la pointe du Chili. Toblàr, qui hantait les rêves des meurtriers libres jusqu’à ce qu’ils se suicident en Colombie, et enfin, le conduisant au Mexique, Azalë, qui poussait les parents les plus innocents à l’infanticide. C’est après cette dernière qu’il fut rejoint, au Mexique, par l’un des Piranha de Mâ. Il portait dans ses bras un nouveau-né. Son enfant. Sa fille, conçue magiquement par Mâ avec le baiser qu’elle lui vola. Le Piranha ouvrit la bouche, sans la bouger, et la voix de Mâ sortie de sa gorge «Prouve ton dévouement, fait de cet enfant ce que le monde a besoin».

Iñigo nomma l’enfant Luz. Non sans dispute avec Viejo qui voulait la nommer Patsy-Patte-en-l’air. Il élevèrent tout les deux l’enfant avec beaucoup de soin, et, à son étonnement, beaucoup d’amour. Il arrêta sa quête pour elle, l’entraînant dés ses 11 ans à la survie, au combat et à la traque pendant que Viejo l’initiait aux dessins animés, aux comics et à l’occulte. Luz vécu heureuse avec ses deux papa bizarres, dans une caravane de plus en plus tuné. À 16 ans, elle l’accompagna dans sa première mission. À 17 ans, elle tua elle-même le vampire Edward Cullen alors qu’il essayait de la séduire d’une manière ridicule, lui disant avant de le décapiter « je sais ce que tu es » avec un regard complètement dénué de sentiment. Ils étaient une équipe du tonnerre et elle mettait de la joie et de l’amour dans la vie d’Iñigo.

Mais à l’aube de ses 20 ans, trois Piranha vinrent à la rencontre d’Iñigo, et lui dirent de concert, avec la voix de Mâ, qu’il l’avait déçu et que son dévouement était faible. Il compris alors que Mâ ne voulait pas le voir éduquer sa relève, mais voir si il était près à tuer sa propre fille. Refusant, la voix de Mâ gronda un sortilège dans la gorge des enfants Piranha, utilisant Viejo contre son gré pour obliger son corps à tuer Luz. Il revint à la caravane et l’attaqua sauvagement, le combat fut terrible, et il lui creva l’oeil droit de l’un de ses poignards. Mais Luz avait été entraîné par lui, elle connaissait ses techniques et avec l’aide de Viejo qui combattait le sort du mieux qu’il pouvait, elle réussit à lui enfoncer sa propre machette dans le coeur, le tuant sur le coup. Viejo, toujours conscient, eut une dernière discussion avec Luz. Il lui promit de ne jamais utiliser ses pouvoirs pour la traquer ou l’attaquer, et lui ordonna de s’enfuir maintenant qu’elle avait tué son père. Ce qu’elle fit, à contre-coeur, pleurant du seul oeil qui lui restait, pensant avoir tué l’un de ses pères et abandonné le second.

Mais Viejo était obligé par contrat avec Mâ de ressuscité Iñigo. Cette résurrection avait toutefois un prix : Iñigo, flottant dans l’au-delà face à l’image qu’avait Viejo de son vivant, devait choisir d’oublier l’une des personnes les plus cher à son coeur. L’effacer totalement de sa mémoire. Persuadé d’avoir tué sa propre fille, ce que Viejo ne démentît pas, il préféra tout oublier, oubliant du même coup qui l’avait tué. Viejo ne lui révéla jamais, protégeant Luz comme il l’avait promis.

Iñigo passa ensuite trois années à traquer les créatures surnaturelles du désert Mexicain et élimina même le héros El Mystico II. Pourchassé par les Luchadores pour ce crime, il quitta l’amérique pour parcourir le monde entier pendant deux ans, en répandant mort, poudre et flammes sur son passage, se créant un réseau, et laissant ses victimes accrochés à des crocs de boucher pour que le B.P.R.D. sache que Gancho était de retour. Il décida alors qu’il était temps de s’en prendre un peu plus aux surnaturels médiatisés, à ces héros magiques, et fit une liste de ses cibles…


  
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Dernière édition par Iñigo "Gancho" Cazador le Lun 1 Déc 2014 - 19:51, édité 2 fois
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Iñigo "Gancho" Cazador Empty Re: Iñigo "Gancho" Cazador

Message  Ethan Scott Mer 19 Nov 2014 - 21:48

HMMMM MACHETEEEEEE

Désolé fallait la faire voilà c'est fait. Bienvenue Shocked .
Ethan Scott
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Iñigo "Gancho" Cazador Empty Re: Iñigo "Gancho" Cazador

Message  Clark Kent Mer 19 Nov 2014 - 23:20

Shocked Cette fiche va être drôle à lire au final.

Bonne présentation.
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Iñigo "Gancho" Cazador Empty Re: Iñigo "Gancho" Cazador

Message  Riley Charles Damson Jeu 20 Nov 2014 - 0:31

Bienvenue le tueur mexicain.
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Iñigo "Gancho" Cazador Empty Re: Iñigo "Gancho" Cazador

Message  Slade Wilson Jeu 20 Nov 2014 - 5:11

Bienvenue à toi Shocked Je suis impatient de lire ton histoire. Je me régale d'avance
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Message  Henry P. McCoy Lun 1 Déc 2014 - 8:26

Bienvenue à toi, ou à vous plutôt.

Attention avec tous ces couteaux de ne pas te couper
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Message  Iñigo "Gancho" Cazador Lun 1 Déc 2014 - 18:26

J'ai achevé ma fiche, prêt pour l'abattoir !!!

Merci à tous, impatient de vous taillader !
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Message  Galactus Mar 2 Déc 2014 - 0:29

Bon tu m'as encore survécu. Fait attention pour ne pas faire trop de grosbillisme et ne massacre pas tout le monde. Excellente fiche!

Bonne survie!
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