L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
+3
Jessica C. Jones
Katherine E. Bishop
Zebediah Killgrave
7 participants
Page 1 sur 1
L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Zebediah K. Killgrave "Violer? Je n'aime pas ce mot, j'ai pris soin de toi comme personne ne l'a fait avant moi." Bonjour ou bonsoir, mon p’tit nom à moi c'est Kevin Thompson, mais oubliez cela dès maintenant et retenez juste Zebediah Killgrave ! Mais on me connait aussi sous le nom de Connard, sale connard, Killgrave, L'Homme Pourpre, ce batard,... ainsi que bien d'autres noms peu reluisant qui montrent toute l'admiration que mes victimes ont pour moi. Je suis né(e) le septième jour du moi de mai à Rijeka en Croatie mais j'ai surtout vécu en Angleterre, ayant pris l'accent et le style, donc je suis Anglais. J’ai 44 ans, plus ou moins. Un petit secret pour la route ; je suis Un accident de la médecine et sévissant à Hells Kitchen à New York, mais surtout dans vos vies. On me dit souvent que je ressemble à David Tennant, mais je suis persuadé qu'il est bien moins beau que moi... Dites le. Je fais partie du groupe Indépendant, mais je trouve mon compte en travaillant avec certaines personnes qui comprennent la grandeur de mon esprit,
on ne change pas le passé Mon histoire est bien entendue une des plus intéressante qu’il existe, je suis né Kevin Thompson à Rijeka en Yougoslavie, enfin l’ex Yougoslavie maintenant cela se nomme la Croatie, mais ce n’est que détail car pour moi tout cela ne représente rien, je préfère la ville où j’ai grandis, Londres, ainsi que le nom que je me suis choisis Zebediah Killgrave, qui lui sonne tellement mieux que Kevin. Ma jeunesse s’est surtout faite à Londres, mes parents étaient de brillants scientifiques qui ont décidés de faire de moi leur cobaye sans réfléchir aux conséquences. En faite ils voulaient me soigner car j’étais gravement malade, une sorte de virus qui attaquait mon système cérébral et qui allait me conduire vers la fatalité, maladie incurable. Subissant expériences, testes, piqures, traitements, je vivais en isolement total avec une éducation purement intellectuelle et non sentimentale, en faite j’étais comme un rat de laboratoire avec un enseignement tourné autour des expériences sans jamais tenir compte du contact humain ou de l’empathie. Cela a duré, perduré en faite, j’ai évolué dans un tel milieu jusqu’à ce que ces expériences m’ont changé en faisant de moi l’homme que je suis, un être évolué qui avait su ordonner à sa famille de me laisser tranquille. A partir de ce jour la, la relation avec ma famille avait changé, ils étaient devenus mes parents idéaux, faisant tout ce que je leur demandais, agissant pour me faire plaisir sans me contrarier. Oh ils me craignaient certes, mais je m’en foutais car ils n’avaient plus leurs mots à me dire vu comment ils m’avaient traité avant. Et le jour où Mère avait osé me crier dessus, chose que je n’avais pas toléré, je l’avais simplement obligée à écraser son fer à repasser sur sa joue pour se bruler la chair comme elle avait brulé mon cœur par ses cris. Bien fait, cela lui servirait de leçon, oser hausser la voix sur ma magnifique personne. Malheureusement, alors qu’un moment je n’avais plus d’emprise sur eux, ils avaient fui loin de mon être, partant et disparaissant, se cachant pour ne point me recroiser, m’obligeant à prendre ma vie en main malgré ma jeunesse. C’est à ce moment que l’histoire que je vous conte devient intéressante, la rencontre qui va me donner une nouvelle voie à suivre, qui va m’ouvrir les yeux sur mon potentiel. Jeune, je n’étais pas aussi discret qu’aujourd’hui, j’obtenais tout ce que je voulais, où que j’aillais, pouvant manger ce que je désirais dans les restaurants qui me plaisaient, faire des courses sans payer, faire ce qu’il me passait par l’esprit. Ainsi un homme m’avait remarqué, il avait cherché comment m’approché et avait tenté mais malheureusement pour lui, rapidement j’avais compris au travers de ses mots qu’il voulait tenter de me faire parler, de chercher à savoir ce que j’étais, de trouver une faiblesse chez mon être, alors simplement je lui avais dicté de me dire la vérité et de me dévoiler ses intentions. Ainsi j’avais appris que cet homme travaillait pour le gouvernement Soviétique et qu’il s’intéressait à moi pour certains services spéciaux. Curieux par cet intérêt, je lui avais donc demandé de m’y conduire, lui disant que je le suivrai sans résister, lui laissant entendre qu’il avait le contrôle de la situation. Ainsi il m’avait guidé à son « quartier général » si on pouvait appeler cette chambre de motel miteuse ainsi, prenant contact avec ses employeurs pour prévoir mon extraction vers l’Union Soviétique. Bien drôle d’idée que de m’envoyer dans un pays froid, mais bon, ma curiosité me poussait à continuer ce petit jeu. Ainsi j’allais être exporté en U.R.S.S. pour rejoindre une section secrète formant des êtres particuliers à l’espionnage pour la puissance Communiste. Formé par ceux ci, j’avais fait quelques missions pour ce gouvernement, découvrant toutes les portes que pouvait ouvrir mon pouvoir, me permettant d’aller où je voulais, d’ordonner aux gardes de ne pas voir ma présence, de demander aux agents ennemis d’effacer les traces de mon passage, je comprenais que ce monde s’offrait à moi. Grandissant dans cet environnement, j’avais compris que ma place n’était pas celle d’un agent mais d’un Roi. Ainsi j’avais pris la décision de quitter le service d’Espionnage Soviétique, venant annoncer à mon supérieur que je n’avais jamais existé, demandant à ce dernier de détruire tous les documents sur moi, de trouver chaque personne connaissant mon existence et d’y mettre fin avant de se suicider… Ainsi je veillais à mon avenir mais surtout à ce que personne de cette fédération puisse vouloir un jour me retrouver. Disparaissant de cette patrie, je m’étais alors rendu finalement en Polynésie Française, simplement par gout du voyage et de la découverte, voulant m’assurer d’être oublié par mes anciens employeurs. Voyage en Polynésie Française, un début, un premier voyage où très rapidement j’avais établi les nouvelles règles de ma vie, celles qui pouvaient se résumer simplement par « Le Monde est à moi et les hommes sont mes serviteurs. » Ainsi au début j’avais cherché à me remplir les poches, venant me joindre à des tables de jeux, des casinos, venant profiter de mes dons pour gagner. Après tout je n’avais même pas besoin de bluffer pour remporter la victoire, je n’avais pas besoin d’avoir à m’inquiéter quand je jouais avec les billets car même si je perdais, je gagnais… Tout dépendait de la perception des choses. Mais rapidement je me laissais des jeux, trop de facilité pour l’emporter, pas de stress, pas de plaisir, juste une forme de rentabilité qui me permettait d’avoir ce que je voulais mais à quoi bon avoir de l’argent quand je n’avais rien besoin de payer. Continuant alors ma route, j’étais parti en Amérique, c’est la que j’avais rencontré une jeune femme ravissante, à Buffalo, une femme qui détournait son regard de moi. Pourtant à peine à ses cotés, quelques mots et j’avais captivé tout son intérêt, j’usais sans honte de cette nature qui m’avait été donné pour avoir celle que je convoitais, la poussant à m’épouser, à prendre mon nom, la poussant à me donner son corps, son amour, sa servitude pendant tout un temps. Mais je n’étais encore que débutant dans l’art du marionnettiste et un jour j’avais décidé de lui offrir la liberté de pensé, j’avais laissé le temps s’écouler pour briser l’emprise sans donner aucun ordre, sans tourner de phrases comprenant une injonction, pensant ainsi qu’une fois hors emprise, elle m’aimerait, mais non… Elle avait fui loin de moi, partant alors qu’elle était enceinte… Détail d’ailleurs que j’ignorais en ce temps la. Ma vie alors s’est finalement tournée vers le plaisir, celui de la chair car à quoi bon se contenter d’une femme quand je pouvais tous les avoir ? Mais aussi le plaisir de l’argent, argent dont je n’avais pas besoin officiellement mais dont la couleur des billets était utile pour manipuler certains à distance sans avoir besoin de ma nature spécifique. Ainsi j’avais ouvert mon premier bureau d’emploi, libérant certains du chômage et de la rue, en faisant d’eux des voleurs, des brigands, des braqueurs de banques. Malheureusement, des héros d’un genre actuellement obsolète m’ont retrouvé, un premier que j’avais su chasser, un second, puis un groupe qui avait compris que le danger était de m’approcher et de m’écouter. Me piégeant, ils avaient su m’arrêter pour finalement m’envoyer dans une Prison de l’état, mais malheureusement pour eux aucune prison n’était capable de me garder prisonnier. Aucune prison n’était faite pour me retenir, aucune prison ne pouvait me mettre dans l’oubli, rapidement évadé j’avais trouvé ma place en Californie, recommençant ce que j’avais créé, ouvrant un nouveau de l’emploi à ceux tenté, débutant un Empire Criminel Californien qui avait très rapidement pris une grande ampleur. Je ne vais pas trop conté cette période de ma vie car elle revient au même que pour Buffalo, de l’argent, des femmes et la Justice League, une prison et hop retour à la liberté pour un voyage à New York où j’avais entrepris un nouvel empire en commençant cette fois ci par prendre le contrôle d’un PDG d’une Grande Société, prendre son pouvoir, son argent pour obtenir ce que je voulais, mais encore une fois la Justice League m’avait affronté, et même si je savais souvent leur porter malheur, ils avaient réussis à me vaincre mais pas en me mettant en prison. Non cette fois la était particulière, cette fois la ils m’avaient donné la chance de changer ma vie car en me combattant était arrivé un accident, un combat final sur l’île de Ryker, un combat qui s’était terminé par ma chute, mon crâne percutant roche avant la disparition de mon corps dans les profondeurs des eaux… Noyé, j’étais devenu un homme mort, pourtant sur une berge je m’étais réveillé en pleine santé, sans même une blessure à mon crâne, ne pouvant pas encore imaginer que la mort était avec moi et non mon ennemi, mais cela m’avait permis de comprendre qu’il était temps de changer mes plans, que les empires du crime ne servaient à rien pour avancer dans ce monde, surtout pour un homme comme moi, que la folie des grandeurs n’apportait que le regard de l’ennemi et que ma vie devait se faire dans mon intérêt propre sans laisser de trace visible. Un peu lasse, je faisais juste ma vie, profitant du luxe, du plaisir, toujours à apprécier les présences en tout genre, à aimer la compagnie des femmes et la richesse des autres, mais rien n’arrivait à me toucher personnellement, rien sauf l’apparition d’une femme dans ma vie, Jessica Jones. Une femme nommée Jewel, une femme magnifique que j’avais rencontré et que directement j’avais désiré alors je l’avais prise sous mon emprise, faisant d’elle ma compagne et concubine, ma préférée, veillant à la garder à mon service des mois durant. Elle était mon amante, elle était mon garde du corps, elle était mon homme de main et elle était aussi mon amusement. Mais avec elle, j’avais été trop loin peut-être, car après ces mois de plaisir, alors que je l’avais poussé au meurtre, elle s’en était allé, refusant de revenir vers moi, refusant de se plier à ma volonté au point que je l’avais suivis, marchant quelque pas pour me rapprocher d’elle, refusant qu’elle puisse quitter ainsi mon pouvoir… Mais l’histoire allait prendre fin quand un bus vint me percuter et me rouler dessus, m’écrasant, me tuant. Mort, enterré, j’allais apprendre cette fois que je n’avais pas eu un coup de chance à Ryker, mais que oui, la mort m’écoutait et me libérait. Je m’étais éveillé sous terre, devant gratter la terre pour revenir à la surface, retrouvant la vie, un nouveau souffle, j’étais revenu parmi les vivants. Certes sale à cause de cette terre mais vivant. Sortant du cimetière en pleine nuit, j’avais décidé de faire de ma vie un silence, de rester dans les ténèbres en reformant petit à petit ma richesse en secret pour obtenir ce qui me serait nécessaire, j’avais commencé à construire ma nouvelle vie en restant dans les ombres, me trouvant une petite demeure, prenant le contrôle de certains hommes pour commencer à espionner ma bien aimée qui avait su se libérer de mon pouvoir, de prendre des photos de celle qui était mienne tout en admirant ce qui commençait à se produire dans la ville de New York. Je prenais un certain plaisir à regarder surtout les actions des Avengers, des nouveaux héros qui avaient pris la place de la Justice League, des héros plus amusant et commerciaux, digne de l’esprit capitaliste Américain. Adieu le spandex et bienvenue le maillot de bain, des nouveaux héros qui pensaient à leur image, leur beauté, des héros qui avaient des jeux amusants, qui organisaient des téléréalités et qui avaient même leur bimbo. Petit à petit les photos s’accumulaient sur mon mur, Jessica, Jessica… Les concubines s’enchainaient les unes après les autres, mais semblaient toutes aussi fades en l’absence de celle qui avait tant conté à mes yeux. C’était réellement dommage que celle ci n’avait pas vu que j’étais un prince pour elle, que je lui avais donné bien plus que quiconque lui offrirait dans la vie, mais non elle me voyait comme un cauchemar, un monstre sans voir que j’avais surement été un ange pour elle. Ma sécurité devenait chose importante, j’avais commencé à mettre des pièges en place, à recruter des personnes que je rencontrais régulièrement pour leur rappeler ce qu’ils devaient faire si il m’arrivait quelque chose, je devais m’assurer de ne plus être piégé, penser à toujours avoir un ou deux coups d’avance face aux ennemis. Mais passons, il était temps de retrouver ma tendre et chère, lui lancer un message en m’en prenant à une jeune femme, incitant ainsi famille à faire appel aux services de la fameuse détective Jones. Usant de cette pauvre victime je pourrai enfin envoyer un message à celle que je ciblais, usant de la damoiselle pour m’occuper, sans avoir besoin de vous expliquer comment, et l’abandonnant dans une chambre d’hôtel en ne lui donnant qu’un seul ordre… « Ne bouges pas d’ici. » Ainsi je pouvais m’assurer que Jessica Jones retrouverait celle-ci et comprendrait rapidement qu’elle n’était qu’une de mes nombreuses victimes. C’était ma façon de lui dire que oui, je pensais à elle. Ne suis-je donc point romantique ? Je pourrais vous raconter cette histoire mille et une fois sans me lasser, ce moment intense où j’avais retrouvé ma Jessica, quand elle s’amusait à me chercher, me traquer, tenter de m’attraper. Oh oui je pouvais le sentir, je lui manquais réellement, surtout quand je m’attaquais à ses proches, à ses voisins, ses amis, quand je prenais toujours deux coups d’avance sur ses projets, pouvant la sentir se rapprocher de moi, venir près de moi, et devoir finalement renoncer, sentir aussi son poing me frapper, sentir dans cette rage à quel point je l’avais marqué. Elle se pensait forte, elle se pensait libérée de mon emprise, alors certes mon pouvoir ne l’affectait plus mais elle restait ma marionnette, ne pouvant pas me fuir, ne pouvant pas retrouver sa liberté tant que j’étais la, si proche d’elle. C’était un jeu si agréable, un jeu qui devenait passionnant, surtout de voir qu’elle était finalement seule, un mec qui n’avait pas foi en elle, une sorte de sœur prise pour cible, un flic qui n’était pas réellement une aide, une patronne qui semblait plus de mon coté que du sien, vraiment elle n’était pas aidée dans cette situation. Mais je ne peux que rester reconnaissant envers elle car grâce à ma douce Jessica j’avais pu retrouver mes chers et tendres parents, oh oui le plaisir de retrouver Père et Mère, c’était tellement recherché… Pousser mère vers la mort, utiliser père pour améliorer ce qu’il avait fait de moi avant de le guider aussi vers le décès, grâce à elle tout était devenu plus intense, plus passionnant. J’avais particulièrement adoré sa naïveté quand un moment elle avait cru pouvoir faire de moi un héro qui viendrait aider les pauvres petites victimes avec mes pouvoirs, non mais franchement… Jessica… Innocente à ce point la ? Mais tout cela au moins m’avait permis de passer du temps avec elle, jusqu’à ce que finalement elle craque, prenant la décision de ne plus chercher à m’arrêter, m’enfermer ou autre mais bien de me tuer. C’était devenu une guerre où toutes les armes étaient permises, un combat psychologique où j’avais usé de tout ceux qui pouvaient me servir pour la briser ou la blesser, sans aucun remord… C’est quoi un remord ? Je lui avais tendu un piège, j’avais testé mes nouveaux dons, et je dois dire qu’elle m’avait surpris car j’avais réellement cru un moment qu’elle était revenue sous mon emprise, la testant avec sa sorte de sœur. Mais non, elle se jouait de moi, profitant de ma petite obsession, alors quand je m’étais approché… Crack… Elle m’avait brisé la nuque au lieu de m’aimer… La garce quand même, aucune reconnaissance pour tout ce que j’avais fait pour elle. Une nouvelle vie allait recommencer, et oui la mort avait vraiment un crush pour moi car me voilà maintenant de retour. Ressentant encore la douceur des mains de celle qui m’obsède sur ma nuque, mais ce n’était qu’un détail, j’avais tout mon temps pour retrouver ma chère Jessica, tout mon temps pour la laisser espérer qu’elle soit enfin libre, qu’elle croit s’être débarrassée de moi. Oh oui, je vais la laisser ainsi, attendre en la surveillant, en la regardant de loin, attendre qu’elle s’apaise, qu’elle perte toute méfiance pour revenir envoyer des petits signes de vie, pour lui rappeler mon existence, pour montrer que je ne disparaitrai jamais de sa vie, que tant qu’elle respirera je serai la pour elle, prêt à venir m’occuper d’elle, prêt à venir récupérer celle qui est mienne. Mais en attendant je vais devoir m’occuper de certaines affaires et pour cela je me suis rallié à des personnes qui sont capables de comprendre ma grandeur, mon esprit, ma pensée… Oui des personnes qui ne sont pas encombrés par la compassion, par de la pitié, ou de l’empathie. La Fraternité.
fiche by Anthemis. crédits gifs & icon ;; tumblr & chester. |
Dernière édition par Zebediah Killgrave le Sam 28 Nov 2015 - 22:23, édité 16 fois
Zebediah Killgrave- Messages : 54
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Le gros salopard est là.
Bienvenue le manipulateur!
Bienvenue le manipulateur!
Katherine E. Bishop- Messages : 795
Date d'inscription : 14/01/2015
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Tu sais la plupart des gens ont la décence de rester mort un peu plus longtemps. Même Jésus a attendu trois jours.
bon courage pour ta fiche !
bon courage pour ta fiche !
Jessica C. Jones- Messages : 22
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Bienvenue le dingue!
Peter Benjamin Parker- Messages : 299
Date d'inscription : 26/10/2014
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Merci beaucoup de cet accueil.
Voyons Jessica, je sais que dans le fond je te manque, ta vie serait tellement fade sans moi. D'ailleurs je suis heureux de voir, vu ta comparaison, que tu me perçois comme ton Messie.
Kate, merci mais les viles flatteries ne marchent pas sur moi.
Dingue Peter ? Comme tout homme aimant et passionné
Voyons Jessica, je sais que dans le fond je te manque, ta vie serait tellement fade sans moi. D'ailleurs je suis heureux de voir, vu ta comparaison, que tu me perçois comme ton Messie.
Kate, merci mais les viles flatteries ne marchent pas sur moi.
Dingue Peter ? Comme tout homme aimant et passionné
Zebediah Killgrave- Messages : 54
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Comme tu aimes tellement les Vengeurs, on peut avoir une discussion entre nous deux.
Bienvenue le bizarre.
Bienvenue le bizarre.
Simon Williams- Messages : 46
Date d'inscription : 06/11/2014
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Merci Wonder Man... Hum... Un homme qui n'est point fait de chair et de sang, voila une chose bien contrariante... Mais un jour surement que nos chemins vont se croiser.
Et voila terminée la fiche
Et voila terminée la fiche
Zebediah Killgrave- Messages : 54
Date d'inscription : 21/11/2015
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Vous êtes un homme intéressant.
Comprendre la mort n'est pas donné à tous.
Comprendre la mort n'est pas donné à tous.
Tomi Shishido- Messages : 50
Date d'inscription : 23/05/2015
Re: L'Homme Pourpre : Je me débarrasse des parasites, je suis presque un service public (terminée)
Excellente fiche, Killgrave!
Comme prévu dans le règlement, vu la différence de taille entre ton personnage et celui de Timéo, tu peux conserver ce magnifique avatar.
On espère que tu vas te plaire ici!
Bon jeu!
Comme prévu dans le règlement, vu la différence de taille entre ton personnage et celui de Timéo, tu peux conserver ce magnifique avatar.
On espère que tu vas te plaire ici!
Bon jeu!
Sujets similaires
» Killgrave a.k.a. L'Homme Pourpre
» Nils Styger, l'apparence est souvent trompeuse, je ne suis pas un monstre [Hellions]
» Short Deadpool Service
» Lascaux (D'Leh) [terminé]
» Ronan le Premier Accusateur Public Suprême de l'Empire Kree
» Nils Styger, l'apparence est souvent trompeuse, je ne suis pas un monstre [Hellions]
» Short Deadpool Service
» Lascaux (D'Leh) [terminé]
» Ronan le Premier Accusateur Public Suprême de l'Empire Kree
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|